Pilastre

motifs décoratifs sont différents dans le même objectif. · Il réutilise tous les éléments décoratifs propre au néoclassicisme ( colonnes , des pilastres ). Il a placé au centre de sa façade un grand dôme qui devait ventiler la salle commune. · Devenu une cité de la gastronomie, une nouvelle ouverture du côté du Rhône, implantation d’un hôtel de luxe. Entièrement rénové. Il a conservé

avons pu voir ces ornements sur la balustrade du château de Versailles, la façade côté parc. Les mascarons sont souvent les seuls ornements des façades ; ils ornent les clefs d’arcs. Pour la seconde période, on abandonne souvent les ordres et les pilastres des façades. La console reçoit des arcs surbaissés. L’ornement est plus léger et a en même temps plus de grâce : la sculpture est pus vivante. Les ornements guerriers sont abandonnés. L’étiquette royale de la grande époque disparaît et laisse plus

étage de colonnes doriques, au deuxième de colonnes ioniques et le troisième étage de colonnes corinthiennes. Le tout est surmonté d’une plate-forme sur laquelle se tient un attique, avec des fenêtres à intervalles réguliers. L’attique est orné de pilastres d’ordre corinthien. Les arcs des deuxième et troisième étages étaient quant à eux ornés de statues. Autour du sommet de l’attique, 240 mâts se tenaient pour soutenir un vaste auvent rétractable (velarium) abritant et protégeant les spectateurs du

cause de la surcharge de l'architecture gothique. Si le Moyen-Age recherchait la verticalité, l'architecture de la Renaissance recherche plutôt les formes horizontales et l'harmonie entre les volumes. Les façades sont pourvues de bas-reliefs, de pilastres( bases des piliers), de vases et de trophées. Le plan basilical( à la manière des basiliques) reprend de l'importance. Les châteaux évoluent durant le XVème siècle, de châteaux fort ils deviennent des lieux de résidence où il fait bon recevoir.

forme élargie situé au sommet d’une colonne ou d’un pilier. Lucarne : fenêtre située sur un toit, o\rant de la lumière aux parties intérieures appelées les combles. Mascaron : visage (masque) sculpté ornant un élément archite&ural ou décoratif. Pilastre : élément de faible relief collé à un mur, comprenant une base et un chapiteau comme une colonne (support vertical souvent cylindrique détaché du mur). Pot à feu : élément décoratif en forme de vase en pierre surmonté de ]ammes servant en réalité

temple qui abrite la statue de culte de la divinité. Opisthodome : pièce à l’arrière du temple qui ne communique pas avec le naos. Elle est destinée à accueillir des offrandes précieuses. (opisto : en arrière) Ante : extrémité d’un mur formant un pilastre. Colonnes in antis : colonnes à l’entrée des extrémités. Ex. : Temple in antis Adyton : Pièce sacrée qui remplace l’opisthodome quand la pièce est fermée. Situé à l’arrière du temple. La colonnade en façade sert à définir les temples :

arcs brisés et entourés par des colonnettes sans sculptures. Les colonnes du portail rejoignent celles des fenêtres hautes et ainsi accompagnent notre regard vers la rosace. Celle-ci est ornée d’un beau remplage et sur ses côtés on observe deux pilastres. Ces trois registres sont séparés par des lignes horizontales qui confèrent un certain rythme à la composition. La rosace est elle surmontée par une galerie de niches voûtées abritant des statues et par ce que l’on appelle un pignon avec en son centre

de poste du Lion d'Or, rue Gambetta, conserve une façade de pierre de taille. En 1664, Colbert crée la manufacture royale de Tapisseries, détruite dans l'incendie de 1940. De l'hôtel de ville, inauguré en 1757, seule demeure sa façade scandée de pilastres. Elle domine toujours la place Jeanne-Hachette, réaménagée à la veille de la Révolution. LE XIXe SIECLE La ville s'ouvre: des boulevards sont aménagés à l'emplacement de l'ancien rempart médiéval. D'importants édifices publics s'élèvent:

s'évanouit dans les profondeurs des murs, comme l'ombre portée d'un homme éclairé par un flambeau qui s'éloigne. Un cri plaintif sembla résonner sous les voûtes. Alors Adoniram se détourna s'apprêtant à sortir. Soudain une forme humaine se détacha du pilastre, et d'un ton farouche lui dit : "Si tu veux sortir, livre-moi le mot de passe des maîtres." Adoniram était sans armes ; objet du respect de tous, habitué à commander d'un signe, il ne songeait pas même à défendre sa personne sacrée. "Malheureux

les fenêtres rectangulaires sont séparées par des pilastres ionique (style architectural grec de la province de l’Ionie, reconnaissable à ses colonnes au chapiteau orné de deux volutes). Aux deux extrémités du bâtiment, il prévoit deux avant-corps (parties du bâtiment en saillie sur la façade) ornés de quatre colonnes et de niches qui abritent des statues. Au centre se trouve une terrasse. On dénote des influences antiques avec la présence de pilastres et de colonnes, ainsi que dans les formes géométriques