Marx Oppose Ricardo

qualitatif du bonheur et prend davantage en compte l'écart qui existe entre le bonheur individuel et le bonheur public. Le but de l'humanité est de réduire cet écart. Tant que cet écart existe, le bien d'autrui doit l'emporter sur le bonheur personnel. On oppose ainsi l'utilitarisme altruiste de Mill à l'utilitarisme égoïste de Bentham. Influencée par Hume, la philosophie de John Stuart Mill est un empirisme où la perception de la réalité du monde se base sur l'expérience individuelle et les associations

scientifiques Thomas Kuhn, en 1963, écrit La Structure des révolutions scientifiques : il adopte une démarche positive et non plus normative, c’est-à-dire qu’il y aura une démarche descriptive concernant les pratiques scientifiques. Pour se faire, Kuhn va opposer deux types de sciences : * La science normale, activité consistant à résoudre des problèmes dans un cadre théorique. Elle représente l’activité scientifique empirique prédictive et productive s’appuyant sur un paradigme (= représentation du monde

nouvelle histoire économique, NRG Gallimard.) * L'école historique allemande * List, Hildebrand, Knies, Roscher et Schmoller. Sombart et Weber? * Ce courant apparaît en opposition à la science économique proposée par Smith et Ricardo : * Critique de l'universalisme ricardien et du concept 'd'homo oeconomicus » Ce concept a été développé par les économistes anglais. Il fonde le comportement de l'être humain sur une psychologie rudimentaire et égoïste , sans sens moral

ainsi qu'être engagé dans la lutte des classes, pour pouvoir constituer une classe sociale « pour soi », lorsque tout ces éléments ne sont pas réunis, il n'y a pas de classe possible d'après Marx. Il y a division de la société, entre la Bourgeoisie et le Prolétariat. Les classes existent réellement d'après Marx, il y a une exploitation des prolétaires, c'est-à-dire des ouvriers, par les Prolétaires, car il ne peuvent que vendre leur force de travail, ceci étant leur seule ressource, alors que la Bourgeoisie

Physiocratie ou l’Invention de l’Economie . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 La Philosophie Morale de David Hume . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 Adam Smith : de la Sympathie a l’Echange . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 ` ´ David Ricardo ou la Rupture M´thodologique . . . . . . . . . . . . . . . . 20 e 23 3 Utilitarisme, Utilit´ et Justice Sociale e 3.1 3.2 3.3 3.4 3.5 3.6 3.7 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 Bentham et la

l'existence d'un ordre naturel gouverné par des lois qui lui sont propres, le seul rôle des économistes est de « révéler » ces lois de la nature. Autres contributions [modifier] Bernard de Mandeville publie en 1714, la Fable des abeilles où il tend à opposer la vertu et la prospérité. Selon cet auteur, la richesse économique collective découle des « vices privés », en particulier de la consommation de biens de luxe condamné par les mercantilistes ou les physiocrates comme un gâchis. Cette tentative de

fondement d'une école, l'école classique, qui a régné jusqu'au milieu du XIXe siècle et dont les représentants les plus notables ont été Malthus, Ricardo et Mill. Ainsi Malthus a-t-il approfondi le mécanisme de la croissance en mettant en valeur les phénomènes de population et l'écart entre la croissance potentielle et la croissance effective. Même Marx a contracté une dette importante à l'égard de Smith, puisque l'idée de ce dernier suivant laquelle le travailleur n'est pas rémunéré pour la totalité

économique », traitée traditionnellement par eux de dismal science (science lugubre)2. De fait, comme l'ont montré trois économistes américains, Coase3, Director4 et Stigler5, au cours des deux derniers siècles les intellectuels, en général, se sont opposés à la liberté du commerce alors qu'ils ont été favorables à la libre circulation des idées et à la libéralisation des mœurs. Ne dit-on pas pourtant que la liberté est indi1. Pour une remise en cause du schéma habituel sur les économies anciennes

Socio : Fiche Karl Marx π Le Cadre de pensée de Karl Marx C o n te xt e h is to ri q u e d e K ar l M ar x → Analystes du social de l’époque de Karl Marx toujours intégrés à des réseaux politiques.  Commun d’être à l’époque qqun qui décrit le social (analyste) et qqun qui veut l’améliorer (politique) comme Marx.  Marx est descriptif (analyse) et normatif (donne sol) → Œuvres de Marx difficiles à étudier car diverses (pamphlets, presse.) et héritage

d’usage et valeur d’échange (Aristote, Smith, Marx) 9 2. La théorie de la valeur travail (Smith, Ricardo, Marx) 9 3. La loi de l’offre et de la demande 10 B. A qui profite l’échange ? 10 1. L’idée d’un profit asymétrique (Aristote) 10 2. L’échange profite aux deux contractants (Smith) 11 3. Critique : nécessité de prendre en compte les conditions de l’échange 11 C. Echange et aliénation : le fétichisme de la marchandise (Marx) 11 1. L’échange est déséquilibré 11