Quiproquo

docere »). Molière veut proposer un véritable divertissement et faire rire grâce à la comédie et au spectacle. En effet, il met en place des actions typiquement comique pour inciter au rire. Il y a des quiproquos, des travestissements et des mensonges. On retrouve plusieurs quiproquos dans cette pièce, notamment un très comique acte II scène 5. En effet, Thomas Diafoirius, dès son entrée, se trompe entre sa belle-mère et Angélique qu’il doit épouser, « Thomas Diafoirius « Madame, c’est avec

la comédie et du genre théâtral de Molière à Dany Boon en passant par Marivaux. En effet, Molière critique et se moque de la bourgeoisie en tournant en dérision les comportements stéréotypés de son temps. Pour Marivaux, il créé par le procédé du quiproquo une situation comique dans laquelle les protagonistes vont dévoiler l’amour d’un couple impossible en confondant les rôles des différentes classes sociales de l’époque. De même, caricatural à l’extrême, Dany Boon fait découvrir une région, une population

scène. Aparté : partie du discours d’un personnage destiné aux spectateurs et dissimulé aux personnages. Didascalies : indication scénique de l’auteur. Double énonciation théâtrale : le destinataire peut êtres l’interlocuteur et le spectateur. Quiproquo : qui pour qui : méprise qui consiste a prendre quelqu’un ou quelque chose pour une autre (procédé fréquent dans la comédie). Méprise tragique ou ironie tragique : le héros ne discerne pas la menace qui pèse sur lui contrairement aux spectateurs

un de ses amis a rendu souvent visite à Agnès lorsqu’il était absent à la campagne. L’homme rongé par la jalousie, interroge Agnès qui lui raconte ses amours avec Horace. Titre : Un malentendu comique Idée directrice : L’extrait présente un quiproquo caractéristique des mises en scène comique de Molière illustrant la naïveté d’Agnès et la jalousie de son tuteur. Problématique : Quels procédés théâtraux Molière emploie t’il pour mettre en valeur le caractère jaloux et possessif de Arnolphe

personnage biblique qui n’avait pour se nourrir que les miettes du festin des riches). 2) Le registre comique. -comique de situation : cette pièce repose sur un jeu de rôle donc présence d’un quiproquo. Roxane pense que c’est Christian qui la flatte ; « Et tu es beau comme lui ! ». Quiproquo accentué lorsque C. fait croire à sa cousine qu’il vient d’arriver et que cette dernière le salut ; « Bonjour cousin ! ». -comique de geste : didascalie ; »poussant Christian vers le balcon », « le poussant

sentiment de puissance éprouvé par Swann par rapport à Odette. Cette jalousie se déploie dans un monde imaginaire et fictif ce qui va crée un effet comique par le retour a la réalité. II. COMMENT CETTE SCENE SE TERMINE COMME UNE SCENE DE QUIPROQUO COMIQUE ? a) aspet de suspens Attente avec « sur le point de frapper » puis il frappe enfin « il frappa » (ligne 29), « il refrappa plus fort » mais on ne l’avait pas attendu et « il frappa encore » (ligne 30). on ouvrit la fenêtre: le on

décorsArgument 2  : Un élément du décor permet une mise en scène de la pièce. Dans le mariage de Figaro, le fauteuil présent dans la chambre de Suzanne et Figaro se transforme en « lieu de cachette ». Il permet de nombreux rebondissement et des quiproquos dans la pièce. Les objetsArgument 3  : Un effet comique. Les accessoires peuvent avoir un effet comique lorsqu’on les utilise. Dans Les fourberies de Scapin lorsque Scapin donne des coups de bâton à Géronte qui est dans un sac

comédie au XVIIe siècle : le classicisme Questions (6 points) Question 1 Dans les textes A et C, Molière utilise un quiproquo dont l’effet est comique. Dans l’extrait de L’Avare (texte A) en effet, tandis qu’Harpagon se lamente de la perte de sa chère cassette et pense que c’est Valère qui la lui a dérobée, Valère évoque son amour pour Mariane, la fille d’Harpagon. Le quiproquo se noue donc autour de la confusion qu’engendrent la situation et les mots. Ainsi, toutes les répliques de Valère sont

de la Comtesse. Craignant la fureur du mari, elle finit par lui avouer la présence de Chérubin. Le Comte, fou de colère, ouvre la porte et trouve Suzanne, qui informe tout bas sa maîtresse de la fuite de Chérubin. B- Repère pour la lecture Quiproquos et renversements de situation Le personnage caché est à nouveau au centre d'un jeu de scène comique. Les scènes se succèdent avec rapidité. La substitution des personnages dans le cabinet permet des renversements de situation. Beaumarchais distille

un peu particuliers : Cyrano parle pour Christian et sa déclaration est celle du jeune homme aux yeux de Roxane. Ceci implique une confusion certaine dans les événements et un quiproquo : qui parle à qui ? Pour lui dire quoi ? - Le spectateur est le seul à pouvoir vraiment savoir quel rôle est joué par chacun : quiproquo pour Roxane, duplicité de Cyrano, … Il possède toutes les informations pour décrypter la scène et ne peut que compatir devant l’abnégation de Cyrano (dont il est le seul à avoir