Parties Prenante Selon Crozier

Chapitre 6 Parties prenantes, contre-pouvoirs et gouvernance de l’entreprise 1. L’identification et l’influence des parties prenantes 1.1. Quelles sont les parties prenantes et leurs attentes ? Une partie prenante (stakeholder en anglais) est un individu ou un groupe d’individus en relation avec l’entreprise, qui peut affecter ses décisions ou être affecté par elles. A. Les parties prenantes internes Il existe deux grandes catégories de parties prenantes situées à l’intérieur de l’entreprise

les intérêts des autres parties prenantes. Dans ce modèle le management sépare le directoire et le conseil de surveillance. C’est le conseil de surveillance qui contrôle le directoire et la stratégie de l’entreprise est basée sur la pérennité et l’expansion. V. L’influence des parties prenantes On distingue différentes classifications des parties prenantes : Parties prenantes internes ; Ce sont les propriétaires, les managers, les cadres et les salariés. / Parties prenantes externes ; Ce sont les

dans les productions de cacao, afin qu’ils y apportent leurs idées et qu’ils réalisent d’autre part, le travail nécessaire à la récolte des fèves. Georges et Jackie Lafettol appliquent la vision de Drucker sur le management des entreprises, car selon lui, le but premier d’une entreprise est de créer, maintenir et développer une clientèle. C’est cette méthode qu’appliquent les deux co-gérants grâce à la maîtrise de la qualité des produits, à la formation permanente et à l’écoute des salariés

Chapitre 8 Les parties prenantes et les contre-pouvoirs Le fonctionnement de toute entreprise est l’objet de conflits de pouvoir car il repose, en interne, sur des individus et des groupes qui ont des objectifs propres et rarement tout à fait concordants et, en externe, sur les agents économiques de son environnement qui agissent en fonction de leurs propres objectifs. La nature des relations qui se nouent entre les acteurs au sein de l’entreprise et avec les partenaires extérieurs, influence

l’ESI. De 9h à 17h il était présent dans la rue, face à la porte d’entrée. De cette manière, il pouvait continuer de voir les personnes accueillies avec qui il avait pu nouer des liens au sein de l’association. L’équipe du pôle salle, dont je faisais partie, discutait donc régulièrement avec lui, au début de la journée, ou lors des pauses cigarettes. Après une semaine, le directeur nous a alors demandé, au moment du débriefing, de ne plus dialoguer avec Mohammed. Cela a été difficile à comprendre pour

cherche donc à avoir une approche ordonnée de la réalité et à discuter des choses. Il n’y a pas de vérité objective. Dans ce cours, d’autres disciplines des sciences sociales vont être utilisées telles que la psychologie et la philosophie. Par exemple, Crozier fait également appel à la psychologie. Travailler sur la sociologie des organisations, c’est travailler sur des rapports de force, sur les conditions d’une coopération naturelle, les logiques de genre, d’âge, les modèles de recrutement. 2/ La sociologie

logique. L'entrepreneur selon Schumpeter innove, prend des risques et sait saisir les opportunités | | |qui se présentent à lui. | |Chapitre 2 La logique managériale | |Pas de référence en termes d'auteur sur cette partie

pouvoir et gouvernance dans l'organisation Différentes approches du pouvoir dans l'organisation: 1. La notion de pouvoir : Selon Max Weber, le pouvoir d’un individu est sa capacité à contraindre d’autresindividus à lui obéir alors que l’autorité est la capacité à faire obéir volontairementles individus du fait de la reconnaissance d’une légitimité morale. Pour M. Crozier, le pouvoir est une relation d’échange. Une négociation implicite s’établit en permanence entre le supérieur hiérarchique et

bureaucratie ; II. Les modèles des cercles vicieux bureaucratiques : 1. Modèle de Merton ; 2. Modèle de Selznick ; 3. Modèle de Gouldner ; III. Michel Crozier et les cercles vicieux bureaucratiques : 1. Etudes de cas : ➢ Agence comptable parisienne ; ➢ Monopole industriel ; 2. Modèle de Crozier ; Conclusion Introduction : En réaction aux chercheurs qui s’intéressent aux comportements humains dans les entreprises, les sociologues américains

: - Définir les objectifs à attendre - Organiser les activités et les tâches au sein de l’entreprise - Motiver les équipes - Former les équipes - Etablir des normes de performance et de vérifier qu’elles soient atteintes Selon Drucker, pour les parties prenantes de l’entreprise il ne s’agit pas que de profits, la création de richesses est aussi une nécessité de long terme tel que : - Valeur du produit (bien ou service) attendu par les clients - Rémunération pour les salariés qui travaillent