Métaphore Animiste

« s’évapore », la balancement devient « frémissement », le champ lexical de la tristesse : afflige, triste… ». C’est la mort du jour et l’arrivée de la nuit. - La mélancolie, la tristesse devient brusquement l’angoisse: « Néant vaste et noir »= métaphore de la nuit... Alors le ciel lui-même reflète l’angoisse : une noyade, un engloutissement sans retour du soleil, la mort du mouvement « qui se fige », le soleil a été englouti. Le poème devient un moyen de célébrer le jour perdu, dans un chant qui

Chiasme : croisement de termes alors que le parallélisme serait normal (exemple : il faut manger pour vivre mais non vivre pour manger) - Circonlocution : manière indirecte d'exprimer une idée (exemple : veux-tu que je m'en aille ?) - Comparaison (métaphore) : similitude entre deux termes, ressemblance (exemple : le poète est semblable à un prince) - Ellipse : omission de un ou plusieurs mots, sous-entendus (exemple : quand pars-tu ? demain !) - Gradation : progression dans une suite croissante ou

Université Autonome de l´Etat de Mexique Faculté de Langues Analisis Literario en Frances Marlen Vázquez Jiménez « À une passante » Charles Baudelaire Baudelaire a écrit dans son recueil Les fleurs du mal, un poème que réfléchis un goûte secret entre une femme y un lieu très monotone. À une passante qui a pour thème central la rencontre fait partie de la deuxième section de son recueil qui s`appelle Tableaux Parisiennes où l´auteur s´inspire dans la réalité quotidienne avec un monde d´industrialisation

devient métaphore de la vie humaine, où tout n'est qu'apparence du déguisement et de la métamorphose. La théâtralité et les transformations de la matière débouchent souvent sur une méditation morale (réfléchir avec force sur quelque chose) et religieuse autour de la mort. * LE GOUT DE L'ORNEMENT : Peintres et sculpteurs privilégient un décor surabondant exprimant la complexité d'un monde en permanente transformation (trompe-l'œil, miroirs...). L'écriture baroque recourt aux métaphores, aux images

lecteur ; il ne s’agit pas d’une scène comique. Mettre plus en évidence les transformations du paysage: l’obscurité grandissante, et une sorte de brouillard qui envahit la scène. La fin de la journée, la présence de l’automne se lisent comme une métaphore de la mort à venir. L’auteur chercher à mettre le lecteur en condition pour la suite. Le premier personnage qui s’exprime est Camille, là aussi il nous informe sur le lieu inquiétant « Fichtre ! Que c’est froid ! Il ne ferait pas bon de piquer

o re de nombreuses techniques qui vous permettront de conduire des groupes d’adultes ou de plus jeunes à la découverte de leurs ressources propres. Photo de l’auteur : Marie Christine GOZALO | www.studio-cascad.com Art de l’inventaire, de la métaphore et du portrait, pratique du trait et de l’instantané, joie du récit de soi : vous apprendrez comment faire naître une véritable dynamique de groupe fondée sur la con ance et le respect des autres comme de soi-même. Évelyne Plantier, professeur de

aimée / liberté. La femme aimée représente la Liberté. Allégorie cf. Marianne (« La Liberté guidant le peuple »). Allégorie = figure de style consistant à mettre en scène une idée générale ou abstraite sous une représentation concrète ou une métaphore animée. Elle est souvent indiquée par la majuscule. 7)     Quels messages le poète cherche-t-il à transmettre ? -          Message d’action : il faut se battre pour la liberté, valeur qui ne peut pas nous être ôtée, valeur inaliénable

Victor Hugo est le poète du recueil Les châtiments qui stigmatise fortement le pouvoir. Notamment «Le parti pris du crime» poème écrit en 1853 après que Napoléon III l'eut contraint à l'exile le 11 décembre 1851. Il se réfugia alors en Belgique pour fuir la répression. L'année suivant son exil se poursuivra sur l'île anglo-normande de Jersey puis en 1855 à Guernesey. Pendant plus de 15 ans, il écrira des satires contre celui qu'il appelle "Napoléon le petit". Hugo ne reviendra en France qu'après

malgré sa simplicité, ce roman m’a paru d’une beauté surprenante qui m’a envoutée. L’auteur a su intégrer la poésie à son récit, ce qui m’a tout particulièrement touchée. Les images qu’il utilise et les nombreuses figures de style (comparaison, métaphores) m’ont fait rêver, m’ont emmenée dans un autre univers. Ainsi en peu de mots, mais néanmoins extrêmement bien choisis, l’auteur a su me donner l’’impression que j’étais au milieu des montagnes et m’a fait ressentir la caresse de la neige sur mon

références explicites aux événements de la 2de guerre mondiale : spéculation, marché noir, camps d’isolement, utilisation de stades) ✔ Plus généralement, peste = toute forme de totalitarisme, de dictature politique ✔ Ville d’Oran = métaphore / allégorie du monde pendant la seconde guerre mondiale (cf. texte 5 : la liesse d’Oran libérée rappelle la libération de Paris, par exemple) Le symbolisme des personnages : on s’attache à quelques figures clefs du roman dont le rôle dépasse