Recit Avec Quiproquo

logique interne du récit mais permet au dramaturge de conclure sa pièce de la manière qu'il désire. Elle peut, cependant, désigner au sens propre la simple représentation sur scène d’une divinité. Mais dans l’École des Femmes c’est surtout le fait de comprendre la jeunesse d’Agnès que le deus ex machina s’effectue et permet donc de finir la pièce. SCÈNE  3 : Comme nous l’avons vu, L’École des Femmes contient de nombreux quiproquo dans tout le temps de la pièce. Mais le quiproquo qui occupe une

Introduction Texte dramaturgique : tous les textes de théâtre. Diffèrent de l’adjectif dramatique qui désigne la progression de l’action. Dramaturge : auteur de pièce de théâtre. Le théâtre se différencie du récit car il est avant tout une représentation. Les acteurs imitent les actions et ils sont regardés par des témoins. 1) La composition des œuvres dramatiques. Prologue : ce qui précède l’action, raconté par une personnage qui se trouve hors de l’action. Acte : partie d’une

un de ses amis a rendu souvent visite à Agnès lorsqu’il était absent à la campagne. L’homme rongé par la jalousie, interroge Agnès qui lui raconte ses amours avec Horace. Titre : Un malentendu comique Idée directrice : L’extrait présente un quiproquo caractéristique des mises en scène comique de Molière illustrant la naïveté d’Agnès et la jalousie de son tuteur. Problématique : Quels procédés théâtraux Molière emploie t’il pour mettre en valeur le caractère jaloux et possessif de Arnolphe

offre le diamant que son père porte au doigt. Frosine indique qu’elle aidera Mariane et Cléante. La fureur d’Harpagon éclate quand il découvre en son fils un rival : il le chasse et le maudit. Maître Jacques les réconcilient , mais c’est selon un quiproquo qui se dissipe. Pendant ce temps La Flèche a volé la cassette d’Harpagon. L’avare, dans un monologue, se montre blessé, affolé, furieux, assoiffé de vengeance. Le commissaire enquête. Maître Jacques, qui se venge, accuse Valère. Harpagon est furieux

que les passions y soient excitées, et que tout s’y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait le plaisir de la tragédie. Elle doit s’achever dans le chagrin et le deuil. • Une structure classique : l’exposition, le nœud accompagné de quiproquos, de péripéties, et le dénouement qui voit souvent la mort d’un personnage. • Des thèmes récurrents : l’amour, la haine, la jalousie, le sens de l’honneur et la fatalité contre laquelle l’homme tragique ne peut rien. • Le dynamisme du héros :

final, choisir son destin. Le théâtre moderne a dépassé ce récit en forme de cliché. Ionesco et son théâtre dit de l’absurde nous fait rire de l’ineptie de notre propre vie. L’exemple parfait étant La Cantatrice chauve, où l’on voit un couple très anglais égrener des banalités et être si distant qu’ils s’aperçoivent dans leur conversation qu’ils se sont rencontrés le matin dans le bus sans se reconnaître. Dans le dessein de faire rire, le récit en lui-même n’est, souvent, qu’un prétexte. Il faut pour

roman Jacques Le Fataliste est le récit des amours de Jacques, promis depuis le début, mais sans cesse interrompu. On s’attardera ici sur le commencement, qui n’est pas un véritable commencement puisque Jacques est en effet déniaisé plusieurs fois, en faisant croire à chacune de ses initiatrices qu’elle est sa première. Cet épisode est donc un conte grivois à tonalité comique. Problématique/Annonce du plan Pbs possibles : -A quoi tient le comique de ce récit ? I. Les préliminaires et la révélation

A qui parle-t-on au théatre (aparté et double ˆ énonciation) ? — Introduction à l’interprétation théatrale ˆ — Le nœud du drame — Prendre position dans un dialogue Une scène comique Une scène tragique ? Différence entre tragédie et comédie — Le quiproquo — Le dénouement Durée 2 heures 2 heures 3. Un avare de père Acte I, scènes 45 Acte III, scène 1 Acte IV, scène 3 2 heures 4. Un avare de maître 5. L’affrontement avec Cléante 6. L’affrontement avec Valère et le dénouement 2 heures

mort de Manon. - l.1 : hyperbole « un récit qui me tue » ↳le fait de se remémorer la mort de M est une souffrance telle qu’elle lui ôte la vie ➞ Ce n’est pas une mort physique mais une mort intérieure. - l.1-2 : hyperbole « un malheur qui n’eut jamais d'exemple » ↳ La mort de M serait la + pathétique de l'histoire - l.3 : personnification « mon âme semble reculer d’horreur » ↳ l’âme de DG est capable d’exprimer des émotions humaines, ici, la terreur. ➞ récit très douloureux à relater pour DG II/

artiste et ancienne maîtresse de Tomas devenue celle désormais celle du docteur marié. Cependant, dans cette scène presque intégralement narrative, les deux amants s’enferment chacun dans un monologue intérieur qui permet au lecteur de comprendre le quiproquo à l’œuvre. En effet, Milan Kundera donne à voir l’impossible compréhension mutuelle entre ces deux personnages, puisque l’un se tourne du côté de la pesanteur et l’autre est irrémédiablement attiré dans les filets de la légèreté. Ainsi, le lecteur