Métacognition

langue d’enseignement; Intégrer ses acquis tout au long de sa démarche d’apprentissage dans le programme. Favoriser chez l’élève son autonomie, la prise en charge de son apprentissage et le développement de stratégies personnelles d’apprentissage (métacognition). La pondération du cours est de 2-1-3 soit, à chaque semaine : deux heures de contenu théorique, une heure d’activités pratiques et de trois heures de travail personnel hors-cours. OBJECTIFS DU COURS La compétence visée par ce cours est

(4 chapitres), les approches contemporaines, comme les théories d'Howard Gardner, la théorie triarchique de Sternberg, les conceptions sur l'Intelligence émotionnelle seront complétés d'un chapitre trop rare | | |sur la métacognition. | | |Tous

L’enseignant ne peut mobiliser que si l’apprenant se mobilise. L’apprentissage est optimal lorsque l’enfant alterne apprentissage et test répété de ses connaissances. Cela permet à l’enfant d’apprendre à savoir quand il ne sait pas (métacognition) L’erreur envoie un signal qui se propage dans le cerveau et permet de créer un retour d’expérience. Rôle important de la communication, des feedback et de l’évaluation Transfert de l’explicite vers l’implicite Progressivement, l’automatisation

complexes comme la métacognition, le transfert et la généralisation ; 
c. des signes de motivation et d’intérêt accrus chez les étudiants. 2. Le maximum d’effets positifs est obtenu quand on combine certains types de dispositifs avec certaines stratégies pédagogiques, soit : a. des dispositifs d’apprentissage collaboratif, comme des environnements virtuels de formation, dans le cadre d’activités pédagogiques d’inspiration socioconstructiviste ; 
b. des dispositifs favorisant la métacognition, comme des

d'apprentissage[->40]. Le concept de style d’apprentissage trouve un ancrage à la fois dans la psychologie cognitive et constructiviste, la pédagogie différentielle, la psychologie de la personnalité. Il a des liens solides avec la théorie de la métacognition, ensemble formé des métaconnaissances (connaissance de soi –ses préférences, forces et faiblesses- ; connaissance de stratégies générales ou spécifiques d’apprentissage ; connaissance des différences interindividuelles dont les siens par rapport

immédiates, des instructions pédagogiques pour accompagner les programmes, pour donner des orientations explicites : finalités, charge de travail, résultats attendus. Gérard de Vecchi, dans Aider les élèves à apprendre, montre l'importance de la métacognition. Rendre un apprenant conscient de sa façon de procéder, c'est l'aider à améliorer sa démarche. Une première étape consiste à aider l'élève à identifier sa propre démarche et à comprendre qu'il existe différentes manières d'apprendre. Une analyse

intrinsèque pour favoriser l’apprentissage et l’autonomie (Pierre Vianin, 2006) Ruth Kanfer (1990), propose une nouvelle théorie de la motivation reposant sur trois modèles : les besoins (ou mobiles, valeurs), le choix cognitif et l’autorégulation (ou métacognition) 2. LES EFFETS DE LA MOTIVATION Les psychologues cognitivistes se rejoignent sur les caractéristiques ou conséquences de la motivation, qui sont le déclenchement du comportement ou de l’action, sa direction vers les buts à atteindre (selon

| |Autonomie | |Métacognition | |Grille de présentation de la fiche de lecture

parle ici de métacognition. Flavell invente en 1971 le terme de métacognition en référence en au thinking about thinking, il s’agit de la réflexion que tient un individu sur ses propres pensées. Pour flavell il s’agit des réflexions sur ses propres états mentaux et plus spécifiquement sur le contrôle le suivi ou la surveillance (le monitoring) qu’exerce volontairement l’individu sur l’ensemble des mécanismes cognitifs. Il propose en 1979 de distinguer 2 catégories de la métacognition : connaissance

résistance aux traits de personnalité des individus tels que l’aversion au risque, la sensibilité aux relations personnelles, l’estime de soi et l’auto-surveillance. Une deuxième voie de recherche s’inscrit dans l’approche de la résistance par la métacognition (Friestad et Wright, 1994), afin d’identifier comment les éléments qui influencent la perception des dissonances, tels que le milieu et la culture sont des antécédents à la résistance en intervenant comme des variables modératrices du processus