Notion De Faute Intentionnelle En Assurance

responsabilité civile, à de très courtes exceptions près, par exemple l’art. 1386-1. A cette date, les textes étaient fondés sur le principe suivant : « On est responsable que de sa propre faute » (art. 1382). L’obligation de réparer à la victime, repose sur la faute de l’agent. A l’origine, la faute et la responsabilité sont donc fondées sur des considérations morales, c’est à dire qu’on indemnise la victime que lorsqu’on a fait quelque chose de mal. Ces considérations se comprennent ou

obligation de moyen,celui-ci doit mettre en œuvre tous les moyens qu’il dispose pour obtenir le résultat escompté . S’il n’exécute pas son obligation, sa responsabilité sera engagée mais il conviendra au créancier de prouver que le débiteur a commis une faute, ou une erreur ou une imprudence ou il n’a pas mis tous les moyens pour obtenir ce résultat. Généralement, il s’agit de contrats qui sont frappés d’un aléa c a dire d’un événement que ne maitrise pas forcément le débiteur. Par exemple, on parle d’aléa

sur les biens en particulier). → Ce lien de droit a un caractère pécuniaire : le droit personnel est un droit patrimonial, droit susceptible de faire l'objet d'une appréciation éco et dont le respect est garanti par le patrimoine du débiteur. => Notion et origine des obligations = droit romain : conception de l'obligation était très évoluée, appuie sur le droit romain pour la matière. => DOMA (auteur) a écrit un ouvrage inspiré largement du droit romain. => Potier : ouvrage, il a presque était recopié

la société société : à la fois - entité (càd personne morale) - contrat entre plusieurs personnes. /!\ sauf sociétés unipersonnelles : EURL, SASU Rapport entre sté et entreprise ? Entreprise : notion éco ; unité de production de B ou de S (tournée vers la réalisation d'un profit). ≠ Société : notion juridique ; personne morale qui exploite une entreprise. Participation des salariés à la société : pas parties au contrat de société. Mais depuis 60's, mécanismes juridiques pour prendre en compte

doit garantir au destinataire de l'offre un certain délai pour qu'il puisse prendre position. Paragraphe II : L'acceptation de l'offre C'est le consentement d'une personne à une offre qu'on lui a faite. Elle entraine la formation du contrat. La notion d'acceptation L'acceptation est une manifestation de volonté unilatérale qui doit être ferme, non équivoque et précise. La fermeté de l'acceptation signifie qu'elle ne doit pas être assortie de réserves même partielles. Si l'intéressé donne son acceptation

Introduction SECTION 1 : La notion de droit Le mot « droit » a deux sens. §1 : Les droits subjectifs (rattachés à la personne) Définition (en abrégé déf.) : Ce sont les facultés reconnues par la loi aux personnes et qui permettent à ces personnes d’accomplir des actes déterminés. Les droits subjectifs sont désignés en anglais par le mot « rights ». P.ex. : le droit de la victime de réclamer la réparation du dommage qu’elle a subi. §2 : Le droit objectif Définition : C’est l’ensemble

LMD) ainsi qu’aux candidats aux divers concours des professions judiciaires et juridiques. PRÉSENTATION Présentation Liste des abréviations utilisées Chapitre 1 – La notion d’obligation 1 – Les caractères de l’obligation 2 – La force juridique de l’obligation ■ ■ Le devoir Le pouvoir de contrainte a) Notion d’obligation naturelle b) Effets de l’obligation naturelle Les classifications des obligations en fonction de leur objet a) La distinction entre les obligations de donner, de faire

© Gep éditions, 2012 ISBN : 978-284425-850-2 C onnaissanCes ◗◗ ◗◗ ◗◗ ◗◗ ◗◗ ◗◗ Les◗obligations◗et◗le◗contrat La◗notion◗d’obligation La◗notion◗de◗contrat Les◗conditions◗de◗validité◗d’un◗contrat Les◗effets◗obligatoires◗du◗contrat L’inexécution◗des◗contrats Les obligations et le contrat 5 Les pouvoirs publics sécurisent les échanges. L’instauration d’un cadre législatif, destiné à définir les règles de fonctionnement des marchés et à surveiller le comportement des acteurs permet de garantir

commise par l’agent est intentionnelle ou non intentionnelle. La responsabilité pénale de l’agent public est engagé comme celle de toutes autres personnes qui ne seraient pas un agent public. Quand l’infraction est intentionnelle une faute simple suffit pour engager la responsabilité pénale de l’agent. Si la faute est non-intentionnelle, une faute simple ne suffit pas nécessairement. Il faut distinguer 2 cas de figure : - l’agent public a directement causé le dommage : une faute simple suffit (de négligence

l’importance du préjudice subi qui doit être réparé par une indemnisation. Le risque responsabilité civile peut être couvert par une assurance si l’acte délictuel ne résulte pas d’une faute intentionnelle, volontaire. Toutefois, bien qu’une faute revête un caractère pénal ; elle peut entraîner un préjudice, qui dans tous les cas entraînera réparation. La partie pénale de la faute ne pourra être assurée tandis que les conséquences en responsabilité CTB Aspet – Septembre 2007 CNRS/DR15/SPL 1 civile