Métaphore Animale

définis : vers 1 (la ville), vers 2 (du gaz), vers 8 (des journaux, la cohue, des boutiques), vers 10 (le bal, le gaz, la réclame). Cette énonciation lui confère une présence imposante, pesante, permanente et même dérangeante. Dès le premier vers, la métaphore « ville de pierre » la présente comme un monde minéral inaccessible au temps et suggère l’absence de toute vie affective. L’auteur attire notre attention sur le monde de la modernité que les inventions de l’homme ont fait évoluer. On relève ainsi

 Elle (= comparé) est fraîche (= fondement de la comparaison) comme (= outil comparatif) une rose (= comparant). La métaphore est une sorte de comparaison implicite : l’outil comparatif est le plus souvent absent et il arrive que le comparé (comme dans manger son pain blanc) ou le comparant (comme dans ivre de bonheur) soit absent. Lorsqu’elle est longuement développée, on parle de métaphore filée. L’allégorie est la représentation imagée d’une idée abstraite, sous la forme d’un tableau concret. L’allégorie

compléments circonstanciels de temps : "de l'aube au soir" pour montrer la durée insupportable du travail. Hugo utilise une allitération en "m" pour montrer la monotonie du travail : "meule", "mouvement", "éternellement", "même". Hugo, grâce à une métaphore filée (métaphore développée sur plusieurs vers) compare la machine à un monstre qui dévore les enfants. C'est donc aussi une personnification. La machine est un Minotaure ou un ogre artificiel : "monstre hideux qui mâche", "dents", "serre". Victor Hugo utilise

Utilisation d'une expression suggérant beaucoup plus que ce qu’elle dit réellement | - Ce n’est pas mauvais (c’est bon)- Va, je ne te hais point    Le Cid, de Corneille (je t’aime) | METAPHORE n.f. | Etablir une assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison. Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots. | - Et tes mains, feuilles de l’automne- Les étoiles volaient dans les branches des arbres | METONYMIE n.f. | Remplacer un

ressentie face à un texte. Un ton lyrique = ressentir les sentiments du narrateur avec un lexique affectif / sentimental. C’est un texte souvent à la première personne. Il y a une ponctuation très présente. On joue sur des comparaisons, des métaphores : pour donner une image aux sentiments. Les thèmes : l’amour, l’enfance, la mort… Le ton pathétique = il suscite la pitié chez le lecteur, la compassion, le bouleversement car le héros souffre. Le ton épique = il sert souvent à l’éloge d’un

un désir qui menace un équilibre. Il fait référence à une métaphore : image d’une table, qui est symbole de l’effet positif de Paul D et la famille. II. Un combat pour l’unité familiale A. Le début des hostilités 1. La métaphore du combat Stratégies qu’il crée pour masquer ses troubles. Faire disparaitre son désir. Menace qui provoque un combat entre les deux personnages. Traque de Paul D. Agression de Beloved sur Paul D. Métaphore de chasse ou de guerriers. Jeux de regards. 2. L’échec

les moyens "du bord" et accomplie de grandes choses. Cette analyse portera tous d’abord sur la transformation de l’homme, qui passe par la transformation d’un événement banal ensuite par celle d’un sentiment et celle d’un symbole par rapport a un animal, ensuite on peut aussi constater que les transformations apparaisse dans celle du monde donc se sera le deuxième partie de cette analyse, par rapport a celle d’un objet, de la nature, et donc du monde. La transformation d’on parle le poète

comparaisons et aux métaphores, dans les textes de La Bruyère, de Victor Hugo, de Rimbaud et de Zola. Le texte de La Bruyère est bâti essentiellement sur la métaphore filée de l'animal. L'assimilation des êtres humains à des animaux ménage un effet de surprise produit sur le lecteur. C'est seulement au milieu de la longue phrase que le lecteur découvre que La Bruyère décrit des humains : « ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. ». Les métaphores animales, l'animalisation des

relations entre les mots (synonymes, antonymes, homonymes, paronymes) et la notion de champ sémantique. * Savoir employer comparaisons et métaphores. * Rédiger des textes poétiques (poème à contraintes formelles et calligramme). * Lire et réciter des poèmes de façon juste. * SÉANCE N°1 : LECTURE Étude d’un sonnet : le Lombric, de Jacques Roubaud (extrait des Animaux de tout le monde) : Le Lombric Conseils à un jeune poète de douze ans

évoquer le corps de la femme aimée : les strophes alternent comparaisons (§1 : « Comme une étoffe vacillante » ; §3 : « Comme un navire » ; § 5 : « On dirait un serpent qui danse » ; § 7 : « Comme un fin vaisseau » ; § 8 : « Comme un flot grossi ») et métaphores (§2 : Chevelure // mer ; §4 : yeux // bijoux ; §6 : tête // éléphant ; §9 : salive // vin de Bohème // ciel liquide). Le poème se présente donc comme une véritable déclaration amoureuse qui souligne l’intimité des deux amants, la force de ce qu’éprouve