Métaphore Animale

descriptions de son environnement : « rivière méandreuse, doux couteaux (placidité l.4) ; harmonie délicate (harmonie l.5) ; les grelots font musique cristalline (l. 10) ; jolies boites de maisons (mignardise l.21) ». Le narrateur emploi aussi la métaphore « gâteau de sucre vert » afin d’insister sur le coter mignon du paysage. Ce coté mignon se met en contraste avec le coté brut de la Chine : « brutalité de sa nature, des gorges qui entaillent » (l.13). Le narrateur parle aussi de « temples enchevêtres

évoque la peinture ou l’artisanat, comme si l’auteur voulait désindustrialiser l’objet fabriqué. - Il en est de même avec les métaphores qui évoquent la vie à la campagne, la nature ici mise en valeur « le fumier, il faut le sortir… » - Le monde animal est aussi évoqué par le terme « bourdonnant » évoquant des abeilles - La seule métaphore qui contredit ces métaphores qui se réfèrent à la nature, c’est la formule « plusieurs gratte ciel » qui replace la radio dans son univers urbain, industriel

STYLE : Une Allégorie : Figuration d’une abstraction (ex : l’Amour, la Mort) par une image, un tableau, souvent par un être vivant. Une Personnification : La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé (homme, animal). Une Allitération : C’est la répétition de sons identiques. À la différence de l’assonance, le terme « allitération » est réservé aux répétitions de consonnes. Exemples : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » (Racine, Andromaque

BAUDELAIRE : les fleurs du mal « Spleen et Idéal II », « L'Albatros » « Les fleurs du mal » : beauté (esthétique) + malheur Fleur métaphore de l'amour, surtout rose au XVI. « Les fleurs du mal » : qui appartiennent / reviennent / donnent Chaque fleur qui est belle, esthétique mais elles parlent du mal. Beaudelaire voit la poésie comme une entreprise de transformation. La section « spleen et idéale » reprend l'antithèse du mal. C'est un mot anglais « spleen » qui signifie « bile noire »

Baudelaire note que « Le Temps mange la vie », c’est le verbe ‘manger’ qui signe l’allégorie, c’est-à-dire rend visible l’abtraction du temps, son action de soustraire, de dévorer. [Jusqu’à la fin du 19ème siècle, la majuscule s’impose.] Dans « les animaux malades de la Peste » comme dans le roman de Camus, près de trois siècles plus tard, chacun voit bien que la peste renvoie à un mal — à l’origine — moral. | Anacoluthe | Déf. : Faute de syntaxe superbement voulue ou, plus benoîtement, rupture de

Epique Pathétique Dramatique Ironique EXERCICE III Personnification Comparaison Gradation Métaphore Accumulation Allégorie EXERCICE IV 1) Jeanne est assimilé à un serpent qui danse. Cette figure de style est une métaphore. Cette image associe le plaisir, (la danse) et la fascination du poète pour Jeanne. D’un autre côté, le serpent symbolise le mal, dans la religion c’est un animal maléfique. Jeanne provocatrice incite au péchés. 2) Jeanne est un personnage ambivalent. C’est une

devient pâle ». Les Indiens sont accusés d’ignorer la religion comme le montre la phrase « n’a jamais entendu parler de Notre Seigneur ». Ensuite, la comparaison « les idolâtres mouraient comme des bêtes » prouve que les Indigènes sont comparés à des animaux. Sepùlveda n’appelle jamais les étrangers normalement, il les surnomme toujours avec des noms assez péjoratifs comme « créatures », qu’il répète deux fois, « les Indigènes », « sauvages ». On remarque, aussi une présence de la négation qui rapproche

Césaire, dans «Le nègre dans le tramway», il dresse le portrait très péjoratif d'un noir, en étant un lui même, pour mieux accuser le racisme. Pour se faire il utilise des comparaisons et des métaphores telles que « […] grand comme un pongo » ligne 5 et « Un gros oreillard (…) » ligne 9, ce qui donne une image animale du personnage et désigne la misère qui s'est acharnée à déformer son visage. Enfin Apollinaire, dans le poème d'ouverture du recueil Alcools, fait l'éloge de la modernité, en partant de

s’échapper grâce au rêve « je suis d’un pas rêveur » -Habité par ce mal-être, le poète préfère la solitude, il fuit un monde qui ne peut comprendre sa douleur. Il erre « solitaire » sur un sentier « solitaire » c’est-à-dire sans présence humaine, ni même animale. L’adjectif « solitaire » grâce à la figure de style de l’hypallage permet de caractériser à la fois le poète et la nature. La symbiose entre les deux commence à s’établir. -Cette douleur, cette tristesse va prendre de plus en plus de poids et l’on

|moins… que, de même que, semblable à, | | | |pareil à, ressembler, on dirait que…) | | |Métaphore |C’est une comparaison sans outil de |Ex : Ton teint de rose | | |comparaison. Les termes y sont pris au |Je ne regarderai ni l’or du soir qui