Quiproquo

Valet de comédie, qui est le personnage essentiel sur lequel repose le comique. Dans la pièce de Marivaux « le jeu de l’amour et du hasard », il fait rire par son langage, par son jeu et par la manipulation de l’intrigue. Marivaux aime utiliser le quiproquo comme procédé humoristique. Dans sa pièce les spectateurs connaissent le dessous des cartes et ils sourient à la fausse ignorance des acteurs. La satire peut également être utilisée, c'est une critique des mœurs et des modes d'une époque, on constate

le sourire. On distingue le comique de caractère, de situation, de geste et de mots. Les principaux procèdes du comique sont : * Les effets de surprise. * La répétition de mots, de phrases, de situations. * L’accumulation. * Les quiproquos et les jeux de mots. Le comique peut prendre d’autres nuances : * La satire : le registre satirique consiste a se moquer des défauts ou des ridicules d’une personne, d’un groupe ou d’une époque. Les principaux procèdes de ce registre sont

personnages ordinaires de la vie quotidienne. Et différents comiques : -Comique des mots : traduit par un certain niveau de langue, lexique -Comique de gestes : vêtements, accessoires (masques), grimaces -Comique de situation : rebondissements, chutes, quiproquos -Comique de répétition : un geste, une action, une phrase sera répétée -Comique de caractère : Caricature, traits exagéré, vices accentués pour paraitre ridicule. Il existe plusieurs nuances de comique : -Le burlesque : extravagance des situations

comédie. Il est très difficile de vivre de sa plume sans avoir de ressources, il faut savoir séduire les bonnes personnes et c’est quelque chose qui est encore d’actualité aujourd’hui.Piron surenchère les procédés comiques. C’est assez chargé en quiproquos, en procédés comiques de toutes sortes.Dans la comédie française, le spectateur doit ressortir grandi de la comédieOrganisation du semestre :Remise du travail : 14 juilletDamis n’est pas Piron, il a des traits de caractère qu’il partage (Piron l’admet)

topos littéraire : scène de la première rencontre - Tonalité donnée par le titre du chapitre : L’Ennui - Signe de l’affectivité (romantisme) -> Julien : tristesse, contrariété -> Mme de Rênal : seule, naturelle, puis angoissée - quiproquo et malentendu Problématique : le jeu des points de vue Nous verrons comment la focalisation permet de présenter les personnages puis de les faire vivre de l’intérieur pour que l’auteur disparaisse au profit des deux héros. I - Le jeu des

pas celui qu’il prétend être. La première partie laisse place à un énorme quiproquo entre Arlequin et Lisette. Effectivement le spectateur est au courant du travestissement qu’il y a entre les 2 personnages Lisette ayant pris le rôle Silvia et Arlequin celui de Dorante tandis que nous sommes complice de cette farce les personnages sur scène ne sont pas au courant se qui entraîne un effet comique à la pièce. Ce quiproquo s’arrête lorsque Arlequin fais son aveu à Lisette mais en laisse place à

situation (par exemple une situation absurde), d'un comportement, d'un caractère ou encore de gestes. Il provoque le rire, le sourire, l'amusement. Les thèmes sont extrêmement variés : les défauts d'un personnage, la vie quotidienne etc. Répétitions, quiproquos, propos décalés, actions ou paroles qui semblent illogiques, jeux de mots (Calembours, néologismes amusants)... Comédies, théâtre de l'absurde, farce, histoires drôles; sketches... Rupture dans l’ordre logique Il fait naître le comique à partir

nœud de l'action : les projets matrimoniaux de l'avare pour lui-même (il veut épouser Mariane, l. 130-132) et pour ses enfants (« une certaine veuve » pour Cléante et pour Élise le seigneur Anselme, l. 145-146). Le ton est ici tendu, en dépit du quiproquo autour de Mariane. Enfin, la scène 5 illustre les principes énoncés par Valère dans la scène 1 : elle montre l'intendant en action, en train d'approuver hypocritement les projets d'Harpagon. 2. Relevez un indice de lieu dans la scène 3 : où se passe

plusieurs types de divertissement comme le plaisir, l’amusement et le rire. En effet, il provoque très souvent le rire pour divertir. Cela se caractérise par exemple par le burlesque avec les différents comiques comme les gestes, les quiproquos, comique de mot, … Par exemple, dans la pièce de théâtre, le Malade Imaginaire, Argan, personnage hypocondriaque, se ridiculise. Effectivement, il est aveuglé par une obsession de la maladie et dépense son argent dans le but de soigner sa maladie

Un obstacle peut être défini comme un écueil, un frein à l’action, qui s’oppose au bon déroulement des évènement. Le déguisement peut en effet représenter un obstacle dans une comédie, et ainsi il est un des moteurs de l’intrigue, facteur de quiproquos, mais aussi une gêne psychologique pour le personnage. Le travestissement sert, comme tous les obstacles d’une intrigue, à créer une tension dramatique dans la pièce : dans une comédie où les personnages sont déguisées, on attend généralement