Punir Est Ce Se Venger

Présentation de l’auteur • Partie II: Résumé rapide • Partie III: Analyse & morale Prométhée Personnage de la race des Titans, à l’origine de la civilisation des hommes. Il déroba aux dieux le feux sacré et le transmis aux hommes. Zeus, pour le punir, l’enchaîna sur le Caucase (Montagne située entre la mer noir et la mer Caspienne) où un aigle lui rongeait le foie qui repoussait éternellement. Prométhée a donc voulu être plus fort que les dieux, comme Frk qui a voulu redonner vie à qqchose

que reçoit Epiméthée est la boite à pandore (avec dedans , laisse échapper les maux tels que la fatigue, la maladie, la souffrance et la mort 3 - Résumé de l'histoire de la boîte de Pandore : Pandore fut créée sur l'ordre de Zeus qui voulait se venger des hommes pour le vol du feu par Prométhée. Elle fut ainsi fabriquée dans de l'argile et de l'eau par Héphaïstos ; Athéna lui donna ensuite la vie, lui apprit l'habileté manuelle (elle lui apprit entre autres l'art du tissage) et l'habilla ; Aphrodite

attendre plusieurs dizaine de pages avant de voir s’accomplir un événement annoncé. Par exemple, avec la lettre 4, Merteuil demande à Valmont de séduire Cécile afin de la venger de Gercourt ; la lettre 5 nous apprend le refus du Vicomte : c’est trop facile ; retournement de situation à la lettre 44 : Valmont finalement accepte, afin de punir Mme de Volanges de le desservir auprès de Tourvel ; les lettres 96 et 97 annonce sa « victoire » à Merteuil, selon le point de vue de Valmont puis selon celui de Cécile

contre un seul, quel principe de justice peut l'autoriser à lui donner la mort ? quelle nécessité peut l'en absoudre ? Un vainqueur qui fait mourir ses ennemis captifs est appelé barbare ! Un homme fait qui égorge un enfant qu'il peut désarmer et punir, paraît un monstre ! Un accusé que la société condamne n'est tout au plus pour elle qu'un ennemi vaincu et impuissant ; il est devant elle plus faible qu'un enfant devant un homme fait. Ainsi, aux yeux de la vérité et de la justice, ces scènes de

cependant cet extrait ; en effet, l’auteur a recours à des maximes qui transmettent son message comme des vérités reconnues, ce qui a plus de poids que l’expression d’une opinion personnelle : "Pas de bourreau où le geôlier suffit", "Se venger est de l’individu, punir est de Dieu" ; cette dernière formule a les accents d’un nouveau commandement qui s’oppose à celui du talion : "Œil pour œil, dent pour dent.". En outre, aux formules d’obligation impersonnelles et presque vidées de leur sens ("Il faut")

colère envers Hippolyte après lui avoir dit non et l'avoir rejeté, Phèdre énervé par cette décision ne pensa qu'à faire un seule chose se venger. Elle finit donc par écrire a son amant que son beau fils,le fils de Thésée et elle accuse le jeune homme d'avoir cherché à la violenter.Son père se met donc en colère envers Hippolyte et demande au dieu Poséidon de le punir et cella le conduit a la mort. Phèdre accablé de remords par sa mort se culpabilisa de sa mort et finit par ce suicider. Phèdre n'a donc

matériel, par exemple, un individus peut commettre un crime, mais il ne le fait pas car il n'a pas le droit. Les individus ont donc besoin d'avoir des droits, des lois qui leurs permettent de vivre mieux dans l'État avec la justice qui a pour but de punir les personnes commettant le « hors-la-loi ». La politique doit donc créer des lois, les conserver, les améliorer voir rectifier afin de garantir les libertés de chacun en sachant qu'ils ne doivent pas nuire aux autres. L' État politique à le devoir

joie ! 1 25 ORESTE Empoisonner sa joie, y porter ma douleur ; Que mes cris jusqu’au ciel puissent se faire entendre ; Qu’ils appellent la foudre, et la fassent descendre ; Qu’ils réveillent cent rois indignes de ce nom, Qui n’ont osé venger le sang d’Agamemnon. Je vous pardonne, hélas ! cette douleur captive, Ces faibles sentiments de votre âme craintive : Il vous ménage au moins. De son indigne loi Le joug appesanti n’est tombé que sur moi. Vous n’êtes point esclave, et d’opprobres

cesse ; L’épouvante les prend ; Médée en raille, et fuit. Le jour découvre à tous les crimes de la nuit ; Et pour vous épargner un discours inutile, Acaste, nouveau roi, fait mutiner la ville, Nomme Jason l’auteur de cette trahison, Et pour venger son père assiège ma maison. Mais j’étais déjà loin, aussi bien que Médée ; Et ma famille enfin à Corinthe abordée, Nous saluons Créon, dont la bénignité Nous promet contre Acaste un lieu de sûreté. Que vous dirai-je plus ? mon bonheur ordinaire

par dieu. Dieu sait ce qu’il commande, donc les guerres dictées par dieu ne sont ni à admirer ni à blâmer car il ne s’agit non plus de cruauté mais d’obéissance. Ce qu’il faut blâmer dans la guerre, c’est « le désir de nuire, l’envie cruelle de se venger, une animosité implacable et sans pitié, la fureur de la révolte, la passion de dominer ». Les guerres doivent alors entreprises « sous le commandement de dieu » afin de faire disparaître ces vices. La guerre est donc juste lorsqu’il s’agit d’un ordre