Philosophie Libertine

son couple libertin, courtisant les servantes, faisant de constantes infidélités à sa femme et trahissant Figaro à qui il est pourtant très reconaissant. Ainsi, Ainsi, les deux traits de caractères dominants qui sont mis en évidence par les différents personnages sont : Le libertinage et la jalousie. Dés la scène 1 de l'acte I, Suzanne atteste  le libertinage du Comte " C'est sur la tienne qu'il a des vues" Selon Marceline " il est jaloux et libertin"( I,4) Bartholo précise " Libertin par ennui,

s'éloigner de la cour pour ne pas tomber dans le vice et tromper son mari. A la fin de cet extrait, Madame de Chartres meurt. Lecture analytique n°2 : Justine ou les malheurs de la vertu, Le marquis de Sade 1791 Juliette : mûre, indépendante, vie libertine. Elle est représentée assez méliorativement par rapport a sa sœur qui passe pour une enfant. Justine : elle pleure, se fait du soucis pour leur avenir, representée comme une enfant, vie vertueuse mais comme vie sans plaisir. Le discours synthétise

Objet d’étude : le roman et ses personnages, du XVIIème à nos jours OC Manon Lescaut, L’Abbé Prévost (1731) Manon Lescaut : un roman libertin ou moral ? « Si le public a trouvé quelque chose d’agréable et d’intéressant dans l’histoire de ma vie, j’ose lui promettre qu’il ne sera pas moins satisfait de cette addition. Il verra, dans la conduite de M. Des Grieux, un exemple terrible de la force des passions. J’ai à peindre un jeune aveugle, qui refuse d’être heureux, pour se précipiter

un tailleur, à l’instar de M.Dimanche. N’oublions pas que la pauvreté de l’ermite est l’expression d’une ascèse, d’un sacrifice qui méprise les biens terrestres. Sganarelle, lui qui est un apologiste, connaît son maître & sait que c’est un libertin & un cartésien. Sganarelle le rappelle dans sa réplique pleine de condescendance ‘‘vous ne connaissez pas Monsieur, bon homme’’ Nous allons voir maintenant que Dom Juan essaie, à travers cette remise en cause des mystères de la charité, de

Le mot libertinage définit au XVIIe siècle l’attitude intellectuelle du penseur qui veut s’affranchir des préjugés notamment religieux, pour appréhender par lui-même le monde. Le libertin est donc un libre-penseur. Au XVIIIe siècle, le terme se spécialise pour désigner le libertin des mœurs celui qui s’adonne aux plaisirs charnels sans aucun frein moral ou religieux : la séduction devient pour lui un art. Pierre Choderlos de Laclos (1741-1803) est issu d’une famille de noblesse récente. Il est officier

musical et pictural . La séquence fait suite à l’étude en classe du Dom Juan de Molière (1665) dans le cadre de l’O.E 3 : le théâtre, texte et représentation durant laquelle les élèves auront étudié en lecture analytique : I,2 : le portrait d’un libertin III,1 : Dom Juan matérialiste IV,6 : dernière entrevue Elvire-Dom Juan V,2 : la tirade de l’hypocrisie . Ils seront par ailleurs sensibilisés à la notion de mise en scène comme relecture d’une œuvre dramaturgique grâce à la video K7 de Jeanne

est le corps et l'esprit , les passions et la raison. 3. Le libertinage est une manière d'imposer sa liberté. Le libertinage érudit : il avantage l'esprit critique et n'aime pas l'intolérance et le fanatisme. Le libertinage des mœurs: le libertin aime la séduction , la consommation, la jouissance, le luxe et la dépense amoureuse.C'est une liberté guidée par le «corps». Voici un ouvrage qui décrit le libertinage des mœurs : Les Liaisons dangereuses de Laclos. 4. Les peintres du 18ème

de l'épreuve). N°4: Lettre 175, Madame de Volanges à Madame de Rosemonde. LECTURES CURSIVES Roman au choix. oeuvre choisie par le candidat : S1 , 2012-2013, Lycée Guy Mollet, Arras. Deux exposés ont été proposés par des élèves à la classe : Le libertin et le libertinage au XVIIIème siècle Le genre du roman épistolaire. ACTIVITES PERSONNELLES DE L’ELEVE 

croyance primitive. Son matérialisme est particulièrement bien évoqué, dans l’expression de la volonté : « je veux voir ce que c’est ». Ainsi il n’accorde de crédit qu’à ce qui est observable par les sens. b) L’endurcissement au péché, l’orgueil du libertin. Cependant, Dom Juan pèche également par endurcissement au péché. Il est coupable d’orgueil, et ne supporte aucune autorité, qui pourrait limiter sa liberté. Son orgueil est révélé par la question de rhétorique : « qui ose tenir ces paroles 

semblait avoir reçu pour me faire mourir" " il semblait qu'on eût pris à tâche de me faire périr le corps et l'âme ( la volonté de dégradation du bien-être physique et moral de TDV pour l'amener à la mort) ( Transition en disant que c'est un libertin, son parcours) II. Ce texte développe une dimension stratégique. 1. La nécessité de l'aide du puissant (= le roi) a. Par l'éveille de sa compasion. " Avec le respect que je dois à votre majesté lui dépeindre les saletés et l'horreur ni du