Métaphore Filée

aimée. Le poème peut être lu comme un voyage sur la mer mouvementée du désir. C’est dès le troisième vers, avec « Comme une étoffe vacillante » que les comparaisons avec la mer apparaissent ; en effet, tout au long du poème se développe la métaphore filée qui relie la femme à la mer. Ce sera dans la deuxième strophe seulement que le mot « mer » apparaîtra. Ainsi, son corps « miroite[r] » tel la surface de la mer sous la lumière du soleil. Sa chevelure est qualifiée de « profonde » évoquant les

« un accès d’horrible tristesse ». -les larmes d’Eugène se produisent dans une atmosphère fantastique : « le jour tombait », « un humide crépuscule agaçait les nerfs ». Le narrateur peint son personnage dans une posture de héros romantique. La métaphore « ensevelit » montre que Rastignac enterre ici sa jeunesse et ses bons sentiments, de cette perte naît la mélancolie (le mal du siècle). Le mot « larmes » est répété trois fois et le lyrisme est présent dans l’amplification du rythme, dans la sacralisation :

divisions temporelles : "la nuit", "le jour", "l’aurore", "le soir", "les heures", "l’année", "moments", "l’éternité" et présence d’adjectifs significatifs : "l’heure fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps "l’océan des âges" (21, 35-36) assimilé à l’eau → métaphore filée du temps qui coule. • L’opposition des temps verbaux (passé / présent) : le passé évoque le souvenir, l’expérience vécue (strophes 3 et 4). L’imparfait insiste sur la durée des actions et le passé simple

non seulement cette femme lui inspire un amour extatique, mais elle fait jaillir en lui un désir. Ceci est perceptible par le mouvement et le caractère animal de la chevelure. La femme est associé à un monde animale et sauvage à travers une métaphore filée : « Ô toison, moutonnant jusqu’à l’encolure ». Cette animalité accentue la sensualité de la femme et amplifie l’amour béat que le poète lui voue. Il veut la sentir, s’en approcher, sentir la proximité, se fondre en elle : « Longtemps! toujours

« ténébreux orage ; tonnerre ; pluie ; brillants soleils », [pic] le champ lexical du jardin : « jardin ; fruits ; pelle ; râteaux ; terres ; fleurs ; sol ». Et c’est en utilisant ces deux champs lexicaux que Baudelaire va construire une métaphore filée sur les saisons et le climat qui va occuper les trois premières strophes. On note parmi les termes importants : « orage ; soleil ; tonnerre ; pluie ; jardin ; fruits ; automne ; terres ; fleurs ». 2. Dans ce sonnet, le temps devient le « Temps »

, gorgée de chair humaine » (l.40), il nous présente le capital comme un monstre de la mythologie grec ,le minotaure et renforce ainsi l'idée d'un ennemi insaisissable . Puis ce discours est un réel appel à la révolte , en utilisant une métaphore filée «Une armée poussait des profondeurs des fosses ,une moisson de citoyens dont la semence germait et ferait éclater la terre ,un jour de grand soleil» (l.2 à 31) , l'auteur compare la révolte des mineurs à la germination d'une plante ainsi il fait

état d’esprit, qui permet à la voix de s’élever, mouvement ascendant ( protase), jusqu'à ce qu’elle atteigne le sommet de la phrase ( acmé)., puis le mouvement descendant ( apodose). c) Images poétiques « Flot des passions » (l.29). Métaphore filée qui exprime une idée de renaissance dans un contexte religieux, image biblique, régénération du corps. (l.34/35) Vers la fin du texte on quitte le registre de la plainte lyrique  il évoque la mort. « Mal su siècle » Baudelaire va appeler

« paresse » + « sans cesse » agitation de la vie : ex n°2 chez Delacroix : assonnances -----> répétition de voyelles ou sons vocalique avec le son « an » qui renvoit à l'univers fantastique « Lac de sang hanté..... » Chaque strophe développe une métaphore filée ----> Chez Rubens c'est la sensualité triomphante, l'oubli, la paresse ; ------> chez Delacroix c'est l'inquiétude étrangeté ; -----> chez De Vinci, le mystère souriant. II) Une définition de l'oeuvre d'art et de la fonction de l'artiste ---->

La description qu’en propose Süskind en fait un véritable paradis où Jean-Baptiste s’égale à dieu. La page n’est cependant pas dénuée d’ironie et préfigure l’échec du personnage. I. Un artiste jardinier Tout la page développe la métaphore filée du jardin enchanté comme en atteste un champ lexical particulièrement riche pour désigner : -les lieux : «  immenses plantations/ petites plates bandes/ campagnes en jachères… » - les créations «  les graines/ la récolte / les boutons de fleurs

d'une expression suggérant beaucoup plus que ce qu’elle dit réellement | - Ce n’est pas mauvais (c’est bon) - Va, je ne te hais point (je t’aime) Le Cid, de Corneille | METAPHORE | Etablir une assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison.Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots. | - Et tes mains, feuilles de l’automne - Les étoiles volaient dans les branches des arbres | METONYMIE | Remplacer