Les Paroles Rapportées

16 « émigre » et « tigre », qui ont 3 sons en commun. Ce poème est aussi exclusivement composé d’alexandrins, réputés majestueux. Ce type de vers permet de jouer sur le rythme du texte. Il enjambement intéressent aux lignes 6 et 7, pour les paroles rapportées au discours direct du singe. Cela rend le texte plus vivant. Il s’en suit le vers « Il s’embusqua, brigand des bois, dans les épines : », découpé en trois mesures égales. Le rythme ternaire donne une impression de rapidité, de précipitation

grâce à l’allégorie de l’animal. --Reproche de l’orateur au peuple grec. 22 a 27 -         Succès immédiat : - L’assemblé se réveil (vers 28 à 31)  -  Moralité (vers 32 à 37) 2 La morale est basé sur l’attention du lecteur sur le pouvoir de la parole .Jean de la Fontaine nous montre qu'il faut parfois utiliser un langage imagé v 15 il utilise des images pour faire passe ses idées .Chaque homme a besoin de se faire raconter une histoire et qu’il faut parler avec douceur pour être entendu. Il

par leur anonymat par le pronom indéfini « on » l 3 et « ceux qui » l 4. La mise en scène du portrait manifeste l’ impolitesse du perso qui monopolise la parole et qui a tout d’abord coupé cette parole aux autres qui connaissent le sujet « être à ceux qui » = provoque la stupeur  ; le silence les seuls qui auraient pu parler intelligemment vont écouter de façon courtoise et observe un silence poli.

monde monastique. Le moine, tel que nous le présente le narrateur, n’est plus un type figé, un symbole de l’obscurantisme moyenâgeux. Son portrait, puis son discours, mettent en scène un héros caractérisé par son appétit de vivre et sa liberté de parole. L’héroïsation du moine apparaît d’emblée dans la structure du passage. En effet, le portrait qui l’ouvre est dessiné avec une extrême vigueur : un portrait saillant, ramassé en un paragraphe, qui tranche avec la communauté uniforme des moines. Une

Repérages : temps / lieux / personnages / personnage principal / action Hypothèses de lecture et axes d’étude : propositions des élèves 2. Lectures analytiques de l’incipit (in medias res) et de la chute Focalisations Discours ou récit Paroles rapportées (discours indirect, indirect libre et narrativisé) 3. Structure de la nouvelle Les échos (thèmes / lieux) Schéma actantiel 4. Exposés Les jeunes Les adultes La ville L’incommunicabilité 5. Structure de la nouvelle (suite)

du moins en principe partagés par la majorité: la Vérité, le droit au bonheur, l’équité, la sincérité... II. Personnages : a) Thèses : Ce texte est un dialogue délibératif entre Sépulvéda et Las Casas ; c'est-à-dire une conversation rapportée directement dans laquelle il y a une confrontation idéologique qui privilégie le débat. En sachant que le but de chacun est de persuader l’autre grâce à des stratégies choisies. Les deux personnages principaux ont une thèse opposée sur la problématique

animal serait une machine fabriqué par Dieu (donc parfaitement ordonnée). Les animaux diffèrent des hommes pour diverses raisons : -Les animaux ne peuvent pas utiliser des paroles avec du sens comme nous le faisons (ex : perroquets peuvent retranscrire des paroles mais ne peuvent pas décrire leur pensée à l’aide de paroles). -Ces « machines » ne peuvent pas tout faire car elles n’agissent pas par connaissance mais par disposition de leurs organes. DESCARTES en vient à la conclusion que les

« l’armée ennemie des pins » qui seraient « les témoins de (son) étouffement lent ». Le passage se trouve à la fin de l’échange entre les deux époux et se compose de deux parties distinctes : dans un premier temps, la narration alterne avec les paroles, rapportées directement ou non, des personnages ; ensuite le narrateur entre dans la pensée de Bernard le temps d’un assez long paragraphe. Nous montrerons d’abord que cette fin d’affrontement conjugal voit la défaite de Thérèse et la victoire orgueilleuse

Séquence 2 : L’évolution du personnage de roman dans la sociétéObjet d’étude : Le récit et le roman du Moyen-Âge au XXIe sièclePartie I : Etude de l’œuvre intégral, La Princesse de Clèves, Mme de Lafayette, 1678 Séance 1 : Introduction · Définition : Le roman est une histoire en prose raconté par l’intermédiaire d’un narrateur. A une époque et dans un cadre donné (= spatio-temporel), il met en

« sifflement » 12, « musique militaire »12 « brouhaha »13, « chanter le rouge gorge », « vacarme de marteau »; « l'eau clapote »; « haleter un steamer », « souffle immense de la mer » bruits d'enfant/ bruits naturels ( oiseaux rouge-gorge, mer) / bruits des paroles humaines/ bruits du travail humain des effets sonores jeu poétique sur les sons :allitération en Z les oiseaux gazouillent: effet d'harmonie imitative. Mais aussi bruit heurtant de tout les bruits humains ou animaux ( k), coq, choc, racle, grincement