Métaphore Homère Odyssée

seulement les dimensions, mais aussi les organes, les réactions et l’espérance de vie d’un éléphant, mieux vaut s’adresser jusqu’à nouvel ordre, à un couple d’éléphants bénévoles, plutôt qu’au meilleur des peintres hyperréalistes. Pour rester dans les métaphores animalières, on peut aussi rappeler cette fameuse anecdote sur Picasso, rapportée par H. Parmelin dans son ouvrage Le Peintre et son modèle : « Ce que je voudrais dit Picasso, c’est faire une corrida comme elle est. Une vraie corrida. Évidemment

guépard ne fait pas partie des emblèmes héraldiques, : clin d’œil adressé au lecteur afin qu’il puisse établir un lien entre la vie de son personnage et celle de son arrière grand père. 2) Le Guépard : métaphore qui désigne le prince. - Force physique et délicatesse du prince Salina : p 11 « le heurt de son poids de géant faisait trembler le plancher » ; « Il n’était qu’immense et très fort »; « ses doigts pouvaient froisser comme du papier vélin »

l'hyperbole, les évaluatifs mélioratifs. l'abondance des métaphores achève de transfigurer le réel, auquel elle confère une puissance sacrée (animisme, merveilleux). Textes théoriques : Aristote : Poétique - Voltaire : Essai sur la poésie épique - V. Hugo : Préface de Cromwell - Hegel : Esthétique - N. Frye : Anatomie de la critique - B. Brecht : Écrits sur le théâtre. Œuvres caractéristiques : Épopée : Iliade et Odyssée (Homère), Énéide (Virgile), La Chanson des Nibelungen, Les Martyrs

êtres jeunes et naïfs qui ne comprennent pas ce qui leur arrive : «Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !» Ils sont impuissants contre ceux qui les exploitent. Mais le poète sait rendre fantastique ce monde inhumain, employant de nombreuses métaphores et personnifiant les machines : «sous les dents d’une machine sombre» - «monstre hideux qui mâche» - le «souffle étouffant» de cette si orte de dragon - «la serre» de cet oiseau de proie. Dans cet univers froid et dur, «tout est d’airain tout est

jeunes et naïfs qui ne comprennent pas ce qui leur arrive : «Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !» Ils sont impuissants contre ceux qui les exploitent. Mais le poète sait rendre fantastique ce monde inhumain, employant de nombreuses métaphores et personnifiant les machines : «sous les dents d'une machine sombre» - «monstre hideux qui mâche» - le «souffle étouffant» de cette si orte de dragon - «la serre» de cet oiseau de proie. Dans cet univers froid et dur, «tout est d'airain tout est

êtres jeunes et naïfs qui ne comprennent pas ce qui leur arrive : «Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !» Ils sont impuissants contre ceux qui les exploitent. Mais le poète sait rendre fantastique ce monde inhumain, employant de nombreuses métaphores et personnifiant les machines : «sous les dents d’une machine sombre» - «monstre hideux qui mâche» - le «souffle étouffant» de cette si orte de dragon - «la serre» de cet oiseau de proie. Dans cet univers froid et dur, «tout est d’airain tout est

définition stricte et tenue du personnage : → Chklovski, Théorie de la prose (1925) : idée que le personnage est le fil qui coud les actions entre elles. « Gil Blas n’est pas un homme, c’est ce fil qui relie les épisodes du roman ». Selon cette métaphore du fil, le héros n’est là que pour assurer la succession des motifs. Poussée à son extrême, cette proposition peut même aboutir à une évacuation de la nécessité du héros. Ainsi le caractère radical de cette formulation permet de se défaire de la

existants. Il fallait aussi enrichir le style en s'inspirant «de la phrase et manière de parler latine» et grecque, en inventant de nouvelles tournures («l'aller, le chanter, le vivre, le mourir» [II, 9], en recourant aux figures de rhétorique («métaphores, allégories, comparaisons... et tant d'autres figures et ornements, sans lesquels tout oraison et poème sont nus, manques et débiles» (I, 5), les périphrases, les épithètes significatives). Ainsi, les savants et poètes français seraient récompensés

entreprend de consoler Boèce, en le laissant d'abord longuement raconter ses malheurs et leur injuste origine, puis en l'invitant à dépasser par la réflexion générale son désarroi individuel (livre I). Elle commence ensuite sa thérapie — la classique métaphore médicale est filée — en rappelant au malheureux, qui se dit victime de la Fortune, que celle-ci n'est jamais aussi utile aux mortels que quand elle les frappe, puisque c'est alors qu'elle leur révèle sa véritable nature (livre II). Puis elle dénonce

SLAMTI SadEléments de critique littéraireSemestre v Université Ibn Zohr2020/ 2021Avertissement L’article intitulé L’ivresse intertextuelle aura comme but de vous amener au lieu de la littérarité chez Baudelaire. Le poète arabe cité comme un intertexte n’est qu’un prétexte pour approcher l’écrire poétique baudelairienne qui est l intertexte sur lequel nous bâtirons notre critique des poèmes proposés à l’étude Avant propos « Qu’on ne me dise pas que j’ai rien