Métaphore Dans Midi

= jeune fille. Et si elle lui dit son nom c’est qu’il a réussit à la connaître un peu mieux .- « Le wasserfall blond » est une personnification de la chute d’eau en femme à la chevelure blonde qui s’échevelle.- « Je levai un à un les voiles » = métaphore. Rimbaud déshabille en réalité la déesse, la femme.- « Je la chassai » = La femme est son gibier- « Je courais comme un mendiant » antithétique, un mendiant ne court pas, mais attend. C’est donc qu’il est à sa poursuite pour mendier sa présence.-

sa musique. On montrera dans un premier temps l’espace merveilleux créé par le poète et par la suite on verra comment l’aube devient une femme. L’espace temporel du poème se définit sur une période précise, c’est-à-dire entre «  l’aube » et « midi ». Le texte est narré à la première personne, on remarque que c’est le narrateur qui décrit tout ce qu’il voit. Ici, le poète a le pouvoir de lever le jour et ainsi réveiller la nature. Toutes ces actions ont une conséquence sur l’environnement, tout

nous donne une sensation d’immobilité. Nous avons l’impression que le peuple guadeloupéen est immobile face à la situation. Il y a aussi, le champ lexical du temps, « trois jours », « la nuit », « jours », « temps », « aurore », arc-en-ciel », « midi », « étés », qui nous laisse entendre que l’action se passe durant plusieurs jours. Le combat est donc rude. Le champ lexical de la guerre et de la mort sont aussi présents dans ce poème, « troupeau », « tué », « sang », « ténèbres », « mort », « armure »

l’expression de la fuite du temps. Le message est que la vie n’est qu’un passage, c’est le mouvement avant une mort inévitable. « Cestuy à son réveil trouve son occident » v.2 = ici référence à l’enfant qui va mourir à sa naissance. « L’autre meurt au midi de son jour plus ardent » = référence à la moitié de sa vie, mais tôt ou tard, que l’on soit jeune, vieux : c’est le ciel qui donne l’arrêt brutal. Au deuxième quatrain, on rebondit sur l’image initiale du fleuve par le biais de la comparaison « ressemble

ni de révolte dans cetteextrait on pose la question suivante : comment Camus présente-t-il cette agonie? plan: I)la dramatisation du récit de l'agonie II)l'experience de l'echec et de l'impuissance I)ladramatisation du récit de l'agonie "A midi, la fièvre etait à son sommet" , c'est le point culminant ,le zenith: on appelle cela le noeud de la crise au theatre progression clinique:"la fièvre","la toux", "le sang", "les ganglions" ;des comparaisons. "vissés" est au participe passé ce qui

apporte donc une épaisseur plus personnelle et voir intime. De plus la couture renvoie à une forme de création manuelle qui se veut minutieuse et précise, à l’instar du dessin, l’art de prédilection de Man Ray. Dans le recueil, la couture sert de métaphore à différent « thème ». Dans « Fil et Aiguille », elle est assimilée à la création, à l’invention infinie de par le poème explicite : « sans fin donner naissance » v.1, et l’anaphore « A des » v.2 et 3 qui suggère un ressassement. On retrouve cette

un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d’un bois de lauriers, je l’ai entourée avec ses voiles amassés, et j’ai senti un peu son immense corps. L’aube et l’enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi.  Présentation Arthur Rimbaud (1854-1891) appartient à ces trajectoires poétiques dans lesquelles la vie de l’auteur fait lire avec émotion et interrogations ses textes. Entré en poésie très jeune et sorti de poésie très jeune (on donne toujours

l'anaphore de « c'est », répété trois fois. cf. 3ème strophe Indécis Précis - derrière des voiles - beaux yeux - tremblant - grand jour […] de midi - automne attiédi - ciel - fouillis - bleu - étoiles - claires Au vers 20, la ponctuation (points d'exclamation) nous met en garde contre ce qu'il ne faut pas faire. Il y a une métaphore péjorative avec « ail de basse cuisine ». Beaucoup de connotations péjoratives s'opposent : au vers 35 « la menthe et le thym », relève le fait que l'ail

piliers… » ( Métaphore. V. -Constitué de 3 strophes, en tout, de 40 vers en alexandrins. v.5 « Et, le ciel amoureux leur caressant l’échine… » ( Personnification. VI. Les phares -Constitué de 10 quatrains en alexandrins. v.37-38 « C’est un cri répété par mille sentinelles, un ordre renvoyé par mille porte-voix… » ( Hyperbole. VII. La muse malade -Constitué de 3 quatrains et 2 tercets en alexandrins. v.2 « Tes yeux creux sont peuplé de visions nocturnes… » ( Métaphore. VIII. La muse

atténuer les symptômes de la peste. Le temps joue un rôle important quant à l'impuissance du médecin. En effet, plus le temps défile et plus Rieux ne peut que regarder son ami sombrer dans la mort. Cette mort chemine inévitablement à partir de « midi » l.1. Et le délabrement de l'état de Tarrou ne fait que s'accroître « ses yeux s'ouvrirent de moins en moins » l.5, « d'éclairs de plus en plus rares » l.6, « un masque dérivait lentement » l.7. Les repères temporels présents tout au long du texte