Plan complexe

complexité fait ainsi ressortir la simplicité par l’opposition qu’elle à avec elle. La sixième loi concerne quand à elle le contexte. John Maeda nous dit qu’il est impératif de tenir compte du contexte, qu’il faut s’intéresser à l’arrière plan et pas seulement au premier plan. Il faut alors préserver le vide, considérer le rien comme quelquechose car moins il y a de quelquechose plus on l’apprécie. Il explique aussi qu’il faut préter attention à ce qui ne semble pas compter et que la simplicité permet de

Bossé M., Comment l'enfant se dévelloppe sur le plan affectif (chapitre 1er), in pourquoi j'irai chez la psy maman ?, bibliothèque et archives national du Quebèc, Groupéditions/UNC, 2011. Biographie : Michel Bossé est le directeur-fondateur de l’Institut de formation de psychothérapie par le jeux auprès de l'enfant. Il œuvre depuis 1968 dans le domaine de l’enfance en difficulté. Il est l’auteur ou premier auteur de huit ouvrages de psychologie dont six publiés depuis 1999 qui se rapportent

Polynˆmes et nombres complexes o Table des mati`res e 1 Polynˆmes o 1.1 Division euclidienne . . . . . . . . . . . 1.2 Fonction polynˆme . . . . . . . . . . . o 1.3 D´composition en facteurs irr´ductibles e e 1.4 Polynˆme d´riv´e . . . . . . . . . . . . o e e 1.5 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2 3 4 6 7 2 Nombres complexes 2.1 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 20 3 Suites 3.1 Exercices

1.1 Développement affectif psychomoteur Complexe d’œdipe : il est situé entre l'age de 4 et 6 ans cette période œdipienne signe le début du primat de la zone génitale. L'auto érotisme va être dépassé. D'un point de vue psycho sexuel le complexe d’œdipe correspond a une attirance pour le parent du sexe opposé et à des sentiments de rivalité pour les parents du même sexe. Les sentiments pour le parents de sexe opposé sont complexes car ils impliquent un certain renoncement envers l'autre

propriétés qui analysent plus finement la régularité de cette fonction : en particulier son ordre de Holder local et son spectre multifractal. Le sujet a pour objet d’établir la dérivabilité de la fonction q au point 1 ; il utilise des outils de l’analyse complexe. Le problème est composé de cinq parties ; les deux premières parties ont pour objectif d’établir la formule (2) qui sera utile dans la cinquième partie. Les trois dernières parties du problème s’enchaînent entre elles. 1ère partie Formule sommatoire

les points forts et les points faibles de l’analyse systémique ? L'approche systémique est une manière particulière d'aborder un objet complexe comme celui de l'entreprise. Elle repose sur le postulat suivant : Un système est un ensemble cohérent plus ou moins complexe, composé d’un nombre déterminé de structures ou d’éléments, souvent divers, reliés à un plan commun ou concurrent pour un but commun. On peut tirer de la phrase ci-dessus les 4 concepts de base de la systémique à savoir : Le système :

I - On considère l’équation (E) z − (4 + i)z + (7 + i)z − 4 = 0 où z désigne un nombre complexe. 1. a. Montrer que (E) admet une solution réelle, note z 1 . 0,75 pt b. Déterminer les deux nombres complexes a et b tel que, pour tout nombre complexe z on 0,75 pt ait : z 3 − (4 + i)z 2 + (7 + i)z − 4 = (z − z 1 ) (z 2 + az + b). 2. Résoudre dans C l’équation (E). 0,5 pt → − → − II - Dans le plan muni d’un repère orthonormal direct O, u , v , on considère les trois points A, B et

les mécanismes de défense. | | - Le Surmoi : instance « morale », interdictrice, interne, inconsciente. | |Il « est l’héritier du complexe d’Œdipe » Freud. Il se construit par identification aux images parentales intériorisées. Il prend à son | |compte les exigences attribuées aux parents. Il se montre souvent plus sévère que les parents eux-mêmes.

Durée : 4 heures Corrigé du baccalauréat S La Réunion 23 juin 2009 E XERCICE 1 → → − − Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormal direct O, u , v . 4 points 1. Soit (E) l’ensemble des points M d’affixe z vérifiant : z = 1 − 2i + eiθ , θ étant un nombre réel. z = 1 − 2i + eiθ , ⇒ |z − (1 − 2i)| = eiθ soit |z − (1 − 2i)| = 1. Conclusion : les points M d’affixe z sont à la distance 1 du point d’affixe 1− 2i. Comme θ ∈ R, la réponse est c. z ′ − (−1 − i) = −i[z − (−1 − i)]. f est

TS. Correction - Révision du premier semestre E X 1 : ( 7 points ) ♣ → → − − Le plan est rapporté au repère orthonormal O, u , v . Unité graphique : 3 cm À tout point M d’affixe z du plan, on associe le point M ′ d’affixe z ′ par l’application f qui admet pour écriture complexe : z′ = (3 + 4i) z + 5 z 6 C 1. On considère les points A, B, C d’affixes respectives z A = 1 + 2i, z B = 1 et zC = 3i. N Déterminer les affixes des points A′ , B′ , C′ images respectives de A, B, C par