Puisqu'il faut vivre

Vivre, c'est naître, grandir, vieillir et mourir. Il n'est pas rare de constater que le temps est capital, essentiel envers l'homme. Une chose où l'on doit organiser, planifier, programmer, de façon à être le plus heureux possible. L'expression «la fuite du temps» nous fais penser à un moment tragique, que l'homme doit entretenir sans cesse. La métaphore de la fuite exprime réellement la rapidité, quelque chose que nous sommes pas en droit de maîtriser. Le plus souvent les hommes disent que le

désir est donc infini et multiforme, selon Platon, « le désir est une bête multiforme et polycéphale ». Le désir se distingue du besoin par sa non-satisfaction qui n'entraîne pas la mort. Pourtant, le désir possède un point commun avec le besoin puisqu'ils engendrent tous deux un manque. Or tout manque se traduit par une souffrance, qui nous pousse à le combler. De ce fait, la souffrance semble être le symptôme du désir lui-même. Ces deux notions semblent donc liées et indissociables. Cependant, placer

grandes pièces de théâtre. Pour preuve, la vie à deux impose de nombreuses contraintes, il faut savoir s’habituer à l’autre pour l’accepter comme il est. Ce n’est malheureusement pas toujours évident. Ensuite, la vie peut parfois nous pousser à commettre des erreurs qui peuvent nous coûter notre couple. Certains aspects de la vie comme la distance ou l’âge peuvent également empêcher deux individus de vivre ensemble. De plus, personne n’est à l’abri du risque de rencontrer quelqu’un d’autre, que ce

hommes ou les plantes, etc. Cependant le terme existence vient étymologiquement de « ex-istere » qui signifie « se tenir hors de » ; l’existence est donc quelque chose qui m’échappe car elle est ouverture, elle est toujours au-devant d’elle-même. Il faut donc parvenir à « se tenir hors de » soi pour donner un sens, c’est-à-dire une direction, une signification à son existence. Ainsi cette réflexion sur l’existence va nous amener, dans un premier temps, à nous demander : Tout ce qui existe, ce qui est

Pourquoi sommes-nous sur terre? Comment vivre notre vie? Cette dernière me fait penser à une question très importante et fondamentale : Pour fonder la vertu, faut-il faire appel à la pensée rationnelle ou à la tradition? Selon moi, il faut faire appel à la pensée plutôt qu’à la pensée rationnelle et je vais me justifier dans le texte suivant. Argumentation de départ : La vertu est un élément de la vie qui est incontournable. Plusieurs personnes croient qu’il faut faire appel à la tradition pour fonder

pouvoir les contrôler. Selon Rousseau, il faut rester fidèle à la pensée de Socrate, qui lui ne se conformait jamais et restait toujours sous son vrai jour. Il est mieux que quelqu’un soit non raffiné et qu’il préserve sa vraie nature qu’il aille à l’université. Les jeunes sont plus en contact avec la nature puisqu’ils s’opposent à la conformité. La personne qui a le plus de difficulté à se conformer à la société est ce que la nature préserve. Il ne faut pas avoir une pensée dogmatique qui réduit

Notre société actuelle, communément appelée société de consommation, est l’exemple parfait d’une société gouvernée par le désir : le désir de posséder plus, et encore plus (d’argent, de pouvoir, de prestige, etc.), de voir grand et de vivre mieux, de vivre la vie des autres... Mais ce désir constant a ruiné, à maintes reprises, des familles entières, voire même des Etats, et a occasionné des dommages irréparables, matériellement et psychologiquement : ce désir, à maintes reprise, n’a engendré que

Le désir peut-il nous rendre heureux ? L'opinion la plus répandue est que le désir ne peut nous rendre heureux, puisqu'il est la conséquence d'un manque dans notre existence. Or on peut aussi penser que le désir mène au Bonheur, puisqu'il peut en résulter une certaine satisfaction, et un sentiment de plénitude. Le désir mène-t-il alors au bonheur, ou bien empêche-t-il de l'atteindre ? On peut voir que le désir est insatiable, on est jamais réellement contenté, puisque dès qu'on obtient satisfaction

La société humaine adéquate a toujours été un aspect de l’homme très controversé et même aujourd’hui nous nous demandons fréquemment si nous devrions vivre en solitaire (pour soi-même) ou bien nous unir en tant que groupe solide pour élargir notre propre bien-être. Sommes-nous faits pour nous craindre entre nous ou bien pour partager tous nos savoirs, s’entre-aider? Dans la pièce de La Mandragore, composée par le célèbre philosophe Machiavel, le personnage principal se nomme Callimaco et il fait

Yeah puisqu’il faut vivre autant le faire avec le sourire ce dire que le meilleur est a venir que le pire permet de construire ce vraiment a quoi on aspire se dire que pendant la suite il ya toujours espoir de bien atterrir. La vie sa se respire qu’une seul fois et le bonheur sa ce vie sans aucune loi. Etre libre, voila mon véritable combat, tout faire pour que ma colombe intérieur ait enfin le cœur qui bat mais des fois je lâche dans mon cœur il ya le désordre je trouve la force que pour fait le