Obstacles épistémologiques

(du grec επιστήμη épistémê – « connaissance », « science » - et λόγος logos - « discours ») désigne soit le domaine de la philosophie des sciences qui étudie les sciences particulières soit la théorie de la connaissance en général. Le réalisme épistémologique est une position théorique au sujet de la connaissance, qui considère que celle-ci porte sur des objets réels extérieurs au sujet. Lié à la théorie de la vérité-correspondance , il s'oppose ainsi au solipsisme , en tant que forme extrême de l'idéalisme

connaissance. ■ Dégager la problématique et construire un plan La problématique Être libre dans un premier sens c’est faire tout ce que l’on veut, ne plus avoir à obéir aux ordres d’une quelconque autorité, ce serait donc ne rencontrer aucun obstacle. Mais est-ce seulement possible ? S’affranchir de toute autorité, n’est-ce pas vouloir se situer au-delà des lois de la société et même de celles de la nature, n’est-ce pas vouloir se poser comme maître absolu ? L’homme libre n’est-il pas plutôt

Il faut donc s'affranchir de ce voile (évoquer obstacles épi) : Pour Bachelard, l'histoire des sciences montre que les obstacles les plus difficiles à vaincre ne sont pas les obstacles objectifs (ex : diff d'observation, complexité d'un phénomène..) mais les obstacles internes à la pensée elle-même, laquelle secrète des images des schémas interdisant la juste compréhension de la réalité : c'est ce qu'il appelle des obstacles épistémologiques. Cette diff se retrouve dans l'éducation. Ce sont

scientifique" et de "paradigme", à une conception nouvelle du développement des sciences. À la même époque, en France, des réflexions sur la pratique théorique et, plus particulièrement, sur la pratique scientifique transformaient les notions de "coupure épistémologique" et de "problématique", de "rupture" et d'épistème" en concepts nodaux pour penser les transformations scientifiques et la science elle-même. Le sujet porte sur les différences paradigmatiques dans les sciences humaines et sociales. Le mot

19e et le 20e s) que des investigations SCIENTIFIQUES ont commencé à être effectuées au sujet de la société. L’étude du phénomène social poursuit des ambitions importantes mais elle se doit de faire face à de sérieux obstacles qui sont d’abord et avant tout de nature épistémologique. I. La Sociologie et sa démarche Pour l’essentiel, le sociologue se donne pour objectif de rendre compte du fait social en se conformant à l’exigence scientifique d’objectivité et d’exhaustivité. Seulement le problème

COMMUNICATION ET ACTION PUBLIQUE INTERNATIONALE ENSEIGNANT : PR LAURENT ZANG AVRIL 2009 L’extrait de texte « rupture », aborde le thème de la rupture en science sociales autour de deux idées centrales : les conditions de rupture en Sociologie, et les obstacles de la sociologie à être érigée en science, au même titre que les autres sciences dures. Cette rupture consiste en la séparation entre l’opinion commune et le discours scientifique, plus indécise que les autres disciplines. I- les conditions

sens commun, oppose le génie comme un individu hors de la société, un être singulier à un génie déterminé par la société, choisie par elle, serait génie l’artiste plébiscité par la société. La seconde ambivalence, de sens savant, oppose, par obstacle épistémologique approche déterministe et appréciation individualiste du génie. En somme, le génie est en proie à une ambivalence autour d’une opposition culture / nature. Il s’agira alors ici de montrer en quoi la sociologie de l’art nous permet de dépasser

scientifique. L’accès à la rationalité scientifique ne se fait pas simultanément dans tous les domaines de la connaissance. Bachelard a montré que la connaissance rationnelle se heurte à de nombreux obstacles épistémologiques, qui bloquent ou freinent le développement. Les obstacles épistémologiques ont permis de montrer à quel point l’objectivité n’est pas une donnée immédiate de la science mais une conquête de l’esprit sur l’humain. Le plus souvent, quand nous disons qu'un comportement ou une

faut redéfinir la vérité scientifique afin de rester pleinement objectif. Cela est seulement possible grâce à l'obstacle épistémologique que se met un scientifique. C'est un concept inventé par le philosophe Gaston Bachelard. Il désigne la difficulté qu'un scientifique à de rester objectif face à son désir de connaître et de pouvoir comprendre l'objet qu'il étudie. Cet obstacle repose sur quatre point essentiels : réaliser une catharsis intellectuelle et affective, réformer son esprit, refuser tout

la lignée de Dwyer et Descola, lignée dont le « pionnier » fut Haudricourt. En ce sens, elle s’inscrit explicitement dans ce courant anthropologique qui veut remettre en cause les « concepts de ‘nature’ et ‘culture’ et, surtout [le] bien fondé épistémologique de leur dualité paradigmatique dans la constitution et l’appréhension des savoirs. » Dans un second temps, elle montre quels sont les enjeux et les perspectives d’un tel axe de recherches. Pour elle, ce nouveau paradigme est « un tournant obligé