Pilastre

plein cintre (demi-cercle) et des voûtes en pierre en berceau ou en berceau continue  contreforts massifs La voûte d’arrêtes repose sur 4 points d’appui principaux  clé de voûte les travées séparées par des colonnes = forme cylindrique, rond ou pilastres = forme carré les murs et les colonnes supportent le poids, et la poussé du poids c) La sculpture : le chapiteau ; la colonne : la base = le pied, le fût = la portion médiane, le chapiteau = couronne le fût, le tailloir = contact avec la partie supérieure

surchargée d’éléments décoratifs. On remarque donc que Brunelleschi porte une attention particulière à la sobriété de son œuvre, la vision d’ensemble prime sur la richesse des détails. L’entablement est soutenu à chaque extrémité du portique par un large pilastre. La voûte, constituée de petites coupoles, est soutenue à la fois par les colonnes du portique et les encorbellements des murs de l’hôpital. La face intérieure des arches est plate là où le style gothique les aurait voulues triangulaires. Brunelleschi

homme différent de part en d'autre du terme centrale, une femme). Les deux termes masculins sont portés par des gaines aux fûts cylindrique sculptés de rinceaux feuillus et fleuris. Quand au terme féminin, celui-ci et porté par une gaine (tel un pilastre) ornementé d'une chute de fleurs et de fruits. Ces trois termes portent chacun trois ceintures (la première au niveau du buste, la seconde de la taille et la dernière située en dessous du personnage) et sont coiffés de chapiteaux en forme e corbeille

souci de donner à l’homme un statut nouveau). Détail : Pierre double le geste du Christ. Finalement, l’épisode même du miracle est marginalisé, réduit à une anecdote. Adam et Eve Et Da Panicale, et Masaccio ont chacun représenté la scène sur les pilastres de l’entrée. Da Panicale représente un couple à la beauté idéale, aux corps éthérés d’avant le péché, aux volumes estompés (// gothique). Masaccio, lui, ne les idéalise nullement, représentant Adam et Eve après qu’ils aient été chassés du Paradis

Représentation de l’aspect extérieure de la construction Déclaration préalable 11 Insertion dans l’environnement A - DESCRIPTION GÉNÉRALE Éléments verticaux : Cette devanture est composée de poteaux encadrant l’entrée et avec aux extrémités des pilastres. Définition : tôle de métal plate et cintrée. Finition : Métallisation et peinture structurée. Éclairage des éléments verticaux : Aux extrémités des éléments verticaux, des éclairages en appliques sont protégés par des lames en acier. Définition

intermédiaire. [pic] Le Théâtre Japonais La scène du théâtre nô procède du dispositif chinois : un quadrilatère à peu près nu (excepté le kagami-ita, peinture d'un pin au fond de la scène) ouvert sur trois côtés entre les pilastres de cèdre qui en marquent les angles. Le mur à droite de la scène est appelé kagami-ita, tableau-miroir. Une petite porte y est ménagée pour permettre l'entrée des musiciens et du chœur. La scène, surélevée, est toujours surmontée d'un toit, même

afin que la ville soit homogène et harmonieuse et qu’elle ne fasse pas d’ombre au château qui doit être vu de toute part. Un texte particulier (le règlement de robert de Cotte) va officialiser ces limitations et ces décorations. Usage des pilastres, des colonnes engagées, frontons décorés (modèles antiques, roi soleil, apollon). Les propriétaires doivent respecter la symétrie engagée par Sa majesté : un rez-de-chaussée, un étage noble, des combles brisés à la mansarde. Deuxième phase :

la façade de San Pietro in Ciel d'Oro, construite à Pavie (en Lombardie) entre le XIème et XIIème siècle. Rappelons aussi qu'au tout début de la construction, la cathédrale était censée être de type romane et construite en briques rouges. Des pilastres (doublés au niveau du portail central et des deux extrémités) surmontés par des flèches viennent rythmer la façade et font comprendre la disposition intérieure de l'édifice. Ils sont richement décorés par des sculptures ainsi que par des statues

plus connue. L'architecte à la mode. En 1762, le jeune Ledoux créa pour le café Godeau, rue Saint-Honoré, fréquenté par des officiers, l'époustouflant décor conservé depuis 1969 au musée Carnavalet : sur les murs, il dressa, en guise de pilastres, des faisceaux de piques sommés de casques, entre lesquels il fit alterner des miroirs avec de larges panneaux ornés de trophées d'armes, d'un dessin original et hardi. L'année suivante, le marquis Anne-Pierre de Montesquiou-Fézensac appela Ledoux

ajoutées au 19eme siècle pour consolider le mur. Le reste de l'actuel extérieur du Colisée est en fait le mur intérieur d'origine. Les arcades sont encadrées de demi-colonnes doriques, ioniques et corinthiennes, tandis que l'attique est orné de pilastres corinthiens. Chacun des arcs aux premier et deuxième étages était orné de statues, probablement en l'honneur des divinités et des autres personnages de la mythologie classique. Les agraphes : Les agrafes de fer ou de bronze scellées au plomb servant