Plan complexe

ouverte. C'est une conséquence à peu près immédiate du théorème des résidus. Démonstration du critère a) Lemme fondamental • Soit F(p) une fonction de la variable complexe p : c'est un nombre complexe dont le module et l'argument sont fonction de p. Si le point d'affixe p décrit une courbe fermée (C) dans le plan complexe, le point d'affixe F(p) décrit un lieu (L) de forme plus ou moins compliquée, et les lieux (C) et (L) se correspondent point par point.      [pic]

n’est pas le plus intéressant. Voici quelques ensembles, naturellement munis d’une addition et d’une multiplication externe. Nous démontrerons plus loin que tous sont effectivement des espaces vectoriels. 1. Nombres complexes : C = { a + ib , a, b ∈ R }. L’ensemble des complexes est muni de l’addition et de la multiplication par un réel, qui agissent sur les parties réelles et imaginaires. • Addition : (2 + 3i) + (1 − 2i) = 3 + i • Multiplication externe : (−2)(2 − 3i) = −4 + 6i 2. n-uplets

très progressif, les premières questions peuvent être, malgré tout, relativement faciles. N Bon courage ! Erwan Biland - Problèmes MPSI 1 1 2 Erwan Biland - Problèmes MPSI 1 Table des matières Techniques de calculs, nombres complexes 1 2 3 4 5 6 Sommes de puissances de n entiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Récurrence, résolution de systèmes, polynômes 7 8 9 10 12 13 Calcul de sommes et de produits . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

violence à cet âge. La période de latence correspond de nombreuses années de la vie de l’enfant (c’est là où il y a un maximum de consultations, beaucoup de souffrance car même si on garde l’idée qu’il s’agit d’une période calme, sans conflit sur le plan psychologique, il n'y a pas beaucoup de conflit. Il y a donc une contradiction). 1905 : c’est dans les trois essais sur la théorie de la sexualité que Freud va décrire une période de latence sexuelle. Sexualité infantile très riche pendant les première

d’Œdipe : période de la triangulation l'enfant entre dans l'ère de la relation triangulaire entre son père, sa mère et lui. Freud utilise Œdipe pour les enfants de trois à sept ans, prit de sentiments complexes vis-à-vis de leurs parents d'où le complexe d’Œdipe. Classiquement la définition du complexe d’Œdipe : « l'ensemble organisé des sentiments amoureux et hostiles que l'enfant éprouve à l'égard de ses parents » (Mais les enfants au début aiment leurs deux parents de la même façon) SCHEMA

Terminale S Juin 2011 Polynésie Exercice 1 Donc z 3n ∈ iℝ ⇔ arg z 3n = ± ( ) π 2 [ 2π ] ⇔ n π 2 =± π 2 [ 2π ] ⇔ n impair. la proposition 3 est fausse. 4. Soit z un nombre complexe non nul. → Proposition 4 : Si Si π 2 Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal direct ( O; u , v ) . 1. Soient A le point d’affixe 2 − 5i et B le point d’affixe 7 − 3i. → Proposition 1 : Le triangle OAB est rectangle isocèle. Méthode 1 : π 2 est un argument de

[(1 + i)3 ]2 = −8i donc le nombre complexe z = (1 + i)3 est solution de (E) ; or (1+i)3 = (1+i)2 (1+i) = (1+2i−1)(1+i) = −2+2i. Conclusion : −2 + 2i est une solution de (E). b. z2 = −8i, d’où z2 − (−8i) = 0 ⇐⇒ z2 − (−2 + 2i)2 = 0 ⇐⇒ [z − (−2 + 2i)] [z + (−2 + 2i)] = 0. On retrouve la solution précédente et aussi le nombre complexe 2 − 2i autre solution de l’équation (E). Correction du baccalauréat S 3. (1 + i)6 = −8i ⇐⇒ [(1 + i)2 ]3 = −8i. Le nombre complexe (1 + i)2 = 2i est solution de l’équation

nombres complexes Christophe ROSSIGNOL∗ Année scolaire 2011/2012 Table des matières 1 Affixe d’un vecteur 2 1.1 Définition – Premières propriétés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 1.2 Distances et angles orientés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 1.3 Caractérisation des cercles et des médiatrices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 2 Écriture complexe de transformations

A. P. M. E. P. Baccalauréat STI 2D/STL Nouvelle-Calédonie 7 mars 2014 Correction E XERCICE 1 4 points π On note i le nombre complexe de module 1 et d’argument . 2 On considère les nombres complexes z1 , z2 et z3 définis par : z1 = 1 + i 3, π z2 = e−i 4 π et z3 = ei 12 . 1. Déterminons l’écriture exponentielle de z1 . L’écriture exponentielle d’un nombre complexe est ρeiθ où ρ est son module et θ son argument. ρ= 12 + ( 3)2 = 2 et θ est tel que cos θ = π π 3 1 et sin θ = par conséquent θ

Devoir maison no 1∗ : les nombre complexes Exercice 1 On considère l’application f qui à tout nombre complexe z différent de 1, associe le nombre complexe 2 − iz f (z) = . 1−z L’exercice étudie quelques propriétés de f . − → Le plan est rapporté à un repère orthonormal direct (O , → , − ) d’unité graphique 2 cm, dans u v lequel seront représentés les ensembles trouvés aux questions 1) et 2). A est le point d’affixe 1 et B celui d’affixe −2i. 1) On pose z = x + iy avec x et y réels. écrire f (z) sous