Manipulations Génétiques Kant

langage de transcender le donné immédiat. D'une certaine façon, la pensée suppose l'abstraction dans ses trois déterminations: généraliser, analyser (séparer, décomposer), et construire. C'est une activité hautement symbolique (qui passe par la manipulation de symboles) dont l'exemple par excellence est la pensée mathématique. L'abstraction n'est pas nécessairement un appauvrissement. Les classiques considéraient que plus on généralisait, moins on connaissait les propriétés de l'objet : l'extension

à des quantités et à des grandeurs, de là la distinction entre arithmétique et géométrie. Elle est donc au croisement du sensible et de l'intelligible, de l'intuitif et du rationnel. Les définitions mathématiques sont créatrices ou décisoires. Pour Kant (1724 -1804) « les définitions mathématiques ne peuvent jamais être fausses ». C’est ainsi que les trois angles d'un triangle seront toujours égaux à deux angles droits (180°), quelle que soit l'existence ou la non-existence de triangles dans la nature

PRG TERM. - ŒUVRE ORAL : PROP. 1 à 6 Kant Idée d’une histoire universelle au point de vue cosmopolitique INTRODUCTION I) La problématique de l’histoire II) Présentation du texte III) Explication du titre IV) Le cadre théorique : l’idée d’une rationalité de l’histoire V) Plan de l’œuvre PREMIERE PROPOSITION I) Présentation générale des propositions 1, 2,3 : les fondements biologiques de l’histoire II) Sujets de dissertation concernant le thème « la connaissance du vivant » :

Pensons à l'existence des sectes, des mouvements religieux, des croyances irrationnelles (voyance, astrologie etc.) et au procès intenté contre la science en raison de ses retombées techniques désastreuses (Hiroshima, menaces d'eugénisme, manipulation génétique etc.). Mais on peut rétorquer que la science n'est pas achevée, qu'il lui reste beaucoup à connaître et à faire. Projetons-nous dans un futur hypothétique et imaginons ce que serait une société où la science et la technique seraient l'objet

Pensons à l'existence des sectes, des mouvements religieux, des croyances irrationnelles (voyance, astrologie etc.) et au procès intenté contre la science en raison de ses retombées techniques désastreuses (Hiroshima, menaces d'eugénisme, manipulation génétique etc.). Mais on peut rétorquer que la science n'est pas achevée, qu'il lui reste beaucoup à connaître et à faire. Projetons-nous dans un futur hypothétique et imaginons ce que serait une société où la science et la technique seraient l'objet

............................................................................................. La critique de l’empirisme (David Hum) .......................................................................... La critique positiviste (Emmanuel Kant, Auguste Comte) ................................................ La critique marxiste ........................................................................................................... La critique de Nietzche .......................

augmenter le rendement des employés à l'aide de drogues ? Doit-on sacrifier l'autonomie individuelle au profit d'un fonctionnement social optimal ? - les manipulations génétiques : l'homme peut se modifier lui-même en agissant sur ses gènes. Que faire de ce pouvoir ? Comment s'en rendre maître ? Doit-on améliorer notre patrimoine génétique, y compris avant la naissance, ou ne doit-on pas s'en soucier ? c) inversion du pouvoir de l’homme : Il y a un renversement nouveau de l’homme

04/01/2006, 07/02/2006, 23/02/06, 07/02/2007 2 « La science a fait de nous des dieux avant même que nous méritions d’être des hommes » s’inquiétait Jean Rostand dans « Pensées d’un biologiste ». Dons d’organes, recherche sur l’embryon, manipulations génétiques, les inquiétudes et les interrogations ne manquent pas. Dès la fin du XIXe siècle, la nécessité de réflexion philosophique s’est imposée parmi les gens de science car ils ne trouvaient pas de réponses satisfaisantes, ni dans le droit, ni

conscience morale peut relever du sentiment (Rousseau) mais aussi de la raison (Kant).        -La conscience est une invention récente : L’idée de la conscience comme rapport de la pensée à elle-même et comme fonction de connaissance des activités mentales, de la vie psychique, est née avec la philosophie classique (Descartes et Locke notamment) -         La conscience comme fondement de la philosophie : À partir de Kant, les réflexions sur la conscience dominent la scène philosophique. Les diverses

fondées à chaque fois sur un pacte et un consentement mutuel. Le philosophe Emmanuel Kant propose de concilier les deux thèses en parlant de ce qu’il nomme « l’insociable sociabilité de l’homme ». Dans La quatrième proposition de l’idée d’une histoire universelle, parue en 1784, Kant écrit que « l’homme se taille une place parmi ses compagnons qu’il ne peut souffrir et dont il ne peut se passer ». Or selon Kant cette tension, cette attraction, cette répulsion est précisément le moyen d’un développement