Niobé

Phoroneus, fils du fleuve Inachos et de Mélia, fut roi d’Argos. Clément d’Alexandrie dit que Platon suit ici le vieil historien Acusilaos, qui appelle Phoroneus le premier des hommes. 4 Il ne faut pas confondre cette Niobè, fille de Phoroneus, avec la fameuse Niobè, épouse d’Amphion. Niobè, fille de Phoroneus, eut de Zeus un fils appelé Argos, qui donna son nom à la ville d’Argos. 2 1 59 d’années s’étaient écoulées depuis ces événements. Alors un des prêtres, qui était très vieux, lui dit : «

cou dans le Tartare, fleuve des Enfers où il subit le supplice qui porte son nom : la soif et la faim au milieu d’une abondance qui se dérobe sans cesse. Sa fille, Niobé, mère (trop) orgueilleuse de sept fils et sept filles tous tués par les flèches d’Apollon et d’Artémis, les archers divins, enfants uniques de Léto dont Niobé avait raillé la fécondité médiocre. Pélops, ressuscité par les dieux, a deux fils : Atrée et Thyeste. Ce dernier séduit la femme d’Atrée. Vengeance : Atrée égorge les

est peint en noir. Dans chaque médaillon est exposé un buste ou une tête sculpté(e), accompagné(e) d'une étiquette indiquant le nom de la divinité représentée (Satyre (sU2l), Aphrodite (sU22), Satyresse (sU23), Niobide (sU24), Donatrice (sU25), et Niobe (sU26». Les deux parois expographiques inclinées, contenant les médaillons, constituent le principal dispositif de mise en exposition de la séquence, qui permet une contextualisation partielle des objets archéologiques. L'inclinaison permet de présenter

Paris, Éditions de Minuit, 2009, p. 164. ! 16 ticipation active de Courage à la guerre n’est pas prise au sérieux, la guerre est une source de revenus, et peut-être la seule. […] Courage apparaît essentielle- ment en tant que mère, et semblable à Niobé elle est hors d’état de préserver ses enfants de la fatalité de la guerre. Sa profession de cantinière et la manière dont elle l’exerce lui confèrent tout à fait quelque chose de « réaliste, de non idéal », mais n’ôte en rien à la guerre son caractère

même Aristote " au chapitre vnziesme de son Art Poétique, dans lequel on voit la condamnation du Cid " ; de par Platon " liure dixiesme de sa République : ", de par Marcelin, " au liure vingt-septiesme ; on le peut voir " ; de par les tragédies de Niobé et de Jephté ; de par " l’Ajax de Sophocle " ; de par " l’exemple d’Euripide " ; de par " Heinsius, au chapitre six, Constitution de la Tragédie ; et Scaliger le fils dans ses poésies " ; enfin, de par " les Canonistes et les Iurisconsultes, au titre

même Aristote " au chapitre vnziesme de son Art Poétique, dans lequel on voit la condamnation du Cid " ; de par Platon " liure dixiesme de sa République : ", de par Marcelin, " au liure vingt-septiesme ; on le peut voir " ; de par les tragédies de Niobé et de Jephté ; de par " l’Ajax de Sophocle " ; de par " l’exemple d’Euripide " ; de par " Heinsius, au chapitre six, Constitution de la Tragédie ; et Scaliger le fils dans ses poésies " ; enfin, de par " les Canonistes et les Iurisconsultes, au titre

salon pour recevoir ses prétendus amis. Vêtue de blanc, sans aucun ornement dans ses cheveux simplement nattés, elle semblait calme, et n'affichait ni douleur, ni fierté, ni fausse joie. Personne ne pouvait lire dans son âme. Vous eussiez dit d'une Niobé de marbre. Son sourire à ses intimes amis fut parfois railleur ; mais elle parut à tous semblable à elle-même, et se montra si bien ce qu'elle était quand le bonheur la parait de ses rayons, que les plus insensibles l'admirèrent, comme les jeunes Romaines

même Aristote " au chapitre vnziesme de son Art Poétique, dans lequel on voit la condamnation du Cid " ; de par Platon " liure dixiesme de sa République : ", de par Marcelin, " au liure vingt-septiesme ; on le peut voir " ; de par les tragédies de Niobé et de Jephté ; de par " l'Ajax de Sophocle " ; de par " l'exemple d'Euripide " ; de par " Heinsius, au chapitre six, Constitution de la Tragédie ; et Scaliger le fils dans ses poésies " ; enfin, de par " les Canonistes et les Iurisconsultes, au titre

par ce même Aristote "au chapitre onziesme de son Art Poétique, dans lequel on voit la condamnation du Cid" ; de par Platon "livre dixiesme de sa République", de par Marcelin, "au livre vingt-septiesme ; on le peut voir" ; de par les tragédies de Niobé et de Jephté ; de par "l'Ajax de Sophocle" ; de par "l'exemple d'Euripide" ; de par "Heinsius, au chapitre six, Constitution de la Tragédie ; et Scaliger le fils dans ses poésies" ; enfin, de par "les Canonistes et les Jurisconsultes, au titre des

drame n’est pas seulement celui de la femme abandonnée par un amant qui la trahit en faveur d’un mariage d’argent ; c’est celui de son incapacité à vivre un amour compromis, de son désir d’émotions véritables. 4. Comparée à la figure mythologique de Niobé, qui symbolise la douleur inconsolable, mais pourtant « de marbre », (car elle avait été transformée en une statue de marbre dont les larmes formaient une source), Mme de Beauséant quitte le monde, souriante et calme, semblable à elle-même, en révélant