Multi Bancarisation

participation au placement de titres La BMCE BANK C’est une banque commerciale marocaine filiale du groupe Finance.com appartenant à l'homme d'affaire marocain Otman BENJELLOUN. Depuis sa création en 1959, BMCE a réussi à représenter une banque multi-métiers, s’appuyant sur un large réseau d’agences. L’un des ingrédients d’un tel succès se trouve d’abord dans l’histoire avec la création, sous le sceau de Sa Majesté le Roi Mohammed V, de la Banque Marocaine du Commerce Extérieur et l’action inspirée

du Maghreb, et comporte  6,2 millions de clients et 15000 collaborateurs. Présent dans 24 pays, le groupe ATTIJARIWAFA BANK se donne pour priorité la proximité avec ses clients et les met au cœur de sa stratégie via son ambitieux programme de bancarisation et ses efforts d’innovation continus. En plus de l’activité bancaire, le groupe opère, à travers des filiales spécialisées, dans tous les métiers financiers : assurance, crédit immobilier, crédit à la consommation, leasing, gestion d’actifs, intermédiation

domestiques, et une extension de garantie de 12 mois sur la plupart des appareils électroménagers, incluant ordinateurs portables, et tous téléviseurs LCD et Plasma,... Alors que "l'Additions plus" comporte en plus de tout cela ci-dessus, une assurance multi voyages pour toute la famille et personne accompagnatrices, une assurance automobile compréhensive de dépannage et réparations partout en Europe, un accès exclusif à un taux fixe garanti sur des placements boursiers gouvernementaux, un expert des marchés

d'un départ, se révèlent être d'une rentabilité négative. Le calcul de la LTV est incontournable et permet d'apprécier les efforts à consentir quand un client montre des signes de changement de banque E. La fidélité et la rétention La multi bancarisation favorise la fragilité des clients à leur organisation bancaire Les clients "fidèles inconditionnels" sont uniquement sensibles aux stimuli du mix de rétention de leur marque, tandis que les versatiles à l'attraction exercée par toutes les marques

est composé, à fin décembre 2002, de 18 banques, dont des banques commerciales, des banques de développement, Media finance et le FEC. En effet, ces banques offrent une large gamme de produits et services relativement sophistiqués. Le taux de bancarisation reste encore faible avec seulement 17% à 20% de la population qui est bancarisée. Les banques marocaines emploient près de 26.000 personnes dont 27% cadres, 50% gradés et 23% employés. Leur total bilan (y compris les ex-OFS) représente près de

à caractère social ou humanitaire. Ces actions cherchent généralement à créer ou correspondre à un territoire de marque et à inspirer un sentiment de confiance de la part des prospects et clients cible. Par ailleurs ; le développement de stratégie multi-canal peut favoriser le contact direct des clients entre eux, créant ainsi un lien social souvent peu maîtrisable par l’entreprise. On peut voir dans des cas différents facteurs certaines des raisons qui poussent de plus en plus de distributeurs à

indicateurs de l’environnement (p.ex. croissance, inflation). Ces indicateurs environnementaux ont aussi un impact sur les autres dimensions retenues dans le modèle car comme le souligne Naylor (1995, p :58) : “Une banque est une firme multi-produits et multi-services qui fonctionne dans un envi- ronnement (ou marché) caractérisé par l’incertitude et la volatilité à long et à court terme en termes d’actifs et de passifs”. On peut décrire la relation “environnement-banque” de la manière suivante

propose des solutions à vocation sociale afin de lutter contre l’exclusion et d’encourager l’entrepreneuriat via le financement des microprojets. Ces phénomènes de pauvreté et de l’exclusion sont plus marqués dans les pays musulmans, où le taux de bancarisation est inférieur à 30%. Cela a accéléré la naissance d’une microfinance, dite islamique, basée sur des principes religieux de l’Islam. En matière de recherches empiriques, peu d’études traitent ce sujet. Dans cet article nous proposons de voir le

empreinte d’une forte connotation sociale. Si la banque tente alors d’utiliser la communication, c’est essentiellement pour renforcer cette image distante. Mais une évolution importante s’amorce. La place de la monnaie bancaire s’accroît, la bancarisation est en marche, sous l’influence de la croissance économique, de la hausse du niveau de vie, aura un impact important sur l’activité bancaire. Il semble donc tout à fait légitime que ce soit au milieu des années 60 que la banque s’intéresse à l’extension

relation où le banquier est toujours le plus fort, qui dicte et impose ses conditions et le client qui n’est jamais celui qu’on «chouchoute» et à qui ont fait la court, car le banquier le tient toujours par son besoin à son argent. Et d’ailleurs la bancarisation des Tunisiens n’a pas été volontaire en Tunisie, mais a quelque part été forcée par la fonction publique qui obligeait, il y a quelques dizaines d’années, les fonctionnaires à disposer d’un compte bancaire pour être payés. Cela est visible dans