Parties Prenante Selon Crozier

Les références théoriques dans le référentiel BTS de Management des entreprises. Les références théoriques dans le référentiel BTS de Management des entreprises. THÈMES PARTIE 1 : FINALISER ET DÉCIDER 1. Entreprendre et diriger 1.1 Entreprendre et gérer • AUTEURS THÉORIES ET CONCEPTS Logique entrepreneuriale : l'entrepreneur prend les risques La   logique   entrepreneuriale :   une  opportunité et une démarche La logique managériale : l'optimisation  des ressources au service d'un projet

PARTIES PRENANTES, CONTRE-POUVOIRS ET GOUVERNANCE DE L’ENTREPRISE Le fonctionnement de toute entreprise est l’objet de conflits de pouvoir car il repose, en interne, sur des individus et des groupes qui ont des objectifs propres et rarement tout à fait concordants et, en externe, sur les agents économiques de son environnement qui agissent en fonction de leurs propres objectifs. La nature des relations qui se nouent entre les acteurs au sein de l’entreprise et avec les partenaires extérieurs

1) l'entreprise est sous l'influence de parties prenantes internes et externes. En interne: les salariés représentés par les syndicats, les CE et les DP= contre-pouvoir interne pour protéger les emplois, obtenir de meilleurs salaires et avantages sociaux, et de bonnes conditions de travail. 1er moyen d'action: la grève, puis le pouvoir des syndicats et des DP. actionnaires= contre-pouvoir interne, intérêts différents selon type de gouvernance mais objectifs = bénéfices et pérennité de l'entreprise

place un modèle partenarial puisque l’entreprise prend en compte les intérêts de toutes les parties prenantes à savoir : Le salariés ; par le biais des formations et de l’écoute ce qui a permis l’adhésion des salariés aux valeurs de l’entreprise Les fournisseurs ; par le respect de leur travail et du commerce équitable qui s’inscrit dans le RSE Les clients ; par la qualité des produits proposés 3° Selon CROZIER, la contrainte majeure aux changements serait l’acceptation des salariés. En effet, chacun

Ecole Nationale de Commerce et de Gestion- marrakech THEORIES DES ORGANISATIONS MICHEL CROZIER & ERHARD FRIEDBERG L’ACTEUR ET LE SYSTEME Réalisé par : Kaoutar Jakani Lamia Achaghough Hajar El Kati Hajar Serestou Naouar Lahbib Adam Nafzaoui Badr El Atmani Encadré par : Mr. Hassan CHRAIBI ENCG Marrakech | Avril 2012 SOMMAIRE Introduction……………………………………………………….………………..……3 Biographie des auteurs……………………………..……….…………………………..4 Résumé de l’ouvrage………………………………………………………….…………6 I. Thèse

Etudiez la nature des relations entretenues par NAVMED avec les principales parties prenantes D’après Freeman une partie prenante est un individu ou groupe d’individu qui peuvent affecter ou être affecter par la réalisation des objectifs organisationnelle de l’entreprise il distingue les partie prenante interne et externe. En ce qui concerne NAVMED on peut repérer les parties prenantes suivantes : PARTIE PRENANTE RELATIONS INTERNE : 1. Dirigeant 2. Salariés 3. Autres salariés 4. Associés

souvent un moyen de se déresponsabiliser : « Puisque tu prends des décisions donc tu es responsable ». L’ESSENTIEL Styles de direction et processus de décision I. Les caractéristiques des styles de direction Les quatre systèmes de management selon Rensis Likert Autoritaire exploiteur | Autoritaire paternaliste | Système consultatif | Système participatif | Absence de confiance mutuelle | Confiance condescendante | Confiance relative | Confiance mutuelle | Motivation par la crainte, les

Les parties prenantes et les contre - pouvoirs L’identification et l’influence des parties prenantes. Définition : Une partie prenante est un individu ou groupe d’individus qui peut affecter ou être affecté par la réalisation des objectifs organisationnels. ✓ La classification des parties prenantes. Actionnaires, salariés, clients, fournisseurs, dirigeants, Etat, banques, société, ONG, associations. - Parties prenantes primaires : Ont une relation contractuelle et formelle

max weber (individualisme méthodologique) d’un coté et de Marx et Durkheim (système sociaux) de l’autre, Pierre Ansard s’interroge sur la domination presque sans partage du structuralisme entre les années 1950 et 1960. Il part d’emblée du constat selon lequel le reflux du structuralisme à la fin des années soixante a donné naissance a quatre courants théoriques a l’instar du structuralisme génétique, de la sociologie dynamique, de l’approche fonctionnaliste et stratégique et de l’actionnisme

de la valeur-échange). Plusieurs sens en management et en gestion: valeur ajoutée, valeur client, valeur actionnaire. Les ambiguïtés du mot valeur sont très fortes (Bourguignon, 2005) selon que l’on se réfère à la valeur de l’actionnaire (Ittner et Larcker, 1999) ou à la valeur pour les autres parties prenantes (salariés, client, fournisseurs, etc.). la valeur actionnariale Dans cette configuration, la valeur créée est le différentiel entre la valeur qui revient aux actionnaires et celle de leur