Medaf

et qu'on puisse accepter la mesure comptable, à quelle norme peut-on comparer cette dernière pour savoir si la rentabilité des fonds propres offerte par la société est satisfaisante? La recherche en théorie financière apporte une réponse grâce au MEDAF (le modèle d'équilibre des actifs financiers (2)) dont la relation fondamentale est: Ri = RF + ßi [RM - RF ] avec Ri le taux requis sur ses fonds propres par un actionnaire de la société i RF le taux de l'actif sans risque, qui peut être évalué

libre-échange même entre des pays très inégalement développés et dotés, dont certains sont dominants et d'autres dominés. avantages comparatifs (loi des) Ricardo B beta théorie des marchés financiers dans le modèle d'équilibre des actifs financiers (MEDAF ou CAPM), le béta est une caractéristique spécifique de chaque actif (action ou obligation). Le béta mesure le degré de risque de cet actif, exprimé par rapport au risque du portefeuille de marché constitué d'une action de chaque entreprise. Le béta

Les deux projets ont des E(VAN) très voisines, mais le deuxième projet est beaucoup plus risqué que le premier (6VAN : 9,83 et 25,04). Par conséquent, le premier projet surclasse le second. 2. Utilisation du MEDAF (modèle d'équilibre des actifs financiers) Nous savons que le MEDAF permet de déterminer le taux de rentabilité requis d'un actif financier ayant un risque systématique donné. Ce taux de rentabilité (Ri) est donné par la relation E(R) = RF + ßi [E (RM) - RF] Avec: RF : taux sans

L’utilisation de business plan et la mesure des cash-flows futurs libres Les axes d’optimisation Les sources d’écarts La détermination des taux d’actualisation Le parallèle entre le risque et la rentabilité : La notion de prime de risque. Rj – Le MEDAF β : coefficient de risque Cmpc ou coût moyen pondéré du capital Rj’ ou la notion d’un coût du risque nuancé sur la valeur de revente ou valeur terminale La prise en considération du temps La notion de visibilité en fonction de l’horizon estimé

Evaluation du coût des financements Fonds propres : Le coût représente le taux de rémunération (K) exigé par les actionnaires Calcul : Gordon Shapiro : K = D/P + g D = dividende, P=prix de l’action, g=taux de croissance du dividende MEDAF : K = rf + * [E(rm ) – rf] Rf = taux sans risque, = beta de l’entreprise E(rm) = espérance de rentabilité du marché Evaluation du coût des financements Dette et crédit bail Le coût du financement est égal au taux actuarial des

t)-n tend vers 0, d’où : D C0 = t t= et D C0 Formule de GORDON D1 t= +g C0 Nathalie Gardès Maître de conférence en gestion Exemple 2.IV - La détermination du taux d’actualisation FORMULE DEFIN ITION 1 Le coût des capitaux propres b) Le MEDAF le taux de rentabilité espéré est uniquement fonction du taux d’intérêt sans risque et d’une prime de risque E(RX) = RF + β[E(RM) - RF] Exemple Nathalie Gardès Maître de conférence en gestion D La détermination du taux d’actualisation DEFIN ITION

par les actionnaires. Cette esp駻ance de gain a 騁・ mesur馥 par deux mod鑞es th駮riques compl駑entaires. Le premier fonde son raisonnement sur l’action (mod鑞e de Gordon), l’autre sur le march・ financier (Mod鑞e d’駲uilibre des actifs financiers, ou MEDAF). 4.1.1 la formule de Gordon Pour d騁erminer la valeur d’une action, il est possible d’utiliser les cours futurs et les dividendes esp駻駸 (suppos駸 certains). En effet, la th駮rie financi鑽e admet que la valeur d’une action est 馮ale ・ la valeur

ayant une petite capitalisation boursière est plus risqué que de détenir une obligation émise par l’État américain (prime de risque de 13,8% contre 1,7%), mais présente une rentabilité plus grande (17,6% conte 5,5%). On retrouve ici le principe du MEDAF (Modèle d’Évaluation des Actifs Financiers) selon lequel l’espérance de rentabilité d’un actif est fonction de son risque non diversifiable ( β ). Pour déterminer ce taux d’actualisation, il faut estimer le niveau de risque du projet, puis se reporter

capital finançant l'actif économique. 45 • Si l'actif économique est représenté par l’ANCC, le taux i doit être le coût des capitaux propres puisque l'ANCC est sensiblement égal aux capitaux propres; ce coût peut être notamment déterminé par le MEDAF 46 • Si l'actif économique est représenté par les CPNE, le taux i doit être le coût moyen pondéré des capitaux propres et des dettes financières puisque les CPNE sont sensiblement égaux aux ressources stables. 47 • Si l'actif économique est

les actionnaires. Div1 : dividende espéré à la période P0 : prix d’achat action à la date initiale d’investissement g : taux de croissance stable des dividendes par action sur longue durée 2. Modèle d’Equilibre des Actifs Financiers (MEDAF) Ce modèle intègre la variable risque dans son analyse, il étudie la relation entre la rentabilité d’un actif financier exigé par le marché et son risque [pic] [pic] L’augmentation de capital n’est qu’une vente d’action. Elle implique