Nier La Liberté

Le domaine de la connaissance c’est tout à la fois la connaissance de soi et la connaissance du monde. (texte) C. Opinion et liberté de juger Si nous pouvons opiner dans l’opinion, c’est que nous choisissons de l’avoir, c’est que nous sommes libres de la tenir. Nous sommes donc responsables de nos opinions. D’où nous vient cette liberté ? Cette liberté vient de ce que nous pouvons par la volonté prendre position, même sur des sujets sur lesquels notre entendement n’est pas suffisamment

fort à propos pour ce dessein, j’ai délivré mon esprit de toutes sortes de soins, que par bonheur je ne me sens agité d’aucunes passions, et que je me suis procuré un repos assuré dans une paisible solitude, je m’appliquerai sérieusement et avec liberté à détruire généralement toutes mes anciennes opinions. Or, pour cet effet, il ne sera pas nécessaire que je montre qu’elles sont toutes fausses, de quoi peut-être je ne viendrois jamais à bout. Mais, d’autant que la raison me persuade déjà que je

sociable, plus il est guerrier. Une guerre ne peut commencer que par l’obéissance, qui est au principe de la vertu sociale, elle ne peut durer que si les hommes qui le font aiment réellement autre chose qu'eux-mêmes ». Leur patrie, leurs valeurs, leur liberté, par exemple. Vauvenargues a sans doute vu juste : « Le vice fomente les guerres, la vertu combat ». 2) Deuxième idée : la guerre consiste à faire parler les armes, à recourir à la force pour imposer la volonté disons du « groupe »

refuser la facilité : "Qu'est-ce que vous voulez que cela me fasse, à moi, votre politique, votre nécessité, vos pauvres histoires ? Moi, je peux encore dire "non" encore à tout ce que je n'aime pas et je suis seule juge."Elle revendique sa propre liberté et affirme : mon acte, c'est "pour personne. Pour moi.". Elle exprime aussi une volonté, une détermination indépendante aux pressions extérieures. Pour Créon, s’insurger contre la loi c’est mettre en péril l’état : les lois sont en effet le ciment

communément appelé ‘'illusion'' afin d'évoquer une réalité subjective. La fiction romanesque est une fable, et à ce titre elle est trompeuse. Mais le lecteur ne le sait-il pas ? Le mensonge n'est pas une tare que le roman doit s'efforcer de voiler, de nier ou de corriger. Le mensonge est un principe esthétique positif qui parfois sert les intérêts de la vérité. Intuitivement nous sentons en effet que les énoncés contenus dans un roman ne relèvent pas du mensonge ou de la vérité dans le sens logique où

y a-t-il « décision » ? Décider, c’est exercer sa liberté. Parler de décision, c’est postuler la liberté du « décideur ». Symptomatique est le succès des expressions « marge de liberté » et « marge de manœuvre » dans la bouche des dirigeants — une manière de tenter de faire croire aux autres, de se convaincre eux-mêmes, que leur liberté est marginale, que leurs possibilités de manœuvre sont minimes. Le langage réflexe des PDG tend à nier la liberté, et par conséquent la décision du dirigeant d’entreprise

matérielles de son existence. On ne peut nier les bienfaits dont elle est à l'origine, au niveau confort, moyens de production, mais on peut cependant se demander si la technique n'a pas donné une certaines addiction à l'Homme, le rendant dépendant des nouvelles technologies et lui créant des besoins à la base inutiles, ce qui n'est pas forcément en accord avec la notion de liberté. Dans un premier temps nous allons voir en quoi la technique nous donne une certaine liberté puis nous verrons qu'elle peut,

Drusilla (sœur de Caligula). Cette pièce a pour principale visée de montrer la plus humaine et la plus tragique des erreurs. Dans cette pièce, l’empereur, Caligula, va repousser les limites de la logique jusqu’à l’absurde pour pouvoir appliquer sa liberté, qui se révèlera ne pas être la bonne. Lors du premier acte, on assiste au désespoir de Caligula notamment avec ce célèbre passage : « Les Hommes meurent mais ne sont pas heureux ». La lune, qui est pure, va alors se positionner comme une éventuelle

n'est pas dans son bon sens. Dire la même chose de tout un peuple, c'est supposer un peuple de fous : la folie ne fait pas droit. Quand chacun pourrait s'aliéner lui-même, il ne peut aliéner des enfants ; ils naissent hommes et libres ; leur liberté leur appartient, nul n'a droit d'en disposer qu'eux. Avant qu'ils soient en âge de raison le père peut en leur nom stipuler des conditions pour leur conservation, pour leur bien-être ; mais non les donner irrévocablement et sans condition ; car

Cherchant de nobles horizons, Victor Hugo affirme son rôle de guide, de visionnaire. L’histoire est obscure, le peuple dans l’ignorance, dans la souffrance aussi. La poésie romantique comme le titre du tableau de Delacroix le suggère est La liberté guidant le peuple. Dans Les châtiments, Victor Hugo combat la tyrannie de l’empire, il caricature cruellement Napoléon III. La verve poétique est libératrice, la hardiesse métrique est comme une arme au service de la République. Sans doute faut-il