Recit Avec Quiproquo

impose de mener. Comme le craint Georgette (acte V scène 8), "Elle se pourrait bien jeter par la fenêtre." Mais que le spectateur se rassure : ce n'est qu'une comédie et la fée n'est pas loin... Molière va d'abord nous faire rire par le quiproquo qui s'instaure entre Horace et Arnolphe : le jeune homme ignore la double identité de l'ami de son père et c'est tout naturellement qu'il va confier à son rival ses amours avec Agnès. Tour à tour, le spectateur s'effraie de ces confidences si naïves

avec elle par la suite, mais la naïveté de cette dernière la mène vers le cocuage avec un certain Horace. Le quiproquo entre Arnolphe et Horace constitue tout le comique de la scène 6de l’acte IV qui nous est été proposé. En effet Horace se confie à Arnolphe et avoue ses plans avec Agnès sans qu’il sache que celui-ci est finalement son jaloux. Mais une question se pose alors, comment ce récit peut-il être comique et éducatif en dehors de son intérêt dramatique ? Axe 1: Dans cet extrait,

tuteur, lui avouant qu’il a fait sa cour. Principales caractéristiques de cette scène : - Récit de Chrysalde et Oronte sur le passé d'Agnès. - Nombreuses résolutions de problèmes, quiproquo etc... - Déchéance et fuite d'Arnolphe. - Agnès et Horace enfin ensemble o 1) Résolution du nœud dramatique. - Horace connait maintenant la véritable identité du prétendu Mr de la Souche et d'Arnolphe. - Quiproquo entre Arnolphe et Oronte/Chrysalde sur le mariage d'Agnès résolu. - Agnès et Horace peuvent

composé, l'imparfait, le futur... Des marques de lieu et de temps renvoient à l'énonciation du message. - La double énonciation théâtrale : Les répliques ont toujours un double destinataire. Grâce { cette double énonciation, le public peut rire des quiproquos (l’amant caché dans le placard tandis que le mari rentre dans la chambre…), des méprises, ou trembler pour un/des héros car il peut arriver que ce public en sache plus que les personnages eux-mêmes sur ce qui se passe exactement La structure interne:

elle pense que vas se marier a Cléante· Elle dit « c’est a moi, mon père, de suivre aveuglément toute vos volontés » · L11 Toinette créé des connivences avec le lecteur qui rend le récit plus plaisent · Elle fait des apartés pour montrer son mépris pour la belle-mère. « La bonne bête a ses raisons »· L17 Le quiproquo sur l’identité de la personne désigner comme marie pour angélique se dévoile peu a peu.· Argan parle a Angélique de son futur marie avec des désignation ambiguë, « ont, la personne,

scène quiproquo? I- Le récit d'horace 1-Un renversement de situation -Horace ignore que M de la souche est une seule et meme personne: il fait d'Arnolphe son confident, ignorant que ce dernier est aussi son rival => quiproquo -Arnolphe a conseillé à Agnès de jeter une pierre à Horace pour freiner ses ardeurs amoureuse et c'est finalement par ce moyen qu'elle commuique avec lui. => Les 2 personnages, Horace et Arnolphe ont pris le controle de la situation. 2- La fonction du récit au théatre

  le  comique de mots,  le  comique  de  gestes.  Ces  aspects  du  comique  se  superposent  le  plus souvent. Parfois certains dominent nettement. (La farce repose sur les situations et les gestes, le patois des valets, le quiproquo, sur le langage). Repérez les  différents effets comiques, même s’ils ne vous font pas rire a priori. Un bon metteur en scène peut en tirer parti. Imaginez comment.   • COMMEDIA  DELL’ARTE :  forme  de  comédie  improvisée 

monologue : la tirade longue d'un personnage seul sur scène. - l'aparté : des paroles adressées en particulier au public (que les autres personnages sur scène ne sont pas sensés entendre, quelquefois des pensées secrètes d’un personnage). -Le quiproquo : incompréhension, malentendu qui survient dans un échange de paroles. Chaque personnage interprète mal ce que dit l’autre -La stichomythie : répliques courtes qui peuvent parfois être violentes et qui forment un échange rapide, rythmé. -Le « coup

tout pour intention de faire rire les lecteurs. Effectivement, les auteurs de ces récits n’hésitaient pas à jouer sur la naïveté et l’ignorance des personnages, ainsi que sur le comique de situation. Nous allons tenter de discuter si « les fabliaux n’ont d’autre but que de faire rire. » Tout d’abord, on observe que l’auteur du premier fabliau, « La vieille qui graissa la patte au chevalier », utilise le quiproquo circulant entre la vieille et sa voisine, Hersant, pour construire une scène comique

justifierez votre réponse en vous appuyant sur des éléments précis. Ces trois textes sont comiques car leurs auteurs s’appuient sur différents types de comique. Labiche se sert du quiproquo. L’oncle très sourd ne comprend pas du tout le récit de son neveu et ses commentaires n’ont rien avoir avec le récit de son neveu « je me pique les doigts », « j’en suis bien aise… ».Il utilise aussi le comique de caractère en montrant un Fadinard ridicule. Dans celle de Feydeau ce sont les personnages