Métaphore Animiste

montrer qu’ils sont anti-conformiste et pour élargir leur champs de perceptifs. La drogue pour lui est toujours une échappatoire à la société, ou personne ne peut le déranger. Mais dans ce texte Rimbaud se serre aussi de l’ivresse comme une métaphore, Dans les sens que « Matinée d’ivresse » est une allégorie de sa démarche poétique. 3.Diviser - Le poète se fait voyant par un long, immence et raisonné déréglement de tous les sens. Se libère de ce monde par l’ivresse, aussi allusion au

du poète. LECTURE ANALYTIQUE 1 Comparaisons, métaphores et personnifications La récurrence du mot comme dans le sonnet souligne le nombre et l'importance de rapprochements qui se font sous forme de comparaisons. On observe aussi d'autres figures d'analogie comme les personnifications et les métaphores. Ces différents figures mettent l'accent sur la notion de « correspondances », encore appelées synesthésies, et explicitent le titre. Métaphores et personnifications : les premières analogies du

spirituel dont l'esprit et l'ardeur ''  Ligne 63/64 :''dont l'esprit et l'ardeur '' (subordonnée relative)  Ligne 64/65 : e. mélioratives ''tournure élégante " et ''beauté nerveuse ''  Rastignac possède donc atouts pour plaire aux femmes * Métaphore filée : la mer Importance de la négation « sans … ni … ni » (l.56-57) => étudiant qui débute dans la vie. * Aspect méridional : (l 53) '' méridional '', '' provincial '', ''Rastignac'' consonance du sud ouest (Bordeaux). 2) Un étudiant à

à la manière de ces grandes crevasses qu'un orage, en une seule nuit, creuse quelquefois dans les montagnes. » Quelle est la figure de style utilisée dans cette phrase ? Nommez-en les différents éléments. /1 La figure de style utilisée est une métaphore filée qui s’appuie sur : - une comparaison puisque le vide intérieur d’Emma est décrit comme une « crevasse », les deux éléments (trou dans sa vie et les crevasses) étant mis en relation par l’outil de comparaison « à la manière de ». - l’emploi

types de texte ( narratif, descriptif, argumentatif, autobiographique... ) 2. Savoir relever un champ lexical 3. Connaître les registres de langues ( familier, courant , soutenu ) 4. Connaître les principales figures de style ( comparaison, métaphore, personnification, énumération) 5. Savoir repérer les indices de présence du narrateur ( notion de point de vue omniscient et interne) 6. Savoir interpréter la ponctuation. 7. Connaître la formation des mots (radical - suffixe - préfixe)

de deux misérables. Il utilise différents procédés de styles, pour mettre en évidence chacune de ses deux caricatures. Dans un premier temps, il utilise des énumérations pour exagéré le portait physiques des Thénardier mais également différentes métaphores et comparaisons comme « une souris au service d’un éléphant » afin d’insisté sur certain aspect de ces personnages. Victor Hugo introduit également dans son texte, des hyperboles et des antithèses comme « jurait splendidement » ou encore « l’air

racines de la vie. I- L’hommage à la femme noire a) La femme noire à différents moments de la vie Vers 3 : Mère et enfant. Vers 6 : Jeune fille : éveil de l’amour. L’indicatif présent est opposé au passé. La foudre (« foudroie ») est une métaphore réitérée par l’« éclair ». Le poète est dans le chaos : « tonnerre » : allitération en [T]. La femme est la savane, elle frémit, gronde (personnification de la savane) : « savane ; femme ; tamtam ». Allitérations en [F] et [V] pour le souffle. A

souffrance et de la mort : « mon cœur se fend » ; « mes amis qui souffrent » ; « le dernier soupir » ; « et moi, je pleure » ; « triste pluie » ; « enchainé ». Ce champ lexical montre que Guillaume Apollinaire parle de la guerre : c’est une métaphore filée : la pluie représente la pluie d’obus et de balles qui s’abat sur les soldats. Certains passages le démontrent : * 2eme colonne : « mon cœur se fend en pensant à mes amis qui souffrent pour hâter la victoire ». Guillaume Apollinaire

éléments narratifs : plusieurs procédés au début de la | | |fable le soulignent : | | |la métaphore « tout cousu d'or » fv.5) | | |la négation + le comparatif de supériorité (v.6) |

donne une impression de douceur à Emma (« vus de si près … émail »). De plus, cet échange de regards est assez poétique. On y trouve un jeu sur les couleurs (« noirs », « bleus ») et un sur le lumière (« des couches … s’éclaircissant ») ainsi qu’une métaphore (« émail »). Charles voit l’œil d’Emma comme un miroir lui réfléchissant son image. La scène du balcon est moins intime que celle du réveil : on se trouve à l’extérieur, à la vue de tous. On y observe un changement de point de vue qui transforme