Punir Est Ce Se Venger

- correctrice (réparation vis à vis de la victime l'emporte sur la peine du coupable) --> justice réparatrice ds les tribunaux. Texte de HEGEL : mq le but de la justice est de punir et pas de venger (≠ émotionnel). La justice se veut rationnelle et non pas émotionnelle, et vise une chose et une seule : la paix sociale * Les Pythagoriciens : pour une justice de la réciprocité ("oeil pour oeil, dent pour dent") ARISTOTE distingue

œuvre « Les Mouches ». B. Résumé de la pièce : Dans une ville mythique, Argos, Oreste est un jeune homme de 18 ans qui rentre dans sa ville natale après 15 ans d’exil à Athènes. Il est accompagné d’un Pédagogue. La mission d’Oreste est de se venger de l’actuel roi d’Argos, Egisthe, qui a assassiné l’ancien roi d’Argos, Agamemnon, le père d’Oreste, 15 ans auparavant. Clytemnestre, la mère d’Oreste qui est la reine d’Argos est complice d’Egisthe et fait aussi l’objet de vengeance projetée d’Oreste

mort que je veux ; Elle aurait trop d’honneur de n’avoir que ma peine, Et de verser des pleurs pour être deux fois reine. Ici Médée montre la jalousie qu’elle ressent envers Créuse. Sa haine a pris de l’ampleur : elle ne veut plus seulement se venger de Jason mais maintenant aussi de Créuse. Pour cela elle fait semblant d’accepter la demande de Créuse de lui donner sa robe. Mais en réalité, elle piège sa robe dans le but de la tuer et d’accomplir sa vengeance cruelle. c. Apothéose de l’horreur :

d’enfermer le coupable : «la prison perpétuelle suffirait » (ligne 4), « À quoi bon la mort ? » (ligne 5) et «Pas de bourreau où le geôlier suffit » (ligne 9). L’auteur poursuit en exprimant la valeur et le rôle de chaque personne : « punir est de dieu » (ligne 11), « se venger est de l’individu » (ligne 11), « Elle doit corriger pour améliorer » (ligne15), sous entendu que cette troisième personne est la Justice. Nous pouvons penser que si Victor HUGO éprouve le besoin de faire part des rôles de chacun

confidente nourrisse a maitresse , annonce à Thésée qu’Hippolyte a tenté de séduire Phèdre en la menaçant, et elle donne pour preuve l'épée qu'elle a soigneusement discretement cachée . Thésée bannit Hippolyte et prie Neptune, dieu de la mer, de le venger. Phèdre veut le faire changer d’avis mais elle apprend qu’Hippolyte aime Aricie. Mécontente d’avoir une énemie , elle ne fera donc rien pour le défendre. Acte V Hippolyte part après avoir promis à Aricie de l’épouser hors de la ville. Thésée

Cyclope Polyphème, fils de Poséidon, qui réclame une vengeance auprès de son père (chant IX v.228 à 336). A partir de ce moment, le Dieu de la mer met tout en œuvre pour se venger d’Ulysse, comme dans le chant V où il provoque une tempête qui aurait pu être fatale à Ulysse si la déesse Ino n’était pas intervenue. Il va même jusqu’à punir les phéaciens pour avoir contribué au retour d’Ulysse en le raccompagnant jusqu’en Ithaque car il leur empêche l’accès à la mer (chant XIII v.128 à 138) alors que les

Chimène poussé par le devoir de venger son propre père, se retrouve privé de l’amour de Chimène. Après avoir vu comment s’exprime l’amour impossible entre Chimène et Rodrigue, nous étudierons comment le lyrisme s’exprime dans cette scène. Dans cette scène, on peut remarquer une très forte tension dramatique, un grand conflit, entre l’amour et l’honneur. Chimène et Rodrigue brûlent d’amour l’un pour l’autre, tout en étant face à un devoir cruel. Chimène doit punir Rodrigue pour avoir tué son père

amoureux de Chimène, il est contraint de venger son père, victime d’une humiliation par celui de Chimène, au risque de perdre sa bien-aimée. Il devient, à la fin de la pièce, « Le Cid » qui est un capitaine devant servir et défendre son roi. B. Chimène Fille du Comte et amoureuse de Rodrigue, Chimène va voir son bien-aimé tuer son père et son cœur se briser. Follement amoureuse mais profondément touchée, Chimène décide de parler de l’affaire au roi et de punir Rodrigue. A la fin de la pièce, elle

est témoin, je ne voudrais pas y avoir parlé comme toi. Que feras-tu de cette fille-là, maintenant, quand elle viendra, avec tes baisers ardents sur les lèvres, te montrer en pleurant la blessure que tu lui as faite ? Tu as voulu te venger de moi, n’est-ce pas, et me punir d’une lettre écrite à mon couvent ? tu as voulu me lancer à tout prix quelque trait qui pût m’atteindre, et tu comptais pour rien que ta flèche empoisonnée traversât cette enfant, pourvu qu’elle me frappât derrière elle. Je m’étais

alors son rival ; Don Diègue trop âgé pour se défendre s’en va trouver son fils Rodrigue pour qu’il assure sa vengeance. Une fois seul, Rodrigue se lamente sur ce coup du destin qui le pousse à choisir entre son honneur et l’amour. Mais il se décide à venger son père. Acte II Ne tenant pas compte des pressions royales, le comte refuse de s’excuser. Rodrigue trouve l’offenseur de son père et lui demande réparation, le convaincant alors de se battre avec lui. Chimène, en visite chez l’Infante, craint