Métaphore Animale

renforcée par l'adjectif « obscur » lui donnant une apparence encore plus noire, comme s'il agissait dans l'ombre, invisible à nos yeux. Baudelaire utilise également des mots violents tels que « mange » « ronge » et « sang » présentant le temps comme un animal assoiffé de sang, un vampire qui se nourrit de nos vies afin de grandir et de devenir plus puissant. Tous ces procédés permettent donc à Baudelaire de faire partager au lecteur sa vision du temps, vision qu'il cherche à assombrir en créant un décor

triviale et qui amène à une image d’un objet hermétique à un enfermement total auquel il est impossible d’échapper, mais également grâce à cette deuxième comparaison « comme une chauve-souris // qui s’en va battant les murs » qui met en scène un animal nocturne, solitaire qui semble perdu, à la recherche d’une issue pour se libérer, mais en vain. De plus, on peut voir ce désespoir profond par l’hyperbole « un jour noir plus triste que les nuits » qui inclue également un oxymore et montre ainsi que

Européens de 1945 " L’Amérique, c’était aussi la terre d’où nous était venue la délivrance ". Paradoxalement cette protection assure la liberté. Par un retournement, c'est le ciel d'Europe qui paraît peser comme un couvercle sur les êtres. Une métaphore prolonge la personnification du ciel gardien de l'univers, opposant l'animal " apprivoisé " mais inquiétant puisqu'il " rampe ", ou du moins peu estimable, à l'espace " solitaire et pur comme une bête sauvage ". Le choix de termes laudatifs rend

épouvante devant quelque chose qui arrivait », « Les expressions manquent pour ce dire ce qu’avait d’étrange ce frisson ». Sous l’influence de cette peur, la nature prend des aspects terrifiants et paraît hostile à Cosette : C’est le cas avec des métaphores et comparaisons : « de vastes nuages noirs comme des pans de fumée », « Des buissons chétifs et difformes sifflaient dans les clairières », « Les hautes herbes fourmillaient […] comme des anguilles. », « Les ronces se tordaient comme de longs bras

L’extrait est construit sur une chronologie continue (comme le déroulement d’une scène de théâtre), le narrateur écrit à la troisième personne et se trouve être omniscient. car Scarron va jusqu'à intervenir ligne 1, 7, 30,33, pour éclaircir les métaphores ou autres oppositions et personnifications : Ligne 7 « Pour parler simplement…. Arriva dans les halles du Mans » « ligne 32 : Mais j’entends parler des grande tortues qui se trouve dans les Indes. ». 6-Registre de Langage : soutenu puis parodié

seconde guerre mondiale principalement. C'est que l'début d'la fin : antithèse car ce sont deux mots qui s'opposent. Le Pen au garde à vous : métaphore faisant référence à son ancienne carrière de combattant lorsqu'il était sur le champs de bataille en Algérie. Les ouvriers logent dans des cages à poules : comparaison entre les ouvriers et de vulgaires animaux qu'on maltraite. Avec le Diable , ils pactisent : c'est une expression figée prise à la lettre , qui à la base est « Faire un pacte avec le

«Correspondances». Quel en est l’auteur? L’auteur de «Correspondances» est Charles Baudelaire. 2-Pour les auteurs de ce mouvement, c’est la métaphore ou symbole qui permet de représenter concrètement (par un objet, par exemple) l’abstrait et l’invisible. Ainsi, entre autres, pour désigner le poète et sa condition, certains écrivains utiliseront des métaphores animales : a-Quel poète utilise l’image de «L’Albatros»? Charles Baudelaire utilise l’image de «L’Albatros». b-Qui a écrit «Le Vierge, le vivace

tel que, ainsi que, semblable à, de même que…), ex : « La musique souvent me prend comme une mer » (Baudelaire).  LA MÉTAPHORE : met en relation deux termes (un comparant et un comparé) mais sans outil de comparaison, ex : « L’amour n’est que le roman du cœur » (Beaumarchais).  LA PERSONNIFICATION : est une métaphore qui accorde des caractéristiques humaines à un objet, à un animal ou à un être inanimé, ex : « Venise pour le bal s’habille » (Musset)  L’ALLÉGORIE : proche de la personnification,

du contexte) À considérer… -ÉVITEZ (ou du moins soupçonnez un danger)… Les verbes “montre”, “démontre”, “explique”, “illustre”, etc. Pourquoi ? Ces verbes ne veulent rien dire. Ils pourraient être appliqués à n’importe quel procédé (lexique, métaphore, antithèse, etc.). Généralement, quand vous les utilisez, cela signifie que vous reformulez ce qui est dit, CE QUI N’EST PAS ce que vous devez faire. Vous devez plutôt identifier ce qu’il y a d’intéressant sur LA MANIÈRE DONT ON LE DIT. - UTILISEZ

« à peine » met en relief la difficulté pour un maître d'avoir des disciples. Seule une petite élite suivra les préceptes de l'enseignant. L'érudition combinée à l'esprit critique est rare. C'est un discours métaphorique et plus précisément une métaphore filée. L'estomac est apparenté à l'esprit critique et cette formulation est semblable à l'activité neuronale. Le cerveau « digère » les informations pour les faire siennes. C'est un « topoï » (thème récurrent) en français c'est un cliché. On la trouve