Merleau Ponty

d’avoir une approche utilitaire avec le monde et de gravé la présence humaine, de laisser une trace de sa vie pour l’éternité alors que la science, créer des objets de consommation et d'usage qui disparaissent alors que les œuvre d’art durent. A. Merleau-Ponty disait : si la science rend le monde disponible, l’art le rend habitable en lui restituant sa présence, ses qualités et son sens. L’art est donc ni plus, ni moins nécessaire que la science puisqu’ils sont tous les deux, à leur façon, la manifestation

à cette phrase: «  si je doute de tout je ne peux pas douter de tout » → je pense donc je suis. A partir de ce moment là, rupture dans le monde. Questionnement: comment je met en route mes pensées et comment....? → l'œil et l »esprit de Merleau Ponty. Geste inaugural (« je ne sais plus très bien ce qui me permet de penser, de créer ».) débute au 17e siècle avec Descartes jusqu'à cette idée: Arrêtons de penser en terme de système . (comment on commence a penser? À faire de l'art). Apparaît

telle qu’elle est [on ne voit jamais un visage en entier, on ne voit que des faces selon notre point de vue] ou retrouver un regard innocent, « revenir aux choses mêmes » telles qu’elles sont présentes à notre corps dans le rapport charnel, selon Merleau-Ponty), de penser ( les idées esthétiques du génie chez Kant) - le génie n’est pas celui qui suit des règles déjà donné mais qui « donne ses règles à l’art » - la copie de la nature réduit l’art à un « art mécanique » et à un pur exercice technique

•Mais dans ce cas, chacun cherche à avoir « le dessus » sur l’autre, par delà la rivalité, on peut penser une relation qui se fonde sur la sympathie ; cf. l’amitié, chez Aristote par exemple ; cf. le courant personnaliste au XXe siècle ; cf. Merleau-Ponty à propos du dialogue véritable qui fait naître entre moi et l’autre un 3ème terme. •C’est la relation authentique qui rend possible un « nous » cf. la notion de communauté Exemple de conclusion : Dire que la conscience de soi ne suppose pas

écrivain célèbre, bien que sa grande œuvre philosophique L'Etre et le Néant (1943), n'ait connu que peu de succès. Sartre quitte l'enseignement en 1945. Il se consacre à l'écriture et fonde, avec Simone de Beauvoir, sa compagne, et Maurice Merleau-Ponty, la revue des Temps Modernes, politiquement très engagée. Ses pièces de théâtre (Huis-clos, 1945 , Morts sans sépulture. 1946 ; Les mains sales, 1948), mais aussi ses romans (Les chemins de la liberté, 1945), ainsi que ses essais (Baudelaire, 1947

fonction phatique et ainsi entre dans une dimension sociale et communicationnelle où se mêlent les passions. Les Hommes ne communiquent plus seulement par nécessité mais par envie, ils se rapprochent. « Il n'existe pas d'usage privé du langage » Merleau-Ponty. Cette dimension apparaît aussi de par le fait qu'il existe un problème dans la compréhension, le langage étant encore non-universel. C'est ainsi que se met en place la nécessité d'un commun accord. Comme nous le montre Saussure il n'y a aucun

l'idée ? Contrairement à l'approche instrumentaliste qui conçoivent le langage comme un outil de la pensée et qui n'influe pas sur la structure de nos pensées ; la linguistique contemporaine soutienne qu'on pense dans les mots. Le phénoménologue Merleau-Ponty se demande lui aussi si la pensée peut être séparée des mots. Il dit alors que « La pensée n'est rien d'intérieur, elle n’existe pas en dehors des mots ». On pourrait penser que le langage est quelque chose d'intérieur comme la pensée car ce sont

son instinct. L'homme par contre agit en fonction de ses représentations, de ses pensées. LA conscience se définie comme l'intuition claire que l'on a de soi ou du monde. Elle est ce qui nous distingue du mondes, des choses. Ce qui fait dire à Merleau Ponty que : " l'Homme n'est pas une chose parmis les choses ". On distingue la conscience psychologique de la conscience morale. La conscience psychologique est la capacité de rapport de soi a soi, sans réferer au bien / mal, alors que la conscience

nature, cela en présuppose une première. Quelle est-elle ? b) une première nature introuvable Nature de l’homme = l’ensembles de ses caractéristiques essentielles. Doit-on alors la chercher dans des caractéristiques biologiques (cf. texte de Merleau-Ponty : le corps biologique ne définit pas l’homme en propre) ? Le corps humain est un corps vêtu, tatoué, etc., c’est-à-dire traversé par la culture. c) la nature : un modèle pour penser la culture, non une réalité. Cf. état de nature chez Rousseau

Philosophie Canus Albert : la chute, l’étranger JP satre : la nausée Julien Gracq Marguerite Duras JMG : le clézio : Mondo Cl. Simon N. Sarraute A. Robbe : Grillet M. Butor F. posige H. Michaux J. Tardieu Cl. Esteban J. Dupin Merleau : Ponty J.P. saitre Michel Foucault Jacques Derrida Deleuze Alain Badieu Extrait : Francis Ponge XXe « Le parti pris des choses » Le poète en écrivant sur des sujets qui ne sont pas poétique cherche à nous rendre plus attentif à l’objet qui