Obstacle Epistémologique Bachelard

Historique et Dictionnaire des principaux auteurs, Paris, Seuil, 1993, p. 66n. La nouvelle école de l'économie évolutionniste, très florissante depuis les années 80, se rattache explicitement, comme la bioéconomie de Georgescu-Roegen, au débat épistémologique qui accompagne l'évolution scientifique de la théorie de l'évolution. GeorgescuRoegen est incontestablement un pionnier parmi les économistes évolutionnistes (voir la conférence Entropy and Bioeconomics, Rome, 28-30 novembre 1991), mais la plupart

désigne, en logique, des conditions de possibilité. CONCEPT : idée générale et abstraite. il s'agit d'une formulation en un terme général de caractéristiques précises à partir des réalités étudiées ou pensées. Le concept renvoie à un contexte épistémologique (description de la formation et de la nature de nos connaissances). Selon l'empirisme, les concepts sont tirés "a posteriori" de l'expérience sensible (voir "abstraire"). Selon Kant (criticiste), ils relèvent de mécanismes "a priori" de l'entendement

savoirs à la fois perfectibles et changeants, dans une épistémè de la finitude, disait Foucault (Foucault, 1966), et la fin de la solidité des repères culturels dans des sociétés caractérisées par la mixité culturelle. Fracture sociale, atomisation épistémologique et fragmentation identitaire expliquent la centration sur l’individu dans les sociétés de la modernité avancée. Il lui échoit en effet de tracer sa voie dans une société où les rôles sont de moins en moins définis, où l’entrepreneuriat est valorisé

l’inconscient, mon passé). Cependant, la justice prend en compte l’hypothèse de l’inconscient (ex : un crime passionnel déterminés par des mobiles pulsionnels est puni moins sévèrement qu’un crime ordinaire) 2/ L’inconscient : un obstacle à la liberté : Etre libre, c’est être l’auteur conscient des actes et les choisir volontairement Le problème avec Freud, c’est mon passé, mon sur-moi, des pulsions très fortes qui me déterminent (donc je ne suis pas libre, pas d’autodétermination)

jouissances sensuelles. Mais les « affects », ainsi inhibés, puis sublimés, sont, en quelque sorte « affaiblis », « assourdis » : première difficulté de leur étude. B. Une investigation difficile Freud semble prendre plaisir à mentionner tous les obstacles rencontrés dans sa recherche. D’abord, l’Unheimliche est, dans le langage courant un terme imprécis : effroi, peur ou angoisse ? Ou encore proche parent des trois et pourtant différent ? Il faudra tenter de préciser ce qui reste pour le moment dans

Chacun pensent le monde a sa manière le sociologue prend le contre pied de se type d’apporche car pour lui le sens commun les préjugé les pré notion produisnet plus d’érreurs que de vérité. Les sociologues se méfient du savoir imédiat (G ; Bachelard). Le principale énnemie du chercheur est le chercheur lui-même. Le chercheur est immérgé dans le monde sociale. Tout le monde croi pouvoir avec sa propre vision du monde des principe généraux du monde social. Cela est d’autant plus

pour refuser toute interpellation du genre. L'émergence de projets locaux judicieux et dynamiques dépend d'abord et avant tout de la qualité des intervenants à la base, dans l'organisation interne de l'école. Il est trop facile de ramener tous les obstacles aux problèmes bureaucratiques actuels ou aux manœuvres des tenants de l'idéologie dominante. Je ne nie pas la pertinence de certaines critiques et de certaines luttes nécessaires. Mais je doute de leur avenir, si on ne commence pas à anticiper ce

LA CRIMINOLOGIE ? Chapitre I. Approche du comportement délinquant - Le point de vue juridique Le point de vue biologique Le point de vue psychologique Chapitre II. Approche socio-politique de la délinquance - La mise en cause épistémologique La mise en cause méthodologique La mise en cause politique Chapitre III. Les modèles sociologiques appliqués à la délinquance - Le modèle consensuel dans l'explication de la délinquance Revue des recherches Enseignements pour la politique

rigoureuse (voire plus) que la sociologie dite quantitative, et ne dédaigne par ailleurs ni les chiffres ni les procédures de recension systématique, bien au contraire (cf. OLIVIER DE SARDAN, 1995). De ce point de vue, il n'y a aucune différence épistémologique entre sociologie qualitative et sociologie quantitative, mais bien complémentarité entre des méthodes différentes de production des données. Jean-Pierre Olivier de Sardan, Anthropologie et développement. (1995) 18 diverses, prenant en compte

d'une langue étrangère et dans un premier temps ont tranché le débat en incluant l'une dans l'autre. Certes, il est clair que langue et culture ont partie liée, mais deux questions demeurent qui ne sont pas triviales : 22 Chap. 1 Sur un plan épistémologique, comment acquiert-on un savoir (et non des perceptions subjectives) et un savoir-faire sur une culture, fut-ce la sienne ? Comment s'y prend-on sur un plan plus méthodologique pour faire acquérir ce savoir et / ou ce savoir-faire ? C'est tout