Quiproquo

Ecrite par Victor Hugo en 1838, cette œuvre s’inscrit dans le mouvement littéraire du baroque, elle a pour thème l’illusion et l’ouverture sur l’infini et possède certains caractères du drame romantique. Le passage étudié montre l’affrontement et le quiproquo entre Don César et Don Guritan. Le commentaire de ce texte va nous permettre d’approfondir comment Don César va prendre le dessus lors de son affrontement moral et physique contre Don Guritan en utilisant un dialogue savoureux et décryptant l’affrontement

jeu d’identités masquées. Le thème du masque et de la dissimulation est bien visible. Ainsi, Roxane loue les paroles qu’elle croit prononcées par Christian. Elle ne tombe pas amoureuse de son identité mais bel et bien de son discours. Dès lors, un quiproquo grossier se met en scène sous les yeux du spectateur. Il y a une mise en abîme dans la mesure où une scène de théâtre est jouée à l’intérieur même de la pièce de « Cyrano de Bergerac ». Dès lors, la scène jouée prend une nouvelle tournure. N’est-ce

représentée. De plus le mouvement, la vivacité des dialogues et la musicalité nous confirme bien le souhait d’interprétation de cette pièce par l’auteur. II- Renversement, échange de rôle et travestissement La scène 7 de l’Acte 5 présente un quiproquo dans lequel le comte est la victime. Le comte croyant parler à Suzanne, parle en fait à sa femme et lui fait des confidences qu’il ne lui aurait jamais faites en temps normal. Le comte exprime ses vrais sentiments, il ne cherche pas l’amour mais

roman L'apologue Les registres L'argumentation La narration Introduction Cet extrait du Jeu de L'amour et du hasard illustre le génie comique de Marivaux. C'est d'abord la situation qui prêt a rire : du quiproquo (=Méprise qui fait prendre une chose, une parole ou une personne pour une autre) à l'aveu, Arlequin introduit des retards qui traduisent son embarras. En parlant, il libère Lisette de ses propres scrupules et la scène s'achève sur un deuxième aveu

un personnage qui s’adresse à : lui-même, seul sur scène. Il permet au personnage de faire le point sur sa situation, sur la difficulté qu’il éprouve pour communiquer ou pour exprimer des hésitations quant à une décision qu’il doit prendre. -Le quiproquo : incompréhension, malentendu qui survient dans un échange : de paroles. Chaque personnage interprète mal ce que dit l’autre. -La stichomythie : répliques courtes qui peuvent parfois être violentes et : qui forment un échange rapide, rythmé.

et apprend que cette-dernière a fréquenté un jeune homme durant son absence. Il décide ainsi de mener un interrogatoire implicite et explicite dans le but de lui extorquer des aveux. La scène est basée sur un quiproquo entre les

de critiquer les défauts de la société. Or, si elles critiquent la société, il semble évident qu’elles reflètent, malgré une légère exagération, les travers de l’époque à laquelle elles sont écrites. Malgré le côté comique des balourdises et des quiproquos, on se rend compte que ceux-ci peuvent être superflus, et ne servir en fait que d’ "enrobage", tout comme le reste de l’intrigue. Par exemple le problème posé dans Le Barbier de Séville est la condition de la femme, ainsi que dans L’Ecole des Femmes

travers et le ridicule des hommes. L'adhésion jouera de la complicité dans le cas du registre comique qui sort le lecteur de lui-même en le divertissant. La tonalité comique consiste à provoquer le rire à l’aide de divers procédés : jeux de mots, quiproquos, répétitions, associations burlesques, etc., avec des tonalités particulières comme l’humour. La tonalité comique déforme la réalité à travers des situations qui provoquent le rire et l’ordre habituel des choses, la logique du langage, des gestes

à Mme Deman uniquement ce qui lui était du, c'est-à-dire son préavis et ses congés payés. 5) Je qualifierai le litige qui oppose Mme Deman et son employeur représenté par M. Lemoine de licenciement déguisé. En effet, M Lemoine a profité d’un quiproquo sur les dates de reprise de Mme Deman pour considérer qu’elle avait fait une démission « spontanée ». 6) Mme Deman est secrétaire pour la Société KAY (salarié), elle est demanderesse. M. Lemoine est gérant de la Société KAY (employeur), il est

dont il ne peut s’en passer, mais que cet amour n’est point réciproque. Néanmoins, cet amour que porte Arnolphe pour Agnès, le rend vulnérable, car il exprima par inadvertance son désarroi amoureux lors de la présence du notaire, créant ainsi un quiproquo entre ces deux personnages. Pour finir, on se rend compte que Mr de la Souche est en fait un homme possessif et vicieux vis-à-vis