Moi Multiple Hume

Texte de Hume. Thème : L’État et la société PLAN Introduction Étude ordonnée 1 Le désir de compagnie, un sentiment sans égal chez l’homme A – Ce désir se manifeste chez la plupart des créatures B – Ce même désir est particulièrement vif chez l’homme C – Ce que deviennent le plaisir et la peine en l’absence de société 2 La nature sociale de l’homme A – À l’origine de toute passion : la sympathie B – On ne peut se passer de la première condition du bonheur C – Il n’est de bonheur que partagé

reconnaissait son autonomie. Cette révolution du gout hérité de l’humanisme moderne. * La problématique esthétique du gout. Le gout est d’emblée un problème parce que est ce que pensé le sensible n’est pas nécessairement se condamné à penser le multiple, le divers ? Chercher dans la nature humaine et non plus dans la nature des choses n’est ce pas ce condamné à un relativisme sans bornes ? En faisant de la beauté un sentiment comment ne pas dire à chacun son gout ? L’esthétique du gout au 18e siècle

l’identité personnelle chez David Hume Résumé David Hume, dans son Traité sur la nature humaine, utilise deux concepts qui semblent se rapporter à l’identité personnelle d : le moi (self) et le caractère personnel. Cependant, dans le Traité, il ne traite pas à la fois de l’un et de l’autre : dans le premier livre, « De l’entendement », il s’intéresse au moi. ______________  1 2 Le moi, le caractère et l’identité personnelle chez David Hume 1. Le moi d’un individu 1.1 Perceptions

qui représente la conscience de soi du sujet pensant (« je pense donc je suis »).Cependant on peut se demander si l’Homme a bien une identité stable et continue ou si nous somme définit par notre « moi » . Ce sont les questions auxquelles Hume répond de façon négative à travers ce texte provenant de son œuvre Traité de la nature humaine paru en 1740.Il y raconte donc sa thèse qui n’est d’autre qu’une antithèse à la thèse cartésienne, il remet donc en cause l’identité

cet extrait Hume s'interroge sur la réalité du moi et l'expérience que nous pouvons en avoir. Spontanément, quand nous parlons du moi, nous figurons que nous savons de quoi nous parlons et nous assimilons ce moi à une entité à une substance qui nous définit. Le moi serait ainsi notre identité. De manière simple nous distinguons ainsi le moi de ce qui n'est pas moi, et personne spontanément ne remet en cause son existence. Le moi constitue alors une unité simple. C'est cette idée que Hume va remettre

de ce moi. Possède-t-il une unité et une identité stable ? Pour répondre à cette question, nous verrons dans un premier temps que le moi peut posséder une unité et une identité stable, mais dans un second temps qu'il peut également être divisé et multiple avec une identité instable. Tout d'abord nous verrons que le moi possède une unité durable dans le temps. En effet, comme le montre Locke dans son Essai sur l'entendement humain , nous apercevons clairement

Question n°1 :Thèse de Hume : Hume développe dans ce texte la thèse selon laquelle l'homme, parce qu'il est le plus démuni des animaux, parce que ses besoins naturels excèdent très largement ses moyens naturels de les satisfaire, ne pouvait survivre et s'élever au-dessus des autres espèces que par l'existence sociale. C'est la société qui nous donne une supériorité. Ce texte est donc une justification de l'existence sociale de l'homme.Organisation de l'exposé : Hume commence sa démonstration en soulignant

cartésien), le philosophe Hume attaque cette position en lui opposant un empirisme radical : « Je ne peux rien observer que la perception ». Hume observe l’idée que nous sommes multiples et toujours enfermés dans l’immédiateté des perceptions qui se suivent sans cohérence ni nécessité. C’est pourquoi Hume substitue l’emploie du « moi » par « ce que j’appelle moi ». L’unité et la stabilité du « moi » tels que le pense Descartes sont inaccessibles à l’analyse empiriste (mouvement de Hume). L’intuition la plus

sauvage et solitaire." Hume (1) Nécessiteux : manque du nécessaire. Questions 1. Dégagez la thèse de Hume et l'organisation de son exposé. 2. Expliquez : " ses avantages sont proportionnés à ses besoins " ; " Par la société toutes ses infirmités sont compensées ". 3. Qu'est-ce qui peut faire dire que la nature est cruelle envers l'homme ? 4. La faiblesse de l'homme est-elle la cause ou la conséquence de l'organisation sociale ? Question n°1 : Thèse de Hume : Hume développe dans ce texte

Introduction Quel avantage trouvons nous à vivre en société, alors que celle-ci peut être considérée comme une source de gêne et de contraintes multiples ? Hume néglige ici ces dernières pour insister sur le fait que la société répond à notre désir le plus profond, parce qu’elle assure à chacun la présence d’un autre, qui lui est absolument nécessaire pour ressentir plus complétement ce qu’il vit. Quels que puissent être ces défauts, la vie en société a d’abord des avantages radicaux : elle donne