Recit Avec Quiproquo

ramenées d’Argentine par son oncle Julius. Un après midi, Lionel, l’ami de Sam en mange par inadvertance et se transforme petit à petit en arbre. Sam est alors en charge d’une nouvelle mission : sauver son ami, et après quelques frayeurs, péripéties et quiproquos, Lionel est sauvé l’arbre aussi, mais l’enfant gardera un stigmate.LECTURE CHAPITRE 3PISTE POUR L’ANALYSE. INTERET PEDAGOInitiation au fantastique. Faire distinguer le réel/ vraisemblable / irréel. ? Planté dans un univers réaliste : décors et situations

travail peut se faire en modules où les élèves, répartis en groupes, proposeront plusieurs "mises en scène". - Lecture analytique de la scène 4 de l'acte I ( v.317 à 352.) : Arnolphe face à Horace. * le comique de situation et ses procédés : le quiproquo, les apartés. * la satire à travers le portrait dépréciatif d'Arnolphe. SEANCE 5 ( 1h.) : les personnages. Etude tabulaire de la présence des personnages au cours de la pièce pour mettre en évidence : * la place centrale d'Arnolphe, son interlocuteur

phrases peut-on remarquer l’intervention du narrateur dans son récit ? Quel est alors le temps verbal employé ? 4. Quelle expression nous montre que le narrateur a de la sympathie pour les deux frères ? 5 . Quel effet produit l’absence de déterminant devant le mot « Pauvreté » et le mot « Famine » ? Relevez les termes qui personnifient la pauvreté. II. Les personnages (ensemble du texte) 6. Combien y-a-t-il de personnages dans ce récit ? Comment sont-il désignés ? A quelle catégorie sociale appartiennent-ils

des spectateurs qui voit le monde en « modèle réduit » et qui admire l’art du metteur en scène. Ironie Tragique : Coïncidence malheureuse qui donne le sentiment que le destin se moque de quelqu'un. Mise en abyme : C’est l’insertion d’un récit dans un autre récit, d’une scène de théâtre dans une autre scène de théâtre. Mise en scène : la mise en scène consiste à organiser le temps de représentation, et à construire, à partir du texte, un univers scénique qui permettra au spectateur de comprendre le

Noir (chap.6), 1830 Introduction : - Nature du texte : extrait du roman Le Rouge et le Noir de Stendhal => récit => topos littéraire : scène de la première rencontre - Tonalité donnée par le titre du chapitre : L’Ennui - Signe de l’affectivité (romantisme)          -> Julien : tristesse, contrariété         -> Mme de Rênal : seule, naturelle, puis angoissée - quiproquo et malentendu Problématique : le jeu des points de vue Nous verrons comment la focalisation permet de présenter

le sourire. On distingue le comique de caractère, de situation, de geste et de mots. Les principaux procèdes du comique sont : * Les effets de surprise. * La répétition de mots, de phrases, de situations. * L’accumulation. * Les quiproquos et les jeux de mots. Le comique peut prendre d’autres nuances : * La satire : le registre satirique consiste a se moquer des défauts ou des ridicules d’une personne, d’un groupe ou d’une époque. Les principaux procèdes de ce registre sont

Le Roman de Renart Introduction : Le Roman de Renart est un recueil de récits médiévaux français des XIIe et XIIIe siècles ayant pour héros des animaux agissant comme des humains. Ce n'est pas un roman à proprement parler, mais un ensemble varié de récits parfois en prose mais souvent en octosyllabes de diverses longueurs et composés par différents auteurs, appelés dès le Moyen Âge « branches » ; on en dénombre 25 à 27 de 300 à 3 000 vers, soit quelque 25 000 vers. Les origines : Certaines branches

de sens que parce qu’elle met d’emblée l’accent sur la question de la courtoisie dans le roman. 7. Relevez les marques de discours direct : quel est l’effet produit par l’insertion de dialogues dans le récit ? Les marques typographiques du discours direct sont les guillemets et les tirets. Le récit est ainsi rendu plus vivant. 8. Relevez les adjectifs qualificatifs utilisés pour caractériser le vilain : comment pourrait-on les classer ? On relève les adjectifs qualificatifs suivants : « laid », «

En quoi le Prologue d’ Amphitryon constitue-t-il une bonne illustration des caractéristiques principales de la comédie latine ? La comédie grecque se développe à partir du Ve siècle avant J.-C. Lors d’une première période nommée « comédie ancienne ». Cette comédie ancienne est connue essentiellement par les pièces d’Aristophane qui sont celles à être parvenues en le plus grand nombre concernant cette période. Suite à cela, la comédie ancienne s’efface pour laisser

de trouver une résolution à une intrigue inextricable et couper court à la comédie pour terminer sur une note romanesque et joyeuse. La scène se divise naturellement en trois parties, avec dans un premier mouvement le quiproquo final et sa résolution (vv. 1718-1740), puis un récit empreint de solennité et distribué à parts égales entre Oronte et Chrysalde (vv. 1741-1763) et enfin les derniers échanges entre les personnages de la scène avant que le rideau retombe, clôturant ainsi cette comédie