école des femmes
Sans cette scène, il n'y aurai pas de pièce. En effet, c'est à ce moment précis que les problèmes commenceront, surtout pour Arnolphe.
Arnolphe reconnait Horace, fils d'Oronte. C'est un ami, et aussi une très vieille connaissance. Horace lui raconte les nouvelles, en particuler la venue prochaine d'Oronte et un certain Enrique, pour une raison inconnue.
Par la suite, Horace confie à Arnolphe qu'il a eu une aventure avec quelqu'un qui logerait en ces lieux, montrant du doigt le logis d'Agnès. Arnoplhe, abasourdi, ne sait plus ou se mettre.
Inconsiamment, Horace se moque d'Arnolphe, il ne sait pas qu'Arnolphe est en verité M. de la Source, le futur époux d'Agnès, son rival. A priori, la situation comique serait un quiproquo.
Pour finir, Arnolphe se livre à un monologue. Nous parlerons d'abord de la situation comique, puis d'Horace, un jeune premier et enfin du trouble d'Arnolphe. Dans ce passage, on repère une situation comique, notamment un quiproquo. Il débute lorsque Horace nomme Agnès comme étant son amante "C'est Agnès que l'on l'apelle" au vers 327.
A partir de cette réplique, Arnolphe est troublé (nous y reviendrons dans la troisième grande partie de ce commentaire) et s'embarque dans un monologue. Horace ne sait pas que "l'homme" qui cache Agnès, et en faite Arnolphe, sous son nouveau nom.
Ensuite, Horace demande a Arnolphe s'il connaît cet homme "Le connaissez-vous point ?" au vers 332. Une fois de plus, le quiproquo se confirme. Pour finir, on repère au vers 335 Horace qui dit "C'est un fou n'est-ce pas ?"
Ceci ne laisse plus aucun doute sur le quiproquo, Horace ne sait pas qu'Arnolphe est l'homme en question, il se moque de lui sans s'en rendre compte. En plus du quiproquo, la différence entre les deux personnages favorisent le comique de