Question prioritaire de constitutionnalité

étroitement les juridictions nationales à l’administration de la justice dans le cadre communautaire ». Conçu au départ par les « père fondateur des traités » comme un simple renvoi dans l’intérêt de la loi, à l’image des contrôles de constitutionnalité, établit en Allemagne, en Italie, progressivement, la Cour de justice a modifié sa philosophie profonde pour en faire un moyen privilégié d’intégration judiciaire. Par une « révolution toute prétorienne », il est devenu au fil du temps

gouverne » ?  Introduction : les principes généraux du droit sont en fait les sources du droit administratif qui se consacrent à la protection des droits des administrés. En France le système est celui de droit écrit, la Constitution et son bloc de constitutionnalité, la loi, les règlements ou encore les traités internationaux. Le juge doit appliquer des règles écrites sauf qu’il l’impose à l’autorité administrative c’est le respect de règles non écrites qui sont les principes généraux de droit. Le mot « Gouverne »

les lois de la République ; 1974 avec l’élargissement de la saisine aux parlementaires (ce qui permet la saisine par l’opposition) et enfin l’aboutissement avec la question prioritaire de constitutionnalité en 2008 .Face à cette évolution on pourrait se demander quel est le rôle du Conseil Constitutionnel. Aujourd’hui, la question de l’importance du rôle du Conseil constitutionnel a trouvé aujourd’hui une réponse satisfaisante. Il est en effet possible d’affirmer aujourd’hui que le Conseil

sans privation de liberté du suspect, et qui permettront le cas échéant ultérieurement d’asseoir une décision de condamnation. Sa nécessité a d’ailleurs été reconnue par le Conseil constitutionnel, qui, dans sa décision rendue sur question prioritaire de constitutionnalité le 30 juillet 2010, a rappelé que la sauvegarde de l’ordre public constitue un objectif à valeur constitutionnelle, tandis que la prévention des atteintes à l’ordre public et la recherche des auteurs d’infractions traduisent des

49. La supériorité de la Constitution dans l’ordre interne 78 50. La place des traités : le contrôle des traités par rapport à la Constitution dans l’ordre interne 79 51. La place du droit de l’Union Européenne 80 52. Contrôle de constitutionnalité et contrôle de conventionalité 81 53. La répartition des compétences normatives entre les autorités nationales. Présentation historique 83 54. La double définition de la loi : art. 34 84 55. La compétence réglementaire : art. 37 86

Gouvernement et le Parlement. La discussion et l’adoption de a révision peut relever du Parlement mais aussi du peuple. La protection de la C° Elle a une valeur supérieur à la loi qui dt être conforme à la C°. Pour cela on a instauré le contrôle de constitutionnalité des lois. A) L’organe de contrôle Le contrôle peut être exercé par une autorité juridictionnelle : les juges vont se fonder sur le droit et non sur l’opportunité des textes. B) Les modes de contrôle Contrôle par voie d’action : Cherche à obtenir

celle qui s’applique en vertu de la loi, s’appelle coutume secundum legem. praeter legem: établi dans le silence de la loi contra legem: La coutume contra legem est contraire à la loi, elle lui résiste en s’instaurant contre elle. Pour examiner la question de la légitimité d’une interprétation paraissant incompatible avec la lettre et l’esprit d’une loi, le tribunal pourra parler d’une interprétation contra legem. loi impérative : Loi a laquelle on ne peut déroger, que ce soit par contra, convention

ordonner une expertise ou enjoindre la communication d’un document. – Enfin, à la demande des parties au litige, les tribunaux administratifs ou les cours administratives d’appel peuvent transmettre une question prioritaire de constitutionnalité au Conseil d’État, et ce dernier peut renvoyer la question au Conseil constitutionnel afin qu’il se prononce sur la conformité d’une disposition législative aux droits et libertés protégés par la Constitution.

Les conflits entre l’inconstitutionnel et les normes de l’union européen Le conflit entre un question prioritaire de constitutionnalité et un recours prejuditielle devant la cour de justice de l’une , APPLICATION ou interprétation d’un texte de loi européen cette juridiction peut saisir la cour de justice de l’union européen pour que celleci lui indique quelle est la bonne application ou interprétation du droit de l’ue . Or dans ce double contrôle la cue vérifie à veiller , on peut se trouver

voie d’action et il est facultatif, ainsi la saisine est donc très restreinte car seuls les trois présidents (de la République, du Sénat et de l’Assemblée Nationale), et 60 députés et/ou 60 sénateurs peuvent saisir le Conseil pour apprécier la Constitutionnalité d’une loi, et de plus toutes les lois ne sont pas contrôlées. Ainsi, plus de cinquante ans après sa naissance, on peut se demander s’il n’est pas nécessaire de réformer le Conseil Constitutionnel ? Pour cela nous verrons que le Conseil Constitutionnel