Parties Prenante Selon Crozier

géographique donné (Etat, collectivités territoriales, organismes publics, entreprises publiques…). 2. Pluralité des buts et des parties prenantes Partout, l’organisation détermine un ensemble de rôles, de normes, de rapports de pouvoir et de valeurs entre les parties prenantes. a. Définition et typologie des parties prenantes Une partie prenante désigne tout groupe ou individu qui peut affecter ou être affecté par la mise en œuvre des objectifs d’une organisation. On distingue

opérationnel | Stratégique : orientation à long termeOpérationnel : choix organisationnel à court termeEtapes : * Fixé des objectifs * Coordonné et orienté les actions * Affecter les ressources * Contrôle | La performance | Elle se mesurer selon différents critères : * La rentabilité * La productivité * Les parts de marchéTableau de bord | Efficience | Est efficient, ce qui consomme peut de ressources afin d’atteindre un objectif | Efficacité | Est efficace, ce qui permet d’atteindre

Cas d’entreprise : A La Poste, on change de statut Question 1 : Le groupe La Poste est une entreprise publique. Selon la définition de l’Union Européenne, une entreprise publique, ou une entreprise d`État, est une entreprise « sur laquelle l’État ou d’autres collectivités territoriales peuvent exercer directement ou indirectement une influence dominante du fait de la propriété, de la participation financière ou des règles qui la régissent ». La caractéristique principale du groupe La Poste

vie (sécurité routière, recyclage) Au niveau sociale : Le remplacement d’une grande partie des emplois détruits à Joué les Tours par l’ouverture d’une nouvelles activité en Touraine. La recherche de l’épanouissement des salariés du groupe avec la démarche « avancer ensemble » Actionnariat salarié. 3. Un mode de gouvernance est la façon dont une entreprise régule les relations entre les parties prenantes. Michelin a manifestement adopté un mode de gouvernance partenarial. En effet, Michelin

Chapitre 6 PARTIES PREMANTES, CONTRE- POUVOIRS et GOUVERNANCE DE L’ENTREPRISE Introduction * Constat : Les différentes parties prenantes, internes et externes à l’entreprise sont sources de contre-pouvoirs et donc peuvent influencer les décisions prises par l’entreprise. La gouvernance de l’entreprise doit alors aboutir si possible à un arbitrage entre des intérêts parfois contradictoires des parties prenantes et de l’entreprise. * Nos objectifs : * 1 apprécier l’influence

 MANAGEMENT 1) Selon Schumpeter, l’entrepreneur est une personne qui incarne la capacité à innover, prend des risques, présente un besoin d'autonomie et d'initiative et qui arrive à entraîner et à convaincre. Jacques Tromer possède ces qualités notamment car il a repris l'épicerie de son père et qu'il a été l'un des premiers à travailler avec les grandes enseignes ce que les autres évitaient de faire. De plus, il a investi tout ses capitaux personnels et a créé une sandwicherie à

principale(s) 2.2 Etablir un diagnostic stratégique : - les forces concurrentielles selon Porter - l’analyse en termes de compétences selon l’approche d’Hamel et Prahalad 2.3 Effectuer des choix stratégiques : - les stratégies concurrentielles de Porter - les modalités de croissance 3.2 Faire évoluer la structure - changement organisationnel et résistances au changement : analyse de Crozier 4.1 Mobiliser les ressources humaines - évaluation des besoins en ressources

SES TRAVAUX SUR LA THEORIE DES PARTIES PRENANTES « Une partie prenante est un individu ou groupe d’individus qui peut affecter ou être affecté par la réalisation des objectifs organisationnels » - les parties prenantes de premier rang qui ont une relation contractuelle et formelle avec l’entreprise : propriétaires, salariés, clients, fournisseurs ; les parties prenantes de second rang : médias, groupes de pression, gouvernements, concurrents ; les parties prenantes internes : propriétaires, dirigeants

durkheimien parce que c’est à Durkheim et à son ouvrage Les règles de la méthode sociologique, publié en 1895 que ce paradigme doit sa définition et son exposition les plus connues. Cette méthodologie découle d’une conviction d’ordre épistémologique selon laquelle l’explication scientifique consiste à établir qu’un phénomène social est toujours le produit d’un phénomène social antérieur, antécédent (traiter le social par le social). La sociologie de la 2nde catégorie s’appuie, au contraire, sur un

l’entreprise et ses résultats. Pour cela, le management doit planifier, organiser et contrôler l’activité de l’entreprise. considère que la maximisation du profit ne peut pas être la seule finalité de l’entreprise. La création de richesses pour les parties prenantes de l’entreprise est également une nécessité de long terme : les clients attendent une valeur du produit (bien ou service) vendu par l’entreprise ; les salariés travaillent pour une rémunération ; les actionnaires sont intéressés