Métaphore Animale

impossible à contrôler, ce qui signifie que Don Juan transgresse les limites de la raison, c'est quelqu'un à qui on ne peut pas faire entendre raison, -« c'est un chien », « une bête brute », « un pourceau d’Epicure » : ces métaphores qui comparent Don Juan à des animaux le déshumanisent, réduit à ses pulsions primitives Don Juan est ainsi rendu inhumain, monstrueux et ces qualificatifs le rabaissent au rang d'animal. Rq : Épicure : philosophe grec dont la doctrine lie le plaisir des sens et de

identité. Il s’animalise « comme un ours » (x2 v.1.III – 5.III), cette situation d’enfermement fais ressortir en lui des instincts animal. Les deux vers « Non je ne me sens plus là Moi-même » (v.1-2.II) souligne de nouveau cette impression d’avoir changé dans cette prison, de ne plus être lui-même au détriment comme je l’ai dit précédemment à cet instincts presque animal qu’il compare au comportement d’un ours. Cette introspection le mène même vers quelque chose de plus mystique, en effet la deuxième

forme d’un squelette armé d’une faux. Allégorie prend souvent la forme d’une métaphore filée: Bon chevalier masqué qui chevauche en silence. Le Malheur a percé mon vieux coeur de sa lance (Verlaine). Ici le Malheur est représenté sous les traits d’un cavalier, et Verlaine file la métaphore initiale en utilisant le lexique de la chevalerie. L’allégorie est proche de sa personnification. Elle repose sur une métaphore dont le comparant est souvent un animé (un chevalier), mais dont le comparé est

un être à part. -> échappe à la folie humaine « tout le reste, assemblage… » métaphore + caractère négatif, société assez obscure et noire : cause (« méchants ») à conséquence (« malheureux »). Paradoxe : l’être humain malgré son intelligence est capable de semer le trouble et le mal. Effet de gradation, discours hyperbolique à la fin du texte : « 100 mille fous » (à l’image du géant) ; « 100 mille animaux » : métaphore qui désigne l’homme qui fait la guerre. « couvert d’un turban » -> allusion à

Figures de Styles ALLEGORIE n.f. ALLITERATION n.f. ANAPHORE n.f. ANTITHESE n.f. ASSONANCE n.f. CHIASME n.m. COMPARAISON n.f. ENUMERATION n.f., ACCUMULATION n.f. EUPHEMISME n.m. GRADATION n.f. HYPERBOLE n.f. IRONIE n.f. LITOTE n.f. METAPHORE n.f. METONYMIE n.f. OXYMORE n.m. PERIPHRASE n.f. PERSONNIFICATION n.f. PLEONASME n.m. SYNECDOQUE n.f. Définitions Personnification d'une idée abstraite Répétition de sons consonnes Répétition d’une même expression ou d’un même mot en

conditionné par trois facteurs : la race (l'hérédité, déterminisme biologique), le milieu (la société, déterminisme social) et le moment (l'Histoire, déterminisme historique). Le déterminisme social est illustre dans la première partie de l'extrait par la métaphore filée de la plante (expressions ≪ elle avait poussé ≫, ≪ ainsi qu'une plante de plein fumier ≫, ≪ elle devenait une force de la nature ≫).Nana s'enracine donc dans un univers social précis qui détermine ce qu'elle est. Ici, cet univers social se

condition ? Citez le texte. 7) – A quoi compare-t-il les hommes pour dénoncer la guerre ? Ligne 21 à 47 : Dans un troisième temps du dialogue, le Sirien interroge le philosophe sur les raisons de « ces horribles querelles entre de si chétifs animaux ». Le terrien évoque alors le désir de posséder la terre, dans une absurde opposition des chefs, « Sultan / César » et la condition humaine. 8) – Relevez l’énumération qui résume ce à quoi sont soumis les hommes. Commentez. Lignes 47 à la fin :

l’océan comme = outil de comparaison Rapport d’analogie = bleus Ses yeux sont bleus comme l’océan. La métaphore Figure de style qui rapproche un comparé et un comparant, sans comparatif (contrairement à une comparaison). On distingue deux sortes de métaphores. Dans la métaphore annoncée, le comparé est présent : Ex : Son regard est un océan limpide. La métaphore annoncée est assez proche de la comparaison ; mais contrairement à ce qu'on trouve dans une comparaison, l'outil de comparaison

malheureux ») : étudier effets sur le lecteur. Ø Présenter comme un animal (« poil roux », « hibou effarouché ») traqué. Ø Formule conclusive du portrait (« il était vivant ») ¹ la perspective de la mort monstrueuse qui l’attend. b) En opposition : la figure du magistrat suscite l’antipathie : Ø Son absence de sentiment (« ni bonhomme, ni affectueux » : souligner ici le // de construction qui accentue l’idée). Ø A nouveau, métaphore animale (« sa bouche grouillait de phrases […] comme des serpents »)

lui une souffrance (étranglé). 2. Métaphore : Chevaux du temps. L’auteur parle de la course avec le temps, image des chevaux qui galopent avec grâce, le temps qui s’en va, la vieillesse qui nous emmène à la mortalité (sang). 3. Personnification : « la Lune, regarda », verbe employé pour les êtres vivants. Il s’agit de l’influence de la Lune sur les pleurs du bébé. 3/ La figure de style utilisée pour désigner les animaux est la métaphore.  « Bêtes », « ça », et « c’était » désignent