Philosophie Libertine

spectacle de son propre savoir-faire, constater qu’on est au-dessus du commun des mortels, arriver enfin à la possession de l’autre qu'on méprise copieusement. Mener des batailles amoureuses, voilà ce qui passionne Valmont.  Dans ce jeu d’échecs libertin sa meilleure partenaire, ou rivale c’est selon, est son amie et ex-maîtresse la Marquise de Merteuil. Avec elle il se livre à une sorte de jeu-concours dont le but est de montrer lequel des deux est le plus perfide et dont l’enjeu est la reprise

authentique ce qui rend la fin encore plus frustrante. Ce jeu de l’ombre/du double à mis DJ en face de sa véritable identité. DJ reste l’archétype du libertin vouant sa vie au libertinage de moeurs et de pensées. Incarnation de l’immoralisme et de la débauche, ➡ acte III sc. 3 DJ revendique une utopie libertaire ou profession de foi d’un libertin. Angélique défend de son côté l’attachement du coeur et la fidélité, elle décrit l’amour comme un sentiment absolu et divin : «C’est une foi. (...) C’est

Ainsi varient l’image que les gens se font de Lorenzo et leurs sentiments à son égard, selon les masques qu’il porte : celui du mignon, de l’être efféminé et raillé ou encore du bouffon et du débauché. -Le duc, allas Alexandre de Médicis, est le libertin de l’histoire. Il dirige seul, en tant que tyran, florence sous la protection des gardes allemands et vit aux rythmes de ses passions et de ses pulsions amoureuses. -Le cardinal est le légitime représentant de la religion. Il contrôle le duc, qui

dénouement rétablisse la morale. CCL : « DJ ou le festin de pierre » est une pièce comique avec un dénouement tragique, même si certaines répliques appartiennent encore à la comédie. A la fin, DJ trouve son maître avec la punition divine, le libertin est condamné et la morale rétablie. L’esthétique de cette pièce est plus baroque que classique : il n’y a pas d’unité de lieu, d’action et de temps, mais au contraire la pièce s’est déroulée sur plusieurs jours, chez DJ, dans les bois ou au tombeau

Casanova Casanova est une figure mythique du libertin. Il incarne toutes les valeurs du libertin : la recherche des plaisirs de la chair et le mépris de la morale. Comme Valmont, Il savait user aussi bien de charme que de perfidie pour conquérir les femmes. I. Définition du libertinage Le terme libertin (du latin libertinus, « esclave qui vient d’être libéré », « affranchi ») comporte deux acceptions principales : * dans sa version d’origine, le libertin est celui qui remet en cause les dogmes

terme « libertin », venant du latin « libertinus », qui signifie à la fois « esclave libéré » et « affranchi », est apparu au XVIe siècle. Il désigne tous ceux qui sont voués aux cultes de la Nature et du matérialisme. On peut distinguer quatre forme du libertinage: I / Le libertinage moral. Le libertinage moral est synonyme de donjuanisme. Cela se limite à la recherche des plaisirs sensuels et sexuels. II / Le libertinage social. Le libertinage social regroupe tous les libertins en désaccord

La marquise de Merteuil est le personnage principal du roman. Elle représente l'aristocrate libertine de l'époque Louis XV et louis XVI. Veuve intelligente et cultivée, elle a fait son éducation toute seule. Elle a apprit a préserver sa réputation en contrôlant ses passions, mais sans se priver des plaisirs de l'amour. Son personnage choqua beaucoup les générations précédentes, car sa supériorité physique et intellectuelle était jusque là réservée aux hommes. Cette assurance masculine se voit surtout

siècle. De son vrai nom Jean Baptiste Poclin, il rédige Dom Juan et le festin de pierre en 1665 plagiant quelque peu l’oeuvre de Tirso di Molina «El burlador de Sevilla y con vivado de piedra». Cette pièce composée de 5 actes met en scène un Dom Juan libertin et séducteur aux moeurs dissolues qui n’hésite pas à gagner le coeur des femmes et à les abandonner aussitôt. Dans cette scène d’exposition, Sganarelle, le valet de Dom Juan s’entretient avec Gusman, l’écuyer d’Elvire, récente conquête de Dom Juan

qu’il a « encore ressenti quelques peu d’émotions pour [Done Elvire] » ; et à l’acte 5, il fait le fait passer avant sa famille, et lui accorde une plus grande confiance, dans la mesure où il ment à son père en lui disant qu’il va arrêter sa vie de libertin, mais confie ensuite à Sganarelle que ce n’était juste qu’une énième technique pour éviter la colère des autres, sa technique la plus fourbe : l’hypocrisie. Le maître a besoin du valet pour le flatter, car ce dernier est en admiration constante

Commandeur. * La Violette & Ragotin, laquais de Dom Juan. * M. Dimanche, marchand. * La Ramée, Spadassin. * Francisque, un pauvre. * Un Spectre. Résumé[modifier] Cette pièce relate la vie d'un personnage infidèle, séducteur, libertin blasphémateur, être de l'inconstance et du mouvement. Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile accompagné de son fidèle valet Sganarelle, accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Seule