Occident Et Nihilisme

de vie commune et d'intégration culturelle fondée "sur les valeurs spirituelles et morales qui sont le patrimoine commun" des peuples des Etats membres, comme on peut le lire dans le Préambule du Statut du Conseil de l'Europe de 1949 (par. 2). Occident : identité et crise Comme on le sait, on assiste aujourd'hui à un vaste débat sur l'identité culturelle, morale et spirituelle de l'Occident ; débat rendu encore plus animé, en Europe, par l'important flux de personnes qui proviennent d'autres

bon ou mauvais, la règle sera de se montrer le plus efficace, c’est-à-dire le plus fort. Le monde alors de sera plus partagé en justes et injustes, mais en maîtres et esclaves. Ainsi, de quelque côté qu’on se tourne, au cœur de la négation et du nihilisme, le meurtre a sa place privilégiée. Si donc nous prétendons nous installer dans l’attitude absurde, nous devons nous préparer à tuer, donnant ainsi le pas à la logique sur des scrupules que nous estimerons illusoires. Bien entendu, il y faudrait

prendrait la forme d’une exclusion. Rêverie, me direz-vous. Mais il se peut qu’il en soit ainsi, sous nos yeux. Et en tout cas, c’est ce que nous devons rêver, parce que ce rêve permet de traverser, sans se renier ni s’enfoncer dans le «no future » du nihilisme, les pénibles années d’une période intervallaire. 3 *** Tunisie, Egypte : quand un vent d'est balaie l'arrogance de l'Occident LE MONDE.FR | 18.02.11 | 12h41 • Mis à jour le 18.02.11 | 16h36 Le vent d'est l'emporte sur le vent d'ouest. Jusqu'à

l'histoire, on pense que l' homme est perfectible, et qu'il peut attendre la perfection grâce à la raison et la rationalité. _ Mais, la philosophie moral affecte la philosophie politique dans un autre sens. Hans Jonas est un penseur qui travaille sur le nihilisme. Dans les 3 premiers siècle après JC, il y a une reconfiguration des empires majeurs. Jonas nous dit que dans cette reconfiguration, les individus se sentent comme des poussières d'atome, amoindris et isolées, impuissant par rapport au cours de l'existence

Il s’agissait donc avant tout d’une question de statut social . Les sociétés traditionnelles disposaient de rites d’initiation qui introduisaient l’enfant pubère plus ou moins rapidement au monde des adultes et à ses responsabilités sociales. En occident, c’est le mariage, l’enrôlement militaire ou l’entrée dans les ordres qui scellait le passage de l’enfance à l’âge adulte. Aujourd’hui, dans les cultures occidentales, l’adolescent n’étant plus « fils de » et le corps social ne lui offrant plus de

de la « compassion » bouddhique. Il va de soi que, sur des sujets aussi démesurés, je ne pourrais que me limiter à quelques remarques articulées sur l'examen de quelques mots. 2. Pardon et grâce : la pratique juridique chinoise De même qu'en Occident, la notion de pardon, en Chine, rend nécessaire la mobilisation de notions qui relèvent de la tradition politique et juridique. Existe-il un équivalent chinois du droit de grâce exercé par le roi chrétien – ou ses successeurs dans une société sécularisée

famille et de sa société. « Nous sommes chrétiens au même titre que nous sommes Périgourdins ou allemands. », Montaigne Et il y a la foi fervente du mystique et du fanatique. * Que croit-on ? A qui ou à quoi croit-on ? En la présence du divin et, en Occident, d’un Dieu unique et créateur. Qui est Dieu ? Dieu existe-t-il ? I LE SENTIMENT DU DIVIN « L’homme est un animal religieux », Feuerbach A. LE SENTIMENT RELIGIEUX 1) Une pluralité de religions Dès la Préhistoire, à travers le culte des morts

nous, une définition de la réalité à partir du consensus d’expérience des abeilles. Ce que nous appelons réel est le résultat d’un consensus présent dans la conscience collective. C'est ce consensus que l'on appelle notre réalité. Au Moyen-Age, en Occident, il paraissait réaliste de penser que la Terre était plate, que les moustiques pouvaient apparaître par génération spontanée dans l’eau croupie. Dans les temps modernes, il est réaliste d’admettre que la terre est ronde, de penser qu’il n’y a pas

désespoir affiché par les personnages perd son poids existentiel et devient une attitude qu’ils prennent. Leur nihilisme, leur désespoir est un ‘rôle’ qu’ils jouent, du ‘théâtre’. Le terme de rôle implique alors qu’il ne s’agit pas d’un comportement ‘vrai’ et ‘authentique’ mais d’un ‘rôle’ assumé pour certaines raisons. Cette impression est renforcée par d’autres éléments. Ainsi, le nihilisme que les personnages affichent manque d’un élément important quand on le compare à la philosophie de Nietzsche

classique » (1543 −→ 1re guerre mondiale) . . . . . . . . . . . . . 17 1.6. Époque contemporaine (20e s. −→ ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 2. Évolution de l’institution scientifique en occident . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 2.1. Les périodes anciennes de faible intégration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 2.2. Les périodes anciennes de forte