Quiproquo

l’histoireUn quiproquo tragi-comique Le quiproquo nait de l’absence de communication entre la mère et la fille : la fille n’entend pas ce que sa mère lui dit : ici entendre a un double-sens  elle n’entend pas au sens propre ce que sa mère lui dit car celle-ci murmure et est donc inaudible et elle n’entend pas au sens figuré car peut-être ne veut-elle pas véritablement écouter ce que lui dit sa mère et digresse à partir de bribes de mots qu’elle déforme.Le comique Comique de situation avec le quiproquo lui-mêmeComique

cours de ses mésaventures, il croise deux gardes Suisses qui en veulent à sa vertu. Ces derniers pensent donc aborder une jolie dame. Dans ces deux textes, le procédé dramaturgique utilisé est le quiproquo, car les personnages ne parlent pas du même sujet, ce qui entraîne un comique de situation. Le quiproquo intègre la complicité du public qui comprend que deux personnages se méprennent et se trompent. 2- Dans le texte A, Harpagon et Valère ne parlent pas du même sujet. Harpagon croît comprendre

b) Qu’est ce qui rend ces trois textes comiques ? Vous justifierez votre réponse en vous appuyant sur des éléments précis. Ces trois textes sont comiques car leurs auteurs s’appuient sur différents types de comique. Labiche se sert du quiproquo. L’oncle très sourd ne comprend pas du tout le récit de son neveu et ses commentaires n’ont rien avoir avec le récit de son neveu « je me pique les doigts », « j’en suis bien aise… ».Il utilise aussi le comique de caractère en montrant un Fadinard

texte à lire/ un spectacle à voirLe non-verbal : -Didascalies-Didascalie interne-Didascalie initiale- décors, costumes, objetsLes mots-clefs de l’intrigue : -Actes/ Scènes-Coup de théâtre-Quiproquo-Deus ex machina-Scène d’exposition(I,1), nœud, dénouement-dilemme-ironie tragiqueDéfinitions  : · Répliques  : les paroles qu’échangent les personnages sur scène ·

Texte : Molière, L'école des femmes, Acte III, scène IV, 1662 Problématiques: Qu'est ce qui fait de ce passage une scène quiproquo? I- Le récit d'horace 1-Un renversement de situation -Horace ignore que M de la souche est une seule et meme personne: il fait d'Arnolphe son confident, ignorant que ce dernier est aussi son rival => quiproquo -Arnolphe a conseillé à Agnès de jeter une pierre à Horace pour freiner ses ardeurs amoureuse et c'est finalement par ce moyen qu'elle commuique avec

dernier qui le prend pour un voleur. En quoi cet extrait est-il comique et donc représentatif du vaudeville? Nous verrons tout d'abord le duel opposant au début de la scène Beauperthuis et Fadinard. Puis, nous analyserons le dialogue de sourds et le quiproquo entre les deux personnages qui amplifient le comique de situation. Et enfin, nous étudierons le coup de théâtre final. I. Le duel entre Beauperthuis et Fadinard (l.1 à 16) Dès le début de cette scène, la didascalie "se promenant agité" (l.1)

coups perdus ), de situation, de mœurs ( lorsqu’on se moque de la façon de vivre / des coutumes d'une société [ ex : bourgeois, campagnards, …], quiproquo, comique de caractère ( ex : caricature d'un personnage ). Les procédés utilisés : On retrouve dans le registre comique toutes les techniques utilisées pour faire rire le spectateur ( quiproquo, comique de situation, de mœurs,...) ou pour critiquer ( caricature ) une société par exemple. - Le registre épique : Une épopée :

d'expressivité. I : Le théâtre, lieuprivilégié d'une parole vivante. 1 : Un genre basé sur l'échange et la communication ( prendre n'importe quelle pièce de Molière comme exemple ). 2 : Un lieu privilégié pour interroger le langage (quiproquos + théâtre de Marivaux, se découvrir à travers le langage ; le discours aide à la prise de conscience du personnage, il progresse dans la connaissance de sa propre psychologie. Voir extraitfounri Le jeu de l'Amou et du hasard ). 3 : Un art de

  le  comique de mots,  le  comique  de  gestes.  Ces  aspects  du  comique  se  superposent  le  plus souvent. Parfois certains dominent nettement. (La farce repose sur les situations et les gestes, le patois des valets, le quiproquo, sur le langage). Repérez les  différents effets comiques, même s’ils ne vous font pas rire a priori. Un bon metteur en scène peut en tirer parti. Imaginez comment.   • COMMEDIA  DELL’ARTE :  forme  de  comédie  improvisée 

l’utilisation du quiproquos, qui est une situation banale de la vie quotidienne, qui est souvent repris dans la comédie et même exagéré. Effectivement, le quiproquo est un mal entendu, une confusion souvent entre deux personnes à cause de l’ambiguïté du langage, qui amené à une situation comique. D’ailleurs on retrouve souvent, le quiproquos dans les comédies de Moliere. Par exemple, dans Le malade imaginaire, alors qu’Angélique et son père parlent de la demande en mariage, il y a un énorme quiproquo qui se