Mzab

parlers tachelhit, tamazight, touaregs et de Ouargla où le nom complément au dessus de dix est au singulier. La deuxième catégorie regroupe les parlers où le complément se met toujours au pluriel. Il s’agit des zones du Rif, des Aurès, de Kabylie et du Mzab. La variété des usages syntaxiques provient également du paradigme des possessifs dont le comportement vis-à-vis de l’accord est loin d’être 3 De façon sporadique, une forme participiale au féminin singulier à désinence nt est attestée au Rif central

emprunté des termes au français et dans une moindre mesure au turc et à l'espagnol. Le berbère ou tamazight se décline en plusieurs variantes régionales : chaoui dans les Aurès, chenoui dans la région du Chenoua, kabyle en Kabylie, mozabit dans le Mzab, le touareg au Sahara, le Zénètes, le chleuh à la frontière marocaine. Le français est également extrêmement répandu : avec près de 16 millions de locuteurs francophones, l'Algérie est le deuxième pays francophone au monde, en nombre de locuteurs

sur la mer donc mauvaise orientation des chambres et terrasses qui sont vers le nord-est 5-FORME ET GEOMETRIE La forme de l’hôtel est une forme léger, expressive type d’architecture faisant panser à celui du sud plus particulièrement du MZAB Donc POUILLON reprend l’idée du village qui monte vers le point d’appel est la mosquée de GHARDAÏA et que se traduit dans l’hôtel par une imbrication converge vers un point qui est la coupole, referance « POUILLON et l’architecture du sud » L’hôtel

massif du Boutaleb, le Bellezma, les Hautes plaines constantinoises et les monts des Nemenchas) ; * Les Mzabites : sont des Berbères vivant principalement dans la région du Mzab algérien. La plupart sont ibadites, et parlent une variante amazighe mozabite. Ils constituent actuellement 60 % des habitants de la vallée du Mzab ; * Et les Touaregs : sont un peuple de Berbères nomades vivant dans le désert. Leur langue est le tamajaq ou tamasheq ou encore tamahaq selon les régions. Ils utilisent

et leur aire de culture. (Dubost, 1991). |Variétés |Consistance |Aire de culture |Utilisation | |Deglet-Nour |Demi molle (T) |Bas Sahara Mzab |Export tout usage | |Ghars |Molle (P) |Idem |En pâte (pâtisserie) | |Degla-Beïda |Sèche (T)

montagneux. Littoral méditerranéen près de Bejaïa Plateau de l'Assekrem, dans l'extrême sud de l'Algérie. Au nord du Sahara algérien, les grands ergs, Occidental à l'ouest, et Oriental à l'est, séparés par des plateaux rocheux tels que la région du Mzab et bordés au sud par le plateau de Tademaït, constituent d'immenses mers de sable ponctuées d'oasis donnant parfois vie à d'importantes palmeraies. Au sud-ouest, s’étendent les ergs Iguidi et Chech, immensité de dunes sableuses linéaires largement

partie du Maroc central...) connaissent, à des degrés divers, une forte tendance à la spirantisation des occlusives ; /b, t, d, Ÿ, k, g/ y deviennent respectivement [b, t, d, ™, k, g]. Dans de nombreux dialectes (Aurès, Algérie centrale, Maroc central, Mzab), le phénomène va encore plus loin : la fricative [t] peut aboutir au souffle laryngal [h] ou disparaître totalement (Aurès), et les fricatives palatales [k] et [g] finissent souvent en chuintantes [š] et [ž] ou en semi-voyelle palatale [y] (API [j])

transporter les fardeaux et des ouvriers agricoles pour l'aider. Bref, il ne pourrait plus vivre à ce stade voisin de l'économie domestique fermée, dans lequel il se complaît depuis tant de siècles. Ensuite, il décrit la société Mozabite : La vallée du Mzab est un pays hostile. Un sol pierreux et sablonneux, des sécheresses extrêmes et tous les deux ou trois ans, des crues dévastatrices. C’est par un incroyable effort d’irrigation et d’aménagement des sols que les Mozabites l'ont rendu habitable. Il leur

les ergs (dunes), avec au sud le massif du Hoggar et le plateau du Tassili. L'aridité ne laisse la place qu'à quelques oasis. Au pied de l'Atlas saharien, les grands ergs (Occidental et Oriental) sont séparés par des plateaux rocheux tels que le Mzab et bordés au sud par le plateau de Tademaït ; ce sont d'immenses mers de sable ponctuées d'oasis dont certaines sont d'importantes palmeraies. Au nord du Grand Erg oriental (au sud de Biskra), une dépression est occupée par des chotts, dont le Chott

s’opposer à l’imam coupable de faute grave et de choisir librement leurs chefs. Aussi paraissent-ils plus démocratiques et plus égalitaires. Ils ne représentent plus que 1% des musulmans. Présents en Oman (religion officielle) et en Algérie (dans le Mzab, ville de Gardaïa) Points communs : Reconnaissance d’un texte sacré unique : le Coran. Les préceptes religieux fondamentaux Les divergences : Des pratiques différentes (mariage, prière, dévotion particulière à la famille du P. etc.)