R Anthony 1965

augmente de 25 % ses capacités de production de moteurs. Renault ouvre des négociations avec les partenaires sociaux qui ont pour objectif d'identifier et de mettre en place les conditions et moyens permettant d'assurer une base industrielle, R&D et tertiaire solide et durable en France. NOVEMBRE Fluence et Symbol sont présentées au salon d'Istanbul. SEPTEMBRE JUIN Inauguration de l'usine de l'Alliance Renault-Nissan à Tanger, première usine automobile au monde zéro émission

contrôle d’exécution 2.2 Les premières définitions du contrôle de gestion Anthony (1) définit le contrôle de gestion en 1965, de la manière suivante : « Le contrôle de gestion est le processus par lequel les dirigeants s’assurent que les ressources sont obtenues et utilisées avec efficacité (par rapport aux objectifs) et efficience (par rapport aux moyens employés) pour réaliser les objectifs de l’organisation. » (1):R.N. Anthony; planning and control Systems La notion de contrôle de

subjectivité (comportements humains) et l’objectivité (rationalité des instruments et techniques=> normatifs) La coordination (flexibilité de l’équipe) et l’adaptation (s’adapter a l’environnement du marché), 60’s= USA et GB : théorie de la contingence, Paul R Lawrence et Jay W Lorsh étudiant les conditions du couplage entre organisations et marché (1967) 2 concepts fondamentaux : La différenciation : est une notion plus large que l’idée de division horizontale des structures et fonctions au sein d’une organisation

n’est qu’en 1965 que le contrôle de gestion est présenté sous une forme différente avec le modèle de R.N Anthony. En effet, ce modèle permet aux dirigeants de contrôler et de suivre l’obtention et l’utilisation des ressources de manière efficace et rentable et également de s’assurer du respect de la stratégie de l’organisation par la réalisation des objectifs fixés. Le modèle d’Anthony est une référence dans le domaine du contrôle de gestion. En effet, de par ses célèbres définitions, Anthony a doté les

SONTHEIMER Walther, Der Kleine Pauly : Lexikon der Antike, Stuttgart, Alfred Druckenmüller Verlag, 1967, p. 803-804. Ce dictionnaire donne une plus courte définition du mot “gladiateur” mais il l’alimente en indiquant des sources littéraires. 7. RICH Anthony, Dictionnaire des antiquités romaines et grecques, Paris, Firmin Didot Frères, Fils et Cie, 1873, p. 300. (traduit de l’anglais par CHÉRUEL M.) Ce dictionnaire nous fournit une brève définition du mot gladiateur cependant c’est une des meilleures

Soir, 3 mai 1877. JUNIUS, «M. Édouard Manet», Le Gaulois, 25 avril 1876. LEROY, L., «Le Salon», Le Charivari, 16 mai 1872. LEROY, L., «Tout Paris au Salon», Le Charivari, 6 mai 1874. LEROY, L., «Beaux-Arts», Le Charivari, 23 avril 1876. LESCLIDE, R., Paris à l’Eau-Forte, 1er juin 1873, p.147-148. LORA, L. de (pseudonyme d’Alexandre Pothey), «Le Salon», Le Gaulois, 13 mai 1873. MANTZ, P., «Le Salon», Le Temps, 24 mai 1873. MANTZ, P., , Le Temps, 11 juin 1875. MANTZ, P., Le Temps, 10 avril 1880

gestion a été positionné au départ à l’interface des activités de planification stratégique et des activités opérationnelles, dans un rôle confiné au contrôle de la bonne utilisation des ressources, comme en témoigne la définition proposée par Anthony en 1965 : « le contrôle de gestion est le processus par lequel les managers obtiennent l’assurance que les ressources sont obtenues et utilisées de manière efficace et efficiente pour réaliser les objectifs de l’organisation ». Cette conception est aujourd’hui

comportements devient indispensable. Par conséquent, le contrôle de gestion devient ainsi, un système d’incitation dans lequel les individus trouvent le développement de l’entreprise et le leur. Enfin, une synthèse des définitions est donné par R.N. ANTHONY (1965), pour qui, le contrôle de gestion est le processus par lequel les gestionnaires s’assurent que les ressources sont obtenues et utilisées de manière efficace et efficiente dans la réalisation des objectifs organisationnels. En somme, le contrôle

Reynaud (2003) dans Berland (2008) De la création de valeur actionnariale à la création de valeur partenariale : 1850 – 1910 – centré sur l’actionnaire 1900 – 1950 – prise en compte des revendications des salariés 1945 – 1965 – prise en compte des besoins des clients 1965 - … - demandes sociales et environnementales croissantes de la part des parties prenantes Responsabilité élargie des organisations même si la responsabilité économique reste dominante. Pas de convergence a priori entre les

guide. | Salles I et X [011.75 REYN g] • A World Bibliography of bibliographies and of bibliographical catalogues, calendars, abstracts, digests, indexes, and the like, par Theodore Besterman ; 4e édition, Lausanne : Societas bibliographica, 1965-1966, tome I, col. 55-117 à la rubrique “Academic writings”. complété par : A World Bibliography of bibliographies 1964-1974 (…) : a decennial supplement to Theodore Besterman, par Alice F. Toomey ; Totowa : Rowman and Littlefield, 1977