Manipulations Génétiques Kant

maintenant capables de modifier la nature. Plusieurs s’opposent à ce sujet et si on l’étudie en profondeur, on peut apercevoir que cette nouvelle biotechnologie laisse les gens plutôt perplexes. Est-ce que la manipulation génétique devrait être moralement acceptable? La manipulation génétique consiste ici à modifier la nature en allant jusqu’à effectuer un croisement entre les animaux et les plantes ou jusqu’à modifier les caractéristiques naturelles des aliments. Je crois que ce nouveau procédé n’est

Les possibilités qu’ouvre le génie génétique sont immenses. Nous pouvons modifier les gènes et les introduire dans un organisme pour modifier son information génétique. Nous sommes capables de produire des clones et ce qui n’existe pas dans la Nature. Nous sommes en passe de considérer le corps humain comme une machine dont on peut changer les pièces. Le corps médical applaudit au progrès de la génétique en y plaçant des espoirs immenses de mettre fin à des maladies qui résistent aux traitements

Clonage et Génie génétique ANDY Introduction : Définition du génie génétique Le génie génétique est un ensemble de techniques de biologie moléculaire permettant l’étude et la modification des gènes  à savoir : isoler des gènes spécifiques, les reconstruire puis les réinsérer dans des cellules ou des organismes, les cloner etc. Ces techniques ont fourni à la médecine et à l'industrie un moyen efficace de produire en grandes quantités des protéines spécifiques, qui, auparavant, n'étaient

 Commentaire de philosophie : Kant, extrait de la Critique de la faculté de juger (1790) Dès l'Antiquité, les philosophes tentent de décrire la vie : < Tout corps qui reçoit son mouvement de l'extérieur est inanimé ; mais celui qui le reçoit du dedans, de lui-même est animé, puisque c'est en cela même que consiste la nature de l'âme >(Platon). Aristote, après Platon, considère l'âme comme réalisation de la vie. En effet, pour lui, tout vivant possède une âme (anima) qui anime le corps. L'être

décoder la forme que prendra le corps par la connaissance de son code génétique. Mais, reprenant le projet moderne se « rendre comme maître et possesseur de la nature » elle accomplit la réduction de la vie à un objet que l'on peut manipuler. Parce que « l'on ne commande à la nature qu'en lui obéissant », la connaissance des lois biologiques permet une action sur les corps vivants : sans même parler des manipulations génétiques, il suffit d'évoquer les progrès de la médecine. Ainsi, la vie est bien

telle un ressort. Le mouvement ne saurait donc relever d'un principe extérieur au corps. 3. l'Organicisme - Kant Le point de vue de Kant est le plus abouti des trois. Le concept central de son explication de la vie est celui d'organisation. Avec lui, nous pouvons dire que le vivant est un être organisé. Il est utile de lire Kant après avoir entendu le point de vue cartésien ; car Kant reprend les exemples d'automates pour critiquer puis parfaire la thèse mécaniste à laquelle on ne saurait définitivement

grandes découvertes fondent alors au XIXème siècle la biologie comme science : La théorie cellulaire établit l’existence d’un constituant commun à tous les êtres vivants et permet la connaissance de plus en plus approfondie de sa structure ; La génétique : Mendel met en évidence les lois qui règlent la reproduction et la transmission héréditaires ; Les théories de l’évolution, d’abord avec Lamarck au début du siècle, puis surtout avec Darwin. Tous deux essayent de comprendre l’histoire des espèces

humaines. Devant permettre de produire des organes ou des cellules(génétiquement identiques), il a pour enjeu essentiel de favoriser les greffes pour remplacer un organe ou des cellules détruites ou détériorés tout en garantissant la compatibilité génétique de ceux-ci avec le malade. Cela permettrait de remédier à la pénurie d'organes, et d'éviter pour le malade opéré la prise de traitements à vie contre le rejet, par son organisme, de l'organe greffé. Bien que cette pratique ne soit qu’au stade expérimental

autres, elle est également pensée comme existant pour les autres et pour le tout » citation de Kant extrait de La Critique de la Faculté de Juger. Dans le vivant je ne peux pas isoler la partie du tout. L’approche mécaniste n’est pas dépourvue de sens (je peux enlever un rein comme j’enlève des piles) mais Kant montre que le vivant se définit comme un lien entre la partie et le tout. Pour Kant, l’organisme vivant est irréductible à une machine au sens où il ne dispose pas seulement d’une

l’existence d’un ordre divin rationnel ; on cherche un système éthique aussi rationnel et ordonné. De là vont se succéder de nombreux systèmes philosophiques, alors même que coexiste la morale religieuse, qui elle évoluera beaucoup moins au cours des temps. Kant, avec son système moral, va dans le sens de Poincaré : ce sont les intentions, non les conséquences d’un acte, qui le font juger morale. A part dans certains milieux conservateurs, le progrès scientifique est jugé comme ayant un but profitable pour