Marx Oppose Ricardo

soumettent d’un commun accord à l’organisation de la ruche » (de Rupert de Nemours, 1767) I°/ 2) a) Les physiocrates contre les mercantilistes A la fin du XVII° siècle, les thèses des mercantilistes sont de plus en plus contestées ; presque tout oppose les mercantilistes et les physiocrates. Pour les Physiocrates, l’économie doit servir les producteurs et les citoyens. Les objectifs diffèrent. Opposition sur l’ordre naturel ou « l’harmonie spontanée ». Les Physiocrates pensent qu’il existe un ordre

pays en voie de développement. Il est notamment connu pour ses écrits sur l'échange inégal. S'il s'inspire de Marx, il est pourtant critique a l'égard des théories marxistes du sous-développement. Il réfute également certaines hypothèses de la théorie ricardienne du sous-développement, en particulier l'immobilité du facteur capital. Emmanuel applique la théorie de l'exploitation de Marx aux échanges internationaux. Le commerce international serait un processus d'exploitation des pays pauvres par

cause de nombreuses thèses des libéraux « néo-classiques » et « marginalistes », héritiers des libéraux « classiques », eux-mêmes critiqués par Karl Marx (depuis « Critique de l’économie politique », en 1859, et surtout « Le Capital » en 1867). Avec les travaux de Milton Friedman, prix Nobel, meneur de « l’Ecole de Chigaco » et du monétarisme, opposé au keynésianisme, ce débat se transforme en celui concernant l’efficacité des deux grandes politiques économiques conjoncturelles : budgétaire et monétaire

impossibilité de surproduction générale, car à tout moment la somme détenue par les consommateurs est strictement égale à la valeur des marchandises qui sont sur le marché. Transition : Pour La pensée de Say, accompagnée également de celle de Ricardo, l’économie capitaliste était donc stable et incapable de provoquer de réelles catastrophes. Cependant, constatant la réalité, dès le début du 19ème siècle, certaines crises présentaient déjà des traits de surproduction générale, les causes étant

modèles pour convaincre et justifier la pertinence de leur propos. Chapitre I : Les écoles classiques 1.1 Qu’est-ce qu’un classique ? Il n’y a pas de définition. MARX en parlait comme des « classiques », c’est-à-dire qui adhèrent à la théorie de la valeur travail et défendent le libéralisme économique. On les oppose aux « vulgaires », c’est-à-dire les auteurs qui prétendent démontrer scientifiquement la supériorité du marché et du mode de production du capitalisme, autrement dit les néoclassiques

l'existence d'un ordre naturel gouverné par des lois qui lui sont propres, le seul rôle des économistes est de « révéler » ces lois de la nature. II.4. Autres contributions Bernard de Mandeville publie en 1714, La Fable des abeilles où il tend à opposer la vertu et la prospérité. Selon cet auteur, la richesse économique collective découle des « vices privés », en particulier de la consommation de biens de luxe condamné par les mercantilistes ou les physiocrates comme un gâchis. Cette tentative de

théoriques à ce courant de pensée » Introduction La pensée économique s’est développée au cours de l’histoire, depuis Xénophon au Véme siècle avant JC. Mais la pensée économique moderne est vraiment née des écrits des premiers classiques, Smith, Ricardo, pour ne citer que les deux plus célèbres, père de l’économie politique et grands défenseurs du libéralisme économique. Pourtant le libéralisme économique ne fait pas l’unanimité parmi les différentes écoles de pensée et à l’instar du capitalisme

travail est une réalité conceptuelle en économie, elle traduit l'idée que la valeur d'un bien est fonction de la quantité de travail qu'il incopore dans sa production, on parle ici d'une valeur économique du travail au sens d'Adam Smith ou de David Ricardo. En ce que la première interprétation du terme « valeur travail » a aujourd'hui pris le pas sur la seconde, on insistera dans cette argumentation sur la dimension morale de cette notion, sans toutefois négliger l'héritage économique que véhicule

LA THEORIE MARXISTE Auteurs : Marx et Engels ; Emile Durkheim ; Max Weber Livres : "Histoires des idées sociologiques" (Tome 1, Natan, 1993) " Sociologie contemporaine" (Vigot 1989) par Jean-Pierre Durand et Robert Weil. * La Théorie Marxiste INTRODUCTION Karl Marx ( 1818-1883) / Friedrich Engels Marx était un sociologue et un philosophe. Il a fait une thèse sur le matérialisme antique. Pendant celle-ci il adhère à un groupe intellectuel : le groupe des "Hegeliens de gauche" appelés

des analyses sociologiques, historiques, psychologiques. 2-Les hétérodoxes prônent un interventionnisme et un protectionnisme de l'Etat, afin de permettre aux sociétés de se développer. NOTIONS C)L'orthodoxie et l'hétérodoxie, deux ensembles opposés, mais pourtant aux frontières pas clairement délimitées. CARACTERISTIQUES 1-Selon le contexte historique: →La physiocratie apparaît dans le contexte des lumières. →A. Smith, au XVIIIe, réagit suite au protectionnisme intense de l'état britannique