Métaphore Animiste

temps, il y a la fable et l'apologue qui mettent souvent en scène des animaux pour présenter la société, et surtout la dénoncer. Ils se présentent comme un court récit plaisant à lire, souvent constitué de nombreuses figures de style notamment la métaphore ou l'image, il aboutit très souvent sur une morale qui a pour but d'instruire le lecteur. L'exemple le plus flagrant reste encore les Fables de La Fontaine qui parvient à distraire et à persuader le lecteur. D'ailleurs La Fontaine parvient à exprimer

-          Position du poème dans l’œuvre : 2ème poème -          Pont = symbole Mirabeau = pont moderne sur la Seine è Lecture sur un ton élégiaque   Pb : En quoi le poème renouvelle-t-il un thème traditionnel ?   I.                   La métaphore de l’eau   1)      Eau / Amour / Temps   -          1er vers : grande banalité, simplicité ð cliché Mais ambiguïté au niveau de la ponctuation ð 2 sens sont possibles « Nos amours » peut être soit 2ème sujet de la 1ère phrase, soit COI de la

1) L’expression « Les Fleurs du Mal » contient la figure stylistique d’un oxymore, car il y a une opposition entre les deux termes : les fleurs connotent la beauté et n'ont rien à voir avec le monde du mal. Sur cette première figure se greffe une métaphore, le mal est considéré comme une plante qui a atteint sa maturité (fleur) dans le cœur de l’homme. Et sur cette deuxième figure se greffe encore une syllepse de sens (double sens), le mal, au singulier, actualisé par un article défini désigne toutes

de deviner ce qui va se produire. Il a un rôle dans le progrès de l’esprit humain, comme le montre la métaphore des idées en arbre : « toute idée, humaine ou divine,/ Qui prend le passé pour racine/ A pour feuillage l’avenir. » Il y a là progression par rapport à l’idée du germe dans le premier dizain. Il est également un pont entre le passé et l’avenir. Cette idée est traduite par la métaphore d’une tradition que l’on « ramasse » comme un objet à terre. 2) Rôle de mage ou de prophète ; il ya

  Si le poème s'achève sur un constat d'échec, Rimbaud affirme pourtant que dans cette entreprise, il est allé plus loin que les autres, mais finalement, incapable d'admettre les limites qu'il rencontre, il finira par renoncer à la quête (midi, métaphore de l'âge adulte, sera l'heure du départ et du silence). Une question reste en suspens : est-ce un conte ou un récit de rêve ?

se révoltaient contre leur injustice alors que maintenant ils ne se battent plus. En ce mois d’août, les habitants sont comme anesthésiés malgré la présence de la mort, ce sont des mort-vivants comme le montre l’oxymore qui est également une métaphore « dormeurs éveillés »l.3, la phrase ligne 2-3 « Mais ils dormaient déjà en vérité, et tout ce temps ne fut qu'un long sommeil. ». Le moment où ils recensent la douleur c’est « dans la nuit,[où] leur blessure apparemment fermée se rouvrait brusquement

leur inscription. On est là dans le domaine du montage. Autrement dit, ne vous y penchez pas trop, mais faites circuler, liez, déchiffrez. En affirmant qu’il s’agit, non pas d’œuvres d’art, mais d’éléments d’une combinatoire, Broodthaers en fait la métaphore du langage. Le langage entendu comme système d’articulation, dans sa capacité à produire des images ou à établir un discours – et non les mots eux-mêmes dont il stigmatisera la potentialité d’évocation dans L’Erreur. L’Erreur est un tableau de 1966

« l’inflexion » ( ce qui est personnel dans la voix) ----- intonations spécifiques à chaque personne d/ Associée à des êtres chers perdus, - à des personnes  aux v. 10 et 14 - Périphrases formant un euphémisme « aimés que la Vie exila » avec métaphore de l’exil signifiant la mort « les voix chères qui se sont tues » -------Cette femme est la synthèse des femmes aimantes que le poète a perdues. Qui sont-elles ? Secret que Verlaine exprime avec allégorie de la Vie et généralité de l’article

enfants des familles ouvrières, n'arrive pas à s'épanouir ( « une flore pâle et pourrie » ). L'expression « en des caries de plâtras blancs et de scories » signifie-t-elle que les squares sont implantés sur les déchets des usines ou est-elle une métaphore pour désigner les maladies des arbres, touchés eux aussi par la pollution ? Aucune couleur vive n'apparaît dans cet environnement, où le noir de l'industrie semble tout recouvrir, comme le fait aussi le bruit des usines. Et surtout la vie humaine

par celui de sa vie » (ligne 27 à 29). 5. Michel de Montaigne condamne une éducation basée sur l’apprentissage direct, sans réflexion et un apprentissage de « masse », c’est à dire où l’individualité de l’enfant est mise à l’écart. 6. La métaphore en conclusion compare la nourriture comme les « leçons » et l’estomac comme le « savoir ». Le fait d’ « avaler » les  leçons et de les « recracher » comme on les a « avaler », signifie que l’on n’en a tiré aucun profit, c’est à dire apprendre « bêtement »