Rayon Textile Leclerc

parle alors de zones commerciales. 2. Objectif • Présenter un assortiment de produits réduits mais avec la plus grande profondeur possible ; • Garder des prix compétitifs pour concurrencer les GSM qui développent de plus en plus des rayons non-alimentaires ; • Soigner la présentation, l’agencement des magasins plus une attractivité de plus en plus grande ; • Proposer de plus en plus de service autour des produits (SAV, livraison, aide aux personnes handicapés, fidélité…)

l’organisation 16 5) Diagnostic 17 a) Diagnostic externe 17 b) Diagnostic interne 17 PARTIE 2 : LE MANAGEMENT 18 I) LA MISSION DE MANAGEMENT CHEZ CORA 18 1) Le manager de rayon et le management 18 2) L’organisation du rayon : Qui fait quoi, où, quand, comment ? 18 3) Les risques de la désorganisation 19 4) Rôle du manager de rayon 20 5) Le management individuel de l’employé 21 a) Intégration 21 b) Adaptation 21 c) L’évolution peut conduire à une promotion interne 22 II) GENERALITES SUR LE MANAGEMENT

développement durable dans la Grande Distribution Afin de mieux comprendre l’engagement de Carrefour dans le développement durable, nous avons effectué une étude comparative avec quatre hypermarchés français, concurrents directs du Groupe : Auchan, E. Leclerc, Cora et Géant Casino. 1. Auchan2 Auchan mène une politique de croissance internationale progressive et maîtrisée. Le Groupe compte 400 hypermarchés dans 12 pays, dont 121 en France. En ce qui concerne le développement durable, Auchan mène

1-Analyse commerciale et structurée actuelle de l’unité commerciale dans son contexte local. 1.1Analyse de l’unité commerciale sur son marché 1.1.1 STRUCTURE A- Structure du centre commercial Au second niveau se trouvent les spécialistes en textile Au premier niveau se trouvent plusieurs spécialistes en produits blancs, bruns, gris. L’unité commerciale fait partie du centre commercial Créteil Soleil qui est un centre commercial régional ouvert en 1977 et faisant 108000m² de GLA (cross leasing

des anciennes unions volontaires des groupements d’achat et coopératives de détaillants et de plus en plus proche des succursalistes. C’est le cas, en Allemagne, de Rewe ainsi que d’Edeka, en Italie de Végé et Selex et en France d’Intermarché et Leclerc. Avec la politique constante d’expansion des entreprises de distribution et leur croissance systématique, la concentration sur les principaux marchés européens n’a cessé d’augmenter. Un nombre limité de leaders a conquis des parts de marché de

commerçants détenaient plus de 80 % du chiffre d’affaires du commerce de détail. C’est entre les années 50 et 70 avec l’augmentation du pouvoir d’achat des ménages que la consommation de masse s’est accélérée. C’est en 1949 que le précurseur Michel Edouard LECLERC, lance son premier magasin en libre service, on est encore loin de la grande surface puisque la surface de vente est de 50 m². Cependant cela représente un acteur majeur dans le développement de ses grandes surfaces par la suite. Alors que ce concept

les dernières tendances du textile, des arts de la table ou de la cosmétique. Des rayons plus glamour que les « mégapromos » habituelles. «Pour attirer une clientèle plus jeune et familiale, nous devons réinvestir dans le non - alimentaire», explique le patron qui, depuis son intronisation en 2002, a redonné son agressivité commerciale à l’enseigne. Il était temps! Car, depuis dix ans, le numéro 3 français de la distribution alimentaire, derrière Carrefour et Leclerc, semblait empêtré dans ses

briquets ne sont pas du tout prédéterminés). Identification du besoin, choix du ircuit, recherche d’information produit, choix de l’enseigne 2. Localisation : pouvoir accéder facilement à une catégorie au sein de la surface de vente (trouver le rayon). Le parcours dans le PDV, les flux et localisation des catégories, les communication in-store. 3. Comparaison : « pré-choix », sélection entre différents produits…. La navigation au sein de la catégorie, la structuration de l’univers, le merchandising

expert, et de façon plus précise, le merchandising du distributeur recouvre quatre fonctions concrètes : la définition de l’assortiment (produits offerts...), la présentation des produits en rayon (mobilier, linéaire...), l’animation (mise en avant, promotions, information sur le lieu de vente...) et la gestion du rayon (maintenance, réapprovisionnement...). Sachant que la rentabilité du magasin dépend conjointement des produits vendus et de leur prix, certains incluent même la fixation des prix dans la

dans   les   années   50   dans   un   contexte   économique   favorable   à   la   consommation,   que   la   grande   distribution   est   née.   En   1949,   Michel   Edouard   Leclerc   a   été   le   premier   à   ouvrir   un   magasin  où   les   produits   étaient   en   libre   service   basé   sur   le   modèle   américain   à   Landernau   dans   le